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 Tea or not to Tea ? + White rabbit

Mad Hatter
Maître des Fufufu~
Icône : Tea or not to Tea ? + White rabbit K5OhCv3
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
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Âge : 26 ans / des siècles
Race : Déjan'thé
Métier : Producteur de thé
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Origine : Alice au pays des merveilles
Pouvoir : 3 chapeaux magiques ~
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Mad Hatter
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TEA OR NOT TO TEA ?
WHITE RABBIT x MAD HATTER
Le silence est d’or en cette matinée au temps clair. Mais il fait bon d’avoir un peu d’animation, même à une heure où seuls les coqs se plaisent à chanter. Comme un pressentiment, le chapelier ne dort pas à point fermé, profitant des champs à perte de vue et de la fabrique où une seule machine combine plusieurs fonctions afin de sécher, trier et préparer le fameux thé au goût si particulier. S’il n’y a que très peu d’employés à pouvoir prétendre y travailler, c’est qu’il y a une raison : les ingrédients étaient connus de tous et pourtant, personne ne pouvait reproduire le même. L’une des raisons, outre ce que Mad mettait lui-même à la dernière étape avant emballage, c’était le chat de malheur qui pourtant était cher à son cœur. Sans en avoir la permission, il se faufilait dans l’antre de la fabrique pour en changer la recette au gré de ses envies. Le fou le laissait faire, non sans jauger les risques. Buvant son thé au petit matin, dans l’encadrement d’une fenêtre, il observe la fumée étrangement rouge se dégageant du bâtiment. Ses sourcils se froncent avant qu’un fracas assourdissant ne résonne et fasse frémir tout le domaine. Cette fois, ça n’était pas l’affaire de quelques baies immiscée dans la machine au moment du tri. Les vibrations de la détonation s’étaient faites sentir jusque chez lui.

Baillant à rompre sa mâchoire, le chapelier passe une main sur son bouc et soupire lourdement, son visage marqué par la contrariété, il sourit malgré tout et se prépare, non sans y mettre un temps fou. L’inquiétude demeure, seulement ce n’est pas un problème à proprement parler, faire languir la petite peste qui s’en était prise à son thé était bien plus savoureux que la perte de ses biens. Une fois prêt, les portes du domaine ne furent pas ouvertes. Mad allait se chargeait lui-même de son affaire, paré dans ses vêtements toujours d’une extravagance culottée, cependant adaptée à la situation. Ne s’improvise pas mécanicien ou technicien qui veut cependant. C’était risqué et il tenait fermement à ce que cette machine retrouve la raison. Ses poings sur les hanches, il s’engouffre dans la fabrique pour en ressortir quelques minutes plus tard, couvert de suie de couleurs différentes, sentant l’encens plus que le thé et toussant une fumée colorée à chaque parole prononcée. Rassurer les quelques braves gens qui l’avaient regardé d’un air curieux faire son cinéma avait été de courte durée. Il massa le sommet de son crâne, refaisant cette boucle immense qui avait tenu par on ne sait quel miracle. Contre toute attente, ce n’est pas un professionnel qu’il avait en tête pour pallier à son problème, mais bel et bien une stratégie pour y retourner…
456 MOTS
@white rabbit
on n'est pas sortis de l'auberge mon lapin !
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White Rabbit
Attrape-moi si tu peux
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White Rabbit
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Attrape-moi si tu peux

ft.Chapi-Chapo

Tu sais où tu peux te le mettre ton thé ?
Il trouva alors porte close.

Ça pourrait être la fin de l’histoire de White qui essaye de rendre visite au chapelier. Une histoire longue et complexe, à s’en tirer les cheveux car ça viendrait à devoir expliquer pourquoi le lapin aime bien aller voir le chapelier et comment il est arrivé à garder un ami, malgré tout, malgré lui. Malgré eux, en fait, les deux êtres ont évolué de manière tant radicalement opposée, comment les imaginer encore nouant un quelconque rapport ? Pire encore, un rapport positif ! Ah, mais ça viendrait à essayer d’expliquer son mental, plus en détail qu’en quelques mots bien tournés, et moi bien placée dedans, je vois la toile de ses neurones, les noeuds de sa raison et l’enchevêtrement complexe de sa logique, et je suis déjà découragé à l’idée de devoir expliquer quoi que ce soit. Je me dis que c’est bien trop complexe et bien trop chiant, du coup j’abandonne.

Alors, contentons-nous de ce fait : aujourd’hui, le lapin a décidé d’aller voir le Chapelier. Et qu’il trouva alors porte close.

