The otherlands
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 Épreuve 2 || Esquisse - Peek a Boo

Père Castor
Conteur d'histoires
Icône : Épreuve 2 || Esquisse - Peek a Boo K5OhCv3
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 331
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Père Castor
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Epreuve 2

La corde raide
Esquisse - Peek a Boo

Énoncé:

Tic tac. Tic tac. Le temps file et plus il s’écoule, plus les soucis s'accumulent. Vous devez trouver une solution à votre souci avant que la situation ne soit irrécupérable. Remuez-vous le popotin!

C’est une course contre la montre. Fuyez un temple avant qu’il ne s’écroule, réparez la théière préférée de maman avant qu’elle ne revienne, sauvez le monde d’une pluie de boulettes géantes, c’est à vous de choisir votre défi et de vous en sortir (ou non).

Contrainte:

En duo choisissez un champ lexical que vous annoncerez avant le premier post de votre mini-rp. Tout au long de votre rp, intégrez le plus de mots possible de ce champ lexical.

exemple d’un champ lexical :
Le cirque: acrobate, chapiteau, spectacle, amusement, fauves, dresseur, mime, art, funambule, Dumbo, comédie, clown, scène, trapèze, jongleur, voltige, etc.  

Rappels importants:

Cette épreuve est d’une durée de 72h. (Du vendredi 24 mars à 00:01 au dimanche 26 mars à 23h59.)
Il s’agit d’un mini-rp en 10 posts (5 par champion) d’un maximum de 350 mots.
Indiquez les trigger warnings (TW) en début de post s’il y en a et évitez les sujets sensibles. Si cela est impossible ou en cas de doute, utilisez notre code pour y insérer les passages plus délicats.
Code:
<div class="TW">Le texte</div>

Si vous ne voulez pas être commenté, indiquez-le de manière visible au début de votre post.
Les description de votre forum ou personnage en spoiler sont autorisées.



Le Triaire
Invité
Anonymous
Le triaire

CHAMP LEXICAL CHOISI: Combat
TW pour tout le RP: Violence


Description du Triaire:

Tout commençait ainsi. La fièvre avant l'entrer en lice, une clameur guerrière qui grondait lentement. D'abord lointaine, encore derrière les dernières barrières qui maintenaient un semblant de paix. Il sembla un temps que la crise à venir serait conjurée, qu'elle ne donnerait pas l'explosion attendue avec temps d'apréhension.

En effet, ce ne fut pas une explosion. Ce fut une véritable conflagration. Les cris enragés et les pas qui faisaient trembler le sol, la course effrénée qui justifierait les combats dans cette arène gigantesque qui serait bientôt le tombeau de tant.

Les masses de combattants se heurtèrent avec une violence destructrice, les chairs furnt écrasées sous les coups, les os tailladés. Une compétition sans limite, sans règle. Le règne de la violence et du chaos. Un temps pour la guerre. Un temps pour les guerriers.

Le Triaire se frayait un chemin dans cette horde hurlante, spatha à la main, poignard dans l'autre. La densité de la foule en furie rendait son bouclier inutile pour le moment. Plusieurs coups tintèrent contre les mailles de son armures et il punit les deux insolents qui avaient osé l'attaquer. Il visa le visage de l'un d'un geste et envoya l'autre à terre d'un coup de poing qui lui brisa le nez. Son regard d'acier était concentré, à la recherche de la seule qui avait de la valeur pour lui. Sous son armure d'acier étincelante, le rouge vif de ses vêtements en faisait un héros de jadis.

Des groupes se heurtaient autour de lui dans un chaos infernal. Pour chaque combattant tombé, deux autres prenaient la suite, leurs armes volants dans les airs pour semer la mort. Et lui avançait dans ce temple du carnage, invincible alors que les plus faibles périssaient, incapable d'atteindre l'objet de leurs rêves, leur volonté soufflé comme une flamèche par les grondements des affrontements.
Chaque coup prenait une vie, chaque mouvement de lame se traduisait par un cri de souffrance. Apercevant l'accès vers les niveau supérieur, il se jeta en avant, la machoire serré, le cœur résolut. La lutte ne faisait que commencer. Une journée qui marquerait l'histoire d'une pierre carmin.
Poppy Albert
Invité
Anonymous
Poppy Albert

VOICI POPPY EN QUELQUES LIGNES:

C'est un beau vendredi après-midi qui se pointe le bout du nez. Il se veut tout aussi semblable que les autres vendredis: un synonyme de tranquillité, de bien-être, de sérénité. Pour toi, cela veut dire principalement que c'est la journée idéale pour te libérer de tes tâches hebdomadaires, tel pratiquer le ju-jitsu, entretenir un jardin communautaire, flatter des chats ou fabriquer des potions explosives en compagnie de voisins d'appartement qui ont la science à coeur.