De quoi l’agacer, mais me souffle-t-on, qu’est-ce qui ne l’agace pas déjà ? Trouver porte close l’agace, s’être déplacé pour rien l’agace, l’idée qu’on va lui proposer du thé, un breuvage qu’il n’apprécie pas plus que ça l’agace. Il s’est agacé en marchant, à se méfier de la moindre ombre qui pourrait être l’autre lui sautant dessus, il s’est agacé à finalement ne voir personne et s’est demandé ce qui allait lui tomber dessus plus tard. Quoi qu’il se passe, il se sait perdant et ça l’agace. Et même sans savoir pourquoi, il s’agace.
Alors, la moindre contrariété, c’est comme envoyer un rivet sur un ballon, ça devrait le faire exploser, enrager et fulminer encore plus. Oui, ça pourrait. Mais comme dit plus haut, son mental est à présent une machine si mal huilée et désastreuse qu’elle en est incompréhensible et imprévisible. Car ici, Lapin soupire juste devant la porte close et se gratte le côté de la tête. Est-ce poli, malpoli d’entrer malgré ce signe bien évident qu’il n’y aura pas d’accueil aujourd’hui ?

Oh, et puis, comme s’il en avait eut un jour quelque chose à faire ! White Rabbit ne connaît pas vraiment la signification d’une porte close car à qui peut se téléporter, aucune porte n’est vraiment fermées. Il regarde un mur désert, concentre son regard dessus et en quelque seconde, un trou de terre se forme, un terrier se transforme en porte d’entrée et les mains dans les poches, White avance dedans, prenant soin de fermer derrière lui. Le terrier est à son habitude, à l’image de son mental, perturbé et perturbant. Des chaises volent, des lampes sont à moitié enfouie dans la terre et offre une lumière faiblarde et clignotante. Des portraits somptueusement encadrés semblent regarder celui qui passe en leurs domaine. White ferme les paupières, ignore leurs yeux qu’il lit comme accusateur, des yeux qui pourraient le forcer à mieux regarder toute la situation merdique dans laquelle il évolue depuis des années. Alors marchant sans s’arrêter, il réfléchit à la sortie. Il visualise à un mur qu’il pense vide et au bout du terrier dans lequel il s’est engouffré s’ouvre une sortie chargée de lumière et d’odeurs colorées. Rien de bien perturbant dans la demeure du Chapelier Fou.

Le Lapin blanc débarque dans un salon, entend une agitation à l’extérieur, vers la fabrique à thé et marche vers la première fenêtre pour observer la scène. Le terrier se referme naturellement, maintenant libéré de son occupant, et ne laisse sur le mur qu’une tâche de propre, ayant déloger le peu de poussière qui pouvait se trouver jadis dessus. White observe et se dit que l’une des machines semble avoir péter un plomb. Je lui susurre alors aux creux de l’oreille Plus que toi ? Ça m’étonnerait !. Il secoue la tête, comme pour se libérer d’une mouche de mauvaise augure qui lui volerait autour des oreilles.

Qu’il est mignon, le petit lapin à bondir précipitamment à travers la fenêtre quand il observe le chapelier sortir de la fabrique teintée de mille poussières colorées. Il est inquiet ? Peut-être un peu, mais son air renfermé se fait vite ennuyé, on n’est pas un parfait connard dans le coeur des gens sans y mettre un peu du siens. Il pousse les badaux accumulés autour du Chapelier et adresse à ce dernier un regard presque courroucé. Est-ce qu’il est vraiment énervé ? Non, mais White ne sait plus comment moduler son visage autrement.

Après le salon de thé, le salon fumoir ?

Oui, bonjour, comment ça va, pas blessé, qu’est-ce qu’il se passe, merde. Le Lapin ne s’encombre pas de tout ça. Les bras croisés, foudroyant du regard quelconque aurait le mauvais esprit de protester contre la place qu’il s’est imposé, il attend. Presque battant du pied.
Mad Hatter
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TEA OR NOT TO TEA ?
WHITE RABBIT x MAD HATTER
La situation ne pouvait pas s’éterniser et il n’aimait ça que lorsqu’il en était l’auteur. Entre réparer la fichue machine ou établir un plan pour faire payer le coupable aux oreilles pointues, il hésitait encore. Le chapelier était si certain qu’une boule de poils en était à l’origine qu’il en fut rapidement distrait. Prenant des poses aléatoirement dans le but premier de se divertir et d’accélérer la poussée d’idées, Mad se donne en spectacle quand l’heure est grave. Bien vite la petite foule se disperse à l’arrivée d’un grand dadet blond dont les rides du lion font paraître la bête bien plus féroce qu’elle ne l’est en réalité. Se remettant à peu près droit, un soupire passe les lèvres du chapelier qui sourit malgré tout en levant son index. « Ah, mon très cher White, c’est un plaisir de te voir ! » jamais il ne tiendra rigueur au manque de paroles du lapin, après tout cet ami précieux n’était pas doué avec les mots… hm quand il n’y mettait pas du sien du moins et c’était surement l’un de ces moments. Fort heureusement, le styliste était de la même trempe, à quoi bon s’encombrer pour mettre en évidence ce qui l’était déjà après tout ? « Très bonne idée ! Des cigares au thé ? Ou des narguilés ? Transformer un problème en solution, il n’y a vraiment que toi pour faire ça ~ »

La plaisanterie était malgré tout maitresse dans le domaine du chapelier et son optimiste, bien que légèrement ébranlé s’était vu ravivé par la présence seule du lapin. « Je doute que ce soit possible si Mathilde décide de ne pas coopérer. Elle se plaint, je crois.. d’avoir trop de corvées » Oui, cette machine portait un nom et bien qu’inanimée, il savait qu’il lui en demandait trop. Le chapelier mit ses mains autour de sa bouche pour crier vers l’appareil « Peut-être que nous pourrions en discuter ? Une aide masculine ou féminine pourrait aider ? Bien que je ne sache pas réellement ce qui pourrait combler une machine… » c’était d’un compliqué, ne pas connaître les rouages l’agaçait fortement. C’était certain, il se mettrait à la mécanique de ses appareils dès que ce serait réglé !

Toussant encore de la fumée, Mad se tourne vers Rabbit « Me prêterait tu pattes forte mon cher lapin ? Histoire d’avoir autant de tasse de thé que tu le souhaite au plus vite ? » Lui non plus ne faisait pas plus preuve d’empathie envers son vieil ami. Mais n’était-ce pas ce qui était appréciable dans cette relation des plus étrange ? Aucune question qui ne saurait compromettre l’humeur de l’un ou de l’autre comme ça. Ils allaient devoir entrer et se rapprocher de la folle furieuse, une chose dont il n’avait absolument pas envie, aussi agité soit-il d’ordinaire, lorsqu’il devait montrer l’exemple et être l’instigateur d’une réussite, forcément ça changeait la donne. Avec toute sa confiance, la tannée qu’il s’était prise précédemment lui avait légèrement fait passer l’envie. Pourtant, tout au fond de lui sommeil ce désir ardent de mettre un terme à Mathilde et de voir s’écouler peu à peu son huile sur le sol froid de l’usine. Un petit rire sadique lui échappe en pensant que son crime resterait impuni, parce qu’elle ne serait pas considérée comme une personne. Quelle cruauté de se croire juge. Philosopher autour de ce qui est et n’est pas ne lui rendra pas son thé par ailleurs. « Bien, bien, bien soyons-fou ! » lance le chapelier avant de s’engouffrer dans l’immense bâtisse. La fumée donnait une ambiance effroyable, lui permettant de se frayer un chemin tout en piquant des ustensiles ici et là afin de s’en munir. Une passoire sur la tête, une épaisse cuillère dans les mains, il tend ce qu’il trouve d’autre au lapin, le jaugeant au possible en couvrant son nez d’un mouchoir sortie de sa poche arrière. « Hm… crois-moi, tu en auras be-» soin… oui, il allait leur falloir des soins si ça continuait. Car à l’instant même ou il avait prononcé ses mots, quelques boulons s’étaient précipités dans leur directions, éjectés de la machine grinçante. « N-est-elle pas charmante ? ~ »
701 MOTS
@white rabbit
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Attrape-moi si tu peux

ft. Le forum

Tu sais où tu peux te le mettre ton thé ?

Aaah, White. C’est à se demander comment vous pouvez encore vous appeler l’un ou l’autre “ami”. Vous avez l’empathie d’une brique, la sympathie d’une mare et vous êtes aussi avenant l’un envers l’autre qu’une brique dans cette mare.
Vous parlez l’un avec l’autre avec si peu de considération que ça devrait être suffisant pour mettre le feu à la poudre que tu es devenu. Un Lapin dynamite et dynamique qui bondit pour échapper au feu rampant qui va vers lui et qui fuit, qui fuit...

C’est sans doute votre tolérance qui rime avec l’ignorance qui vous maintient en vie, qui vous maintient un peu ensemble. C’est peut-être ça qui marche, le Chapelier qui ignore l’attitude du Lapin qui fait d’habitude fuir n’importe qui, et White Rabbit, qui pour une raison obscure tolère ici ce qui l'agacerai chez qui que ce soit d’autre. Les poses, jouer avec ses paroles, l’excentricité, l’optimisme. Va savoir ; cette fois, ça ne lui fait rien, ça ne l’agace pas, c’est comme une danse qu’il accepte de valser, lui qui déteste tant swinger habituellement.
Quelle étrange union, étrange situation. White, sa vie est tellement chaotique que pour chercher un peu de paix, il va dans le domaine d’un chapelier toqué. N’est-ce pas un peu fou de prime abord ? Pourquoi s’étonner alors de ces situations loufoques.

Une Machine, Mathilde, se rebelle et fait des siennes. Le chapelier, bien fou, demande de l’aide au lapin. Tu sais ce qu’il va te répondre le lapin ? Il s’en fout de cette machine, de ce domaine et au fond, de toi aussi, Chapelier. C’est ça, le vrai Lapin, celui qui se barre sans même te regarder, c’est ça le lapin de maintenant. Mais le White d’avant, qui s’exprime encore en de rares occasion au côté du maître des thés, lui, il hausse des épaules et fait “Ok, pourquoi pas.” sans grande conviction cependant. Il est agacé que son instant de paix soit ainsi importuné, mais c’est une rage douce-amère, facile à contrôler.
Et comment la trouves-tu, cette paix, White ? Par une nouvelle fuite, dans le passé, avant tout ça, avant un malheureux “splortch” qui le poursuivra toute sa vie, le début de sa folie, l’instant où une graine de ronce s’est implantée et a cerclé son coeur, avant la naissance de l’araignée dans le plafond. Il rêve un peu de ces temps d’avant tandis qu’il suit sans mot dire le chapelier dans cet étrange bâtiment. Ce dernier tend quelques équipements, le Lapin hausse un sourcils avant qu’un boulon saute et passe à quelques centimètre de son nez. Il voit l’impact sur le mur. Il sent presque encore le vent qui a sifflé et claqué près de son visage.

White revient à lui, tout rageux à son habitude, sort en quelque bonds du bâtiment et se met derrière une porte pour fulminer.

Mais ça va PAS BIEN ?!” Il ne sait pas qui il agresse vraiment de sa colère qu’il déverse… la machine ? Le chapelier ? “Tu sais que si je crève, moi c’est pour de bon ? Pourquoi approcher de cette Mathi-MACHINE, se reprend-il avant d’entrer dans le jeu de Mad, alors qu’on peut la bousiller à distance ? On n’est pas juste des alices que je sache !

Oui, c’est ça, bousiller, c’est sa solution, à White. Tout détruire et partir des cendres et des ruines pour mieux avancer. Car il est lourd ton passé, pas vrai White ? Il le voit comme tant d’entraves autour de ses jambes qui l’empêche d’avancer, des ronces empoisonnées qui lui griffent les chevilles et le font tomber, l'entraînent en arrière alors que lui se débat. Il aimerait s’en débarrasser, faire comme si ça n’avait pas existé. Repartir alors de zéros.

Mais est-ce la solution ? Est-ce que tu ne confonds pas tout, White ?
Ici, ce n’est qu’une machine qui se plaint de sa condition d’ouvrière.
Mad Hatter
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WHITE RABBIT x MAD HATTER
L’attente ne dura pas, le lapin acceptait de lui prêter main forte et ce fut avec prudence qu’ils s’immiscèrent dans le domaine de Mathilde. Son antre était aussi ténébreux que la tanière d’une chauve-souris. Immédiatement, ce fut la protection de leurs personnes qui invita Mad à proposer des ustensiles comme armures et boucliers. Avant même qu’il ait pu avertir son compère, Mathilde avait repéré leur présence et l’indigo Se fige en observant à son tour le bouton enfoncé dans le mur derrière eux. La fureur du blond était compréhensible, faisant réaliser au chapelier qu’il était condamné à errer lui, contrairement aux autres à moins qu’un ne le prive de deux choses. Revenant cependant rapidement à ses moutons mécaniques, le styliste reboucle la mèche au sommet de sa tête. « Milles excuses… ce n’est pas sans risque pour moi non plus » mourir n’avait rien d’agréable, même s’il ne risquait pas d’y laisser sa peau, il en perdrait un peu plus de lui et de sa faculté à comprendre quelle émotion pouvait bien traverser les esprits. Bien sûr, l’observation pouvait compenser. La peur, la colère, l’envie d’en découdre dans la voix du lapin n’est pas sans noter que ce dernier menaçait la vie de sa machine.

« Plait-il ? » dit-il en battant des cils comme un papillon bat des ailes. Il agite ses doigts fins dans l’air avant de refermer complètement les poings. « Pourquoi la bousiller ? Elle souhaite juste un peu plus de considération, je peux lui en donner… à condition qu’elle veuille écouter. Mais, hm, tout compte fait il serait bien d’avoir un plan de secours » débrancher Mathilde, c’était évident ! Une sorte de coma avant qu’elle ne soit réparée. Son index levé droit et ses yeux grands ouverts, un sourire se dessine tandis qu’il observe le lapin. « Il faut couper l’alimentation qui est à mi-chemin entre elle et nous. Par chance, elle ne peut pas se déplacer n’importe où puisque sa prise vient du mur derrière elle. » Leurs déplacements pouvaient donc se faire sans crainte d’être agrippés par l’un des bras mécaniques, il n’y avait qu’un détail non négligeable : elle balançait ses boutons ainsi que d’autres résidus de sa folie en leur direction. Devaient-ils se taire ? Où les suivrait-elle du regard si tenté qu’elle en ait un ? « Un shifumi pour servir d’appât ? ~ le gagnant qui s’y colle » dit-il avec cet humour particulier puisqu’il comptait bien y aller, quelle que soit l’issue de leur petit duel. En réalité, il n’avait pas lieu d’être dans une situation alarmante, mais c’était Mad et agacer un peu plus la machine leur donnait un répit sur ses munitions tant qu’ils étaient en sécurité assis par terre derrière un meuble. « Quoi qu’il en soit, tu as déjà accès à mon domaine quand bon te semble et je ne te ferais jamais payer un seul thé, il faut que je réfléchisse à comment te remercier mon ami » et il pesait ses mots, mêlant le sérieux au non sérieux, appuyant de son regard qu’il n’était pas en train de plaisanter sur sa loyauté envers le colérique lapin.
524 MOTS
@white rabbit
des carottes ?
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ft. Le forum

Tu sais où tu peux te le mettre ton thé ?

Oh, Mad Hatter, que ta voix est une douce mais parfois grinçante musique à mes oreilles ! Tu as cette capacité à enfoncer White avec tes paroles car toi, tu sais ce que tu as de différent ? Il t’écoute encore, tes paroles ont encore un effet sur lui. C’est une force, autant qu’une faiblesse. C’est si douloureux pour lui, je prends tes mots, je les transforme en lui susurrant la nouvelle version à ses oreilles allongées et scie, par ce fait, un peu plus le fil de sa raison.
Un peu de considération, plutôt que bousiller, dis-tu. Oh White, n’est-ce pas là le problème ?  Car tu as manqué de considération avant de le bousiller, lui. N’est-ce pas là que tu as fauté ? Si tu avais écouté ? Comme le Chapelier ? Vraiment, tu te prétends sain d’esprit ? Oh, la douce symphonie, écho de sa vie passée qui le ronge, le ronge...
La ferme.” répond-il à mi-voix à mes provocations, il m’écoute, m’entend ; que je me sens bien dans ton domaine Chapelier ! Si puissante !

Il tremble presque, les mains qui s’enfoncent dans la terre alors qu’il se laisse tomber contre le mur qui l’abrite de l’impossible Mathilde. Ses ongles raclent le sol, il sert les dents, la terre tremble doucement sous lui comme en réponse à son désir de fuir tout ça. Car White pense que tout ce qui l’entoure peut bien exploser pour ce qu’il en aura à foutre. Tout foutre en l’air, comme il l’a tant fait déjà ! Tout laisser tomber, partir sans revenir et enfin céder à la terrible solitude où seuls ses démons hurlent encore. Oui ouiii, maître des Chapeaux, c’est si facile de prendre tes paroles, de les twister pour blesser le lapin déjà si meurtri !
L’achever n’en seras que plus facile.

Mais là tu arrives de nouveau avec ton miel qui l’aide un peu à cicatriser, à le calmer par sa chaleur d’ambre. Tu l'appelles Ami, tu dis vouloir le remercier, tu lui rappelle qu’il aura toujours une place ici. La terre ne tremble plus et White souffle, comme un trop plein d’émotions qui se décharge, sa colère qui s’éteind alors que la culpabilité d’avoir voulu envoyer tout ça à la poubelle le berce. Il a l’air triste le Lapin, peut-être qu’il aurait du aller te voir quand ça n’allait pas, peut-être...Il secoue la tête, détourne le regard pour ne pas croiser celui de son ami, bien trop pudique pour avouer de la tristesse qui se love en lui et lentement tends le bras pour mettre son poing en vue du chapelier.

Pierre” il abat son poing fermé vers le sol. “Papier” une deuxième fois. “Ciseaux” Cette fois, ces doigts se tendent en papier. Il fronce les sourcils et marmonne en soupirant “Pas la peine de me remercier, je vais me sentir mal sinon.
Car ça te ferait mal de te sentir un peu aimé, White ? Apprécié ? Quel homme tordu, dans un pays tordu.
Le chapelier lui rappelle ce que ça fait de vraiment ce soucier de quelqu'un, il lui rappelle l'époque où il ne jouait pas au parfait connard. C'est rafraichissant pour lui, autant que c'est usant. Pauvre Lapin, tu te perdra tout seul, pas besoin de me glisse dans votre histoire.

Il y a la place pour un terrier ? Je peux peut-être aller facilement derrière… Mathilde, cède-t-il finalement. Pour la… débrancher, juste. La mettre en pause. Et on verra après

Quelle est amère ta voix, White, pleine de tes regrets passés, de tes désirs de tout changer. Tu gardes le regards loin de celui du chapelier pour ni voir, ni être vu.
Quel triste clown tu fais.
Mad Hatter
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WHITE RABBIT x MAD HATTER
Ses poings serrés, le lapin n’est pas content et ça, le chapelier le sait pertinemment. Rares sont devenus les moments de paix, esprit tumultueux ou règne de gros nuages sombres partageant l’espace avec quelques rayons de lumières. Mais elle ne filtre plus assez, le soleil se noie dans une marre de fumée. Il le connait si bien qu’il pourrait y entrer. Pourtant, pourtant il ne s’y risquera pas, changeant subitement le débat de ses propres pensées pour établir un plan d’action qui ne mettra pas en péril sa propre santé mentale. Il est question d’un business à rétablir sans se faire tuer au préalable et de courant à couper sur un jeu. Nulle place pour les émotions, dirons les mauvaises langues, pourtant, Mad sourit et cherche un moyen de rendre ce précieux service à son ami. Il gagne en tendant deux doigts gantés comme ultime réponse à leur parade. Mais ça ne lui suffit pas. « Pourquoi donc ? Je te dois beaucoup, lapin. Nombreuses sont mes connaissances, rares sont celles qui sont plus précieuses » et étincellent autant que ces lueurs émeraudes dans la nuit. Sa folie se dissipe autant que le nuage qui les couvre et les risques sont censés être pris, mais le styliste n’est pas d’accord.

Dans une moue contrariée, d’un regard surpris il le lui fait entendre. « De nous deux, je préfère de loin finir en passoire, comme tu l’as souligné, je n’y perdrais pas la vie » juste quelques morceaux douloureusement à l’en faire perdre la tête, ces détails étaient inutiles à expliciter. « Je vais tenter d’y passer, dans tous les cas je serais une assez bonne diversion pour que tu coupes le courant, faisons plutôt comme ça » il ne lui laissa pas le choix, pour protéger un allié, il devait se sacrifier et ce geste téméraire n’avait de valeur à ses yeux que sa symbolique dans le regard du lapin. La douleur, il l’avait déjà expérimenté, fous étaient ceux qui s’en étaient pris à lui, mais par chance ne pouvaient en témoigner. Ils ne connaissaient pas son secret, ils ne pouvaient le tuer à moins d’être terriblement synchrones. Lui était condamné à la vie éternelle et voir son propre entourage se diluer dans une eau trouble à mesure que sa mémoire emprisonne les visages et ne les ranges dans des boîtes suspendues. Parfois elles tombent dans le vide, d’autres restent, endommagé et certaines encore sont plus solides qu’un diamant brut. Mais il y avait toujours un défaut, la corde qui les maintenait était d’une matière différente pour chaque paquet.

« Mathilde hésitera peut-être à me mettre en pièces, espérons-le, en quel cas… et bien ce sera malheureusement son tour » à contrecœur, il pourrait la remplacer, mais le chapelier aime ce qui est à lui et les vieilleries encore plus. Il observe le lapin dont le regard s’enfuie ailleurs, partout, pourvu que ce ne soit pas sur lui. Oh, il règlera ce petit problème de contact une fois le plus imminent sous contrôle. Le chapelier a bonne mémoire et il ne laissera certainement pas ce détail passer. Car ce sont bien eux qui définissent le caractère d’un objet, d’un travail, d’une personne. Tous ces détails qui ensemble forment un cube aux faces différentes, colorées et eux-mêmes composés de cubes. « Bien, allons-y chacun à son poste » dit-il, son chapeau toujours en évidence pour attirer l’attention du bolide dont les vapeurs s’échappent dans des feulements sauvages.
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on n'est pas sortis de l'auberge mon lapin !
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Les carottes sont cuites

Encore du miel, White, qui lui colle à la peau, comme une affection qu’il ne désire plus et qui lui reste dessus. Quelqu’un d’autre qu’il n’arrive pas à faire fuir, pas vrai ? Malgré tout ses efforts, malgrés ses élans de colères, sa mauvaise foi, malgré ses fuites constantes ? Il fallait bien que ce soit le Chapelier Fou pour le supporter. Est-ce qu’il est devenu fou suite à sa proximité avec un certain lapin ? Ou ce dernier a-t-il était circonstance aggravante ?

Que le Lapin ne se donne pas trop d’importance, il n’est rien dans la vie d’un autre, il le sait bien. Il s’aimerait tant insignifiant, tant poussière qu’il essaye de faire en sorte que les souvenirs de lui ne soit que cendres dans les esprits des autres, ou le deviennent quand ce n’est pas encore le cas. Ça a si bien marché avec sa famille, pourquoi pas les tous autres ? Il soupire et ferme les yeux, se recompose son faciès courroucé, avec ses sourcils froissés, sa bouche étirée vers le bas. Ses yeux roulent dans leurs orbites à entendre une nouvelle marque d’affection, sa colère teinte sa voix quand il l’ouvre de nouveau. “Oh la ferme !” Colère comme défense contre la tendresse, comme une limite à ne pas dépasser, à ne pas l’approcher…. Et colère d’avoir dit des paroles qu’il regrette. “Oublie ce que j’ai dit ! Tu ne peux pas mourir, okay, mais ça fait mal quand même un mal de chien, non ?
Petit lapin, à ça de toucher la vérité de ce qui te ronge de l’intérieur, à ça, à ça… Il tape des pieds, il secoue la mains pour chasser la petite mouche qui lui susurre des mots noirs dans les oreilles, pour remettre le brouillard devant les yeux. Ce que ça le détruira quand il comprendra, quand il réalisera. Mais pour l’heure, White se concentre, il se relève sur ses deux pieds, enlève la poussière qui peut avoir trouvé place sur ses vêtements. Il aime être immaculé, mais au fond, à jamais son âme est teintée. Il met juste des oeillères pour ne pas le voir. Idiot de lapin.

Ok, tu veux me remercier ? Interdiction de mettre ton vilain sang sur mes vêtements.” Il regarde le chapelier, l’air fermé, détaché, l’air de celui qui s’en fout de la santée de son ami. Ses paroles aussi, son inquiétude, il les déguise sous des arguments stupides et égoïstes. “Interdiction d’être blessé.” traduit-il dans une pointe de sincérité, dans un moment où le feu de sa mauvaise foi s’adoucit  “J’ai horreur du sang.” Oh, White, vraiment ? Du tiens, ou celui des autres ? Ou celui de tes proches ? Ou est-ce que ça rappelle en toi une scène vraiment, vraiment maudite ? Tendre imbécile ta violence naturelle te contredit.
Mais le lapin, à ses habitudes, ignore tout ça, reste aveugle à notre valse autour de ce qui pourrait le détruire car il se construit une responsabilité, il se forge son bien être mental autour de sa tâche avec Mathilde. Il jette un regard à la furieuse machine, observe un peu autour pour tâcher de voir la prise cachée dans les épaisses fumées, mais sitôt qu’il essaye de la deviner, un boulon vient s’écraser près de sa cachette. White se détourne, sa colère toujours vivantes reprends quelques nouvelles couleurs. “Je vais pas me laisser intimider par une putain de machine.” grommelle-t-il, les joues un peu plus empourprées. Il ouvre alors un terrier, à ses pied et un autre, près de la machine espère-t-il. Du premier trou s’échappe les vapeurs colorées et denses et viennent l’enfumer assez pour qu’il ne puisse pas voir l’issue. “Coopération, Chapelier ; est-ce que je semble proche de la prise ?” Car ses terriers sont imprécis s’il ne voit pas où aller, ou s’il ne connaît pas assez la typologie… et risquer son nez pour regarder, alors que le chapelier s’est proposé à ça ?

Pas pour toute les carottes du monde.

Comme elle est étrange, White, ta marque d’affection, cette confiance que tu lui portes à ton ami Chapelier, cette façon de compter sur lui. C’est ta façon à toi de lui montrer, alors reste caché et prie pour qu’il n’y ait pas de blessés.

Mad Hatter
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TEA OR NOT TO TEA ?
WHITE RABBIT x MAD HATTER
Il était tenté d’en rire, le chapelier, de cet agacement qu’il provoque, mais il ne peut s’en empêcher, appréciant la complexité des émotions qui traversent le lapin. Il est en mesure de les ressentir toutes, lui. Si Mad en est capable, il s’y sent presque imperméable par l’absence de pudeur dont il fait preuve vis-à-vis de cela. Il ne souhaite aucunement que son ami se blesse et si la curiosité malsaine qu’il nourrit secrètement aurait pu le pousser à dire oui, la crainte certaine de le voir inerte pourrait très bien faire ressortir le pire chez lui. Le styliste inspire donc profondément, toussotant par intermittence la fumée colorée qu’il inhale. La douleur est exquise lorsqu’elle est accompagnée de sa folie, se glissant sous sa peau dans le sifflement d’une bouilloire ou plutôt celle d’un serpent. Il frissonne en la sentant le parcourir, mais se ressaisit bien vite. « Il est vrai, mais ce sera toujours moindre à côté de la mort et si tu la cherches, je ne t’aiderais pas à la trouver… pas maintenant » dit-il, pour se corriger lui-même. Il serait bien capable d’aider un être à trouver sa fin, mais il n’en avait pas la motivation, pur égoïsme que de vouloir le blondinet bel et bien fringant à sautiller dans ses terriers.

C’est l’autorité qu’il rencontre et si d’ordinaire les mots sont coincés entre les dents du lapin, cette fois il ne les mâche pas et sa diction est précise à en faire sourire le styliste fort mécontent. Il valait mieux se méfier de ses manières, car lorsqu’on les connaissait, on pouvait éventuellement déceler avec beaucoup d’attention que Mad Hatter avait quelques tocs. Une petite fossette qui tressaute à la moindre contrariété et un croc qui se laisse volontiers dévoiler pour accentuer le degré de frustration engendré. « Pas de sang, je note » et il ne pouvait rien promettre, mais en ce cas il allait devoir redoubler de prudence et mettre éventuellement en pièce la machine qui lui était importante. Peu importe, son amitié valait mieux que les souvenirs d’un thé unique dont il était persuadé n’aurait pas le même goût sans la fameuse Mathilde.

Le pied frappe au sol et le terrier se forme tandis que la colère monte chez l’invité qui s’impose. Si les répliques le font rire, le geste lui l’offusque grandement et de sa posture la plus droite, à son tour il le lui interdit. « White Rabbit, ton terrier n’a rien à faire derrière Mathilde, tu as beau être courageux, je ne plaisante pas je ne veux pas que tu y laisses ton pompon » et c’était d’autant plus vrai qu’il y perdrait beaucoup en peu de temps. Il connaissait notamment une personne qui ne manquerait pas de lui faire couper la tête à répétition pour le simple plaisir d’une vengeance méritée. Il n’en avait pas peur pourtant… ce n’était donc pas ce qui le rendait si avenant. Le chapelier avait bel et bien des sentiments et s’il ne se laissait pas glisser dans le terrier, c’est qu’il savait bien à quel point White y était si attaché.
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@white rabbit
tu t'es pris pour panpan ? <3 mais c'est toi qui va recevoir une fessée si tu passes par ce terrier !
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Tu sais où tu peux te le mettre ton thé ?

Hey, White ? Tu comprends plus rien et ça m’arrange, c’est un bon terreau, ta relation avec le chapelier, pour te faire glisser petit à petit vers l’autre côté.

Qu’il arrête ses manières, le Lapin, et qu’il laisse sa logique et sa raison à d’autre ; il les a gardées, abîmées, usées, tellement tordues pour se faire au moule de son existence qu’il n’en a plus grande utilité, qu’il ne peut plus en faire grand chose maintenant. C’est plus un fardeau qu’autre chose, même cette relation, pourquoi s’obstine-t-il à l’avoir encore ? Qu’il s’en débarrasse, elle le déstabilise tant ! Mais moi, petit agent du chaos qui veut sa perte, ça m’arrange bien. Quand le chapelier lui parle de l’aider à mourir, même si c’est pour déjà en refuser la requête non formulée, l’herbe sous les pieds du lapin s’en retrouve fauchée. Il chancelle un peu, se reprend en secouant la tête, en colère “Mais ! Mais je veux pas... !” qu’il commence, mais sa gorge se sert, incertaine, il perd pied, inquiet, et il manque de souffle pour souffleter cette injuste affirmation. Il essaye de s’affirmer, reprendre d’une voix assurée “Je veux pas… pas… pas mourir.” mais sa voix trahie par son trémolo l’hésitation qui sommeille au fond de lui, ses sourcils sont froncés, mais cette fois ce n’est pas la colère qui froisse son visage, c’est autre chose, autre chose.... Est-ce que c’est ce qu’il veut ? L’ultime geste pour prouver que cette vie lui appartient ? Une réponse à ses craintes et ses démons, une réponse à l’autre.

Non, il n’en est pas encore là, White arrive à se convaincre qu’il est libre de ses choix, c’est en personne libre qu’il a quitté le château, qu’il est venu dans le domaine, c’est parce que sa vie est sienne qu’il a trépassé les portes fermées pour rejoindre le Chapelier. Il est libre.
Il est libre…
En est-il sûr ? Certain ? Remets tes oeillères, lapin, couvre toi de tes mensonges, bouche tes oreilles et tais-toi, tais-toi… Respire les fumées colorées avant de retourner dans l’air empoisonné du château car tu y retourneras, tu y retournes toujours. Et tu ne sais pas pourquoi.

Et il ne sait pas pourquoi non plus, d’un coup, l’idée de passer derrière et débrancher Mathilde n’est plus d’actualité, le chapelier le lui interdit. Autrement, par provocation le Lapin l’aurait fait, il aurait sauté en regardant droit dans les yeux la personne lui donnant des ordres, sans réfléchir aux conséquences. Pour faire chier, pour être déplaisant. Parce que c’est White Rabbit et qu’on entretient pas une réputation de merde sans faire aucun effort.
Mais ici, parce que c’est le chapelier, White lâche juste un grognement mécontent et râle à son habitude.

Ah, mais merde à la fin ! C’est pas ce qu’on avait convenu ? Tu détournes l’attention de Mathilde et je mets Mathilde en pause en la débranchant ?” Puis, il a une subite réalisation, l’outrage de la pucelle à qui on fait des allusion coquine se pose sur ses traits, avant de reprendre sa teinte de colère naturelle, le rouge aux joues en plus. White articule alors chaque syllabe, lentement “Tu ne passes pas par un de mes terriers.” Voyons, Chapelier, c’est tellement personnel ! C’est un petit bout de folie de White qui s’exprime dedans, par ses objets volants, par son chaos ambiant, mais peut-il l’avouer ? Il s’imagine qu’ils sont ainsi, car le monde est fou, mais s’il le souhaitait, il se souviendrait, de son premier terrier, il se souviendrait combien il était normal, tout juste constituée de terre battue… C’est lui qui est battu maintenant. Alors non, personne ne passe par là, encore moins le chapelier Toqué qui pourrait lui dire “hey, t’es pas mal barré aussi.” Pour en être sûr, il ferme le tout, croise les bras sur son torse, fusillant Mad du regard au passage et s'appuie de nouveau sur la porte où derrière, la furieuse machine continue de cracher fumée et boulons.
Il boude.
Ah... La situation ne se débloquera pas, pas comme ça.

Il soupire avant de se pincer l'arête du nez. “Ok. Soyons un peu logi…” Il regarde le chapelier Fou d’un oeil et se corrige “Intelligent. Soyons intelligent. Ok, Mathilde est branchée derrière elle, c'est dangereux de l'atteindre. Pour moi et toi aussi.
Mais ! Mais l'électricité vient de quelque part. Y’a pas un disjoncteur général ou un truc qui fait qu’elle n’aurait plus de jus ?


Il regarde le maître du domaine, cherchant une meilleurs solutions qu’une où il y risquerait son pompon, comme il est si joliment formulé… ou pire, une où quelqu’un passerait par un de ses terriers.
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