Armée de ton argent de poche, tu te diriges, grand sourire aux lèvres, en direction d'un magasin à grande surface. Tu as en tête d'acheter un petit quelque chose pour te féliciter d'être aussi acharnée dans la réalisation de tes missions quotidiennes. Arrivée à une distance raisonnable, assez pour que le logo de la boutique soit plus près que visible, tu perçois au loin une file à l'entrée. Étonnée de cette vue, tu te rapproches, tu ignores les drôles de plaintes d'autrui, tu prends ta place respectueusement et tu tombes dans tes pensées. Enfin, c'est à ton tour de franchir les portes coulissantes. Tu es encore en train de réfléchir. C'est un vendredi comme tous les autres, pourquoi est-ce si bondé?

Eh bien non. Ce n'est pas un vendredi ordinaire. Il est plutôt assombri, tirant vers le Vantablack. Mais ça, tu ne le sais pas.

Un branle-bas de combat se dessine devant tes yeux. Tu écarquilles ces derniers et tu figes en remarquant le saccage qui se produit en temps réel. Ça se chamaille, ça se querelle, ça s'accroche, ça te bouscule et tu t'excuses malgré tout. Intriguée, et le sourire un peu vacillant, tu te demandes si ces altercations existent parce qu'une personne a décidé d'insulter le choix des achats des autres. Ou pour toute autre raison méconnue, comme une incitation directe de la part du grand patron du magain. Bref, vaut mieux rester à l'écart et continuer tes recherches...
Le Triaire
Invité
Anonymous
Le triaire

Pas de répit. Juste avancer et frapper, avancer et encaisser. La lutte au pied des escaliers avait été féroce. Il avait fallut se frayer un chemin à coup de poignard et de dard. Pas de place pour la subtilité. Attaquer et frapper fort. La lumière omniprésente venant des plafonds n'ajoutait qu'un regard plus crû entre les trépassés et les blessés.

Il s'engouffra à son tour vers le niveau supérieur, attendu à chaque marche par un autre ennemi à la recherche de son trophée. Il dut cette fois prendre son bouclier tant les coups pleuvaient avec hargne. Mais il ne s'arrêtait pas et inlassablement broyait les barbares qui lui faisaient face.

Une frappe d'une puissance inouïe lui fit perdre ses appuis et il dut s'appuyer contre une rambarde. Une furie maniant un fléau d'arme lui faisait face, dardant ses yeux assoiffés de sang. Il leva son bouclier juste a temps pour parer le second coup mais la violence du choc menaça de le faire dégringoler. Rangeant sa spatha tant bien que mal il se saisit de sa dolabra et la planta dans les marche, encaissant une nouvelle attaque mais fermement accroché.
Le fléau tournoya une nouvelle fois dans les airs. La furie espérait bien en finir, poussant des cris de banshee qui couvraient la clameur ambiante de la mêlé générale. Il ne lui laissa pas le temps d'armer son assaut, se propulsant avec le bras tenant la dolabra et donnant un vicieux coup dans le menton de la créature avec la tranche de son bouclier. Elle jeta une main griffue vers son visage mais ne fit qu'érafler son casque d'acier. Elle avait perdu.

Il la souleva en la basculant sur son bouclier et se mit au bord du gouffre. Avant qu'elle ne bascule la furie lui jeta un regard de haine pure, poussa un cri inarticulé alors que lui même la faisait basculer dans le vide, l'effort lui arrachant un grognement animal.

Peu lui importait de voir ce monstre brisé au bas de la bataille. Il n'était pas venu pour la gloire. Un dernier pas, et il atteignit le second niveau.
Poppy Albert
Invité
Anonymous
Poppy Albert

Ton regard légèrement affolé poursuit sa route visuelle sur les étagères qui se vident au rythme de ta respiration. Eh bien, tout le monde s'est donné le mot pour magasiner aujourd'hui, c'est incroyable ! La prochaine fois, tu poseras la question aux gens dans la file pour savoir si les rabais sont à un point tel que vous devez vous combattre pour acheter un item !

Tu traverses la horde de guerriers en gardant ta tête et tes épaules baissées, comme si tu devais te frayer un passage dans une tranchée. Tu es habituée de voir des événements surnaturels dans ton quotidien, mais là, c'est un chaos total! Allons, allons, trouvons rapidement ce que tu désires et quittons vite les lieux; ce n'est clairement pas un endroit où tu devrais être.

Soudain, un cri strident. Un échange de coups retient ton attention dérangé par ton entourage. Tu lèves la tête et tu t'exclames en constatant la chute d'une dame dans les escaliers roulant. Tu accours vers sa direction. Tu restes toutefois un peu à l'écart en remarquant l'écume s'échappant de sa bouche et son regard violent. Voulant éviter de regarder cette scène plus longtemps, tu tournes les yeux vers le haut des escaliers et, aussitôt, tu es captivé par l'homme à l'armure scintillante. Il se démarque par sa fougue, sa détermination, son attirail romanesque.

Tu as envie de l'encourager. Tu as envie qu'il réussisse à atteindre ton but. Tu as envie d'être la spectatrice qui encourage bruyamment devant son écran un héros d'une série télévisuelle. Il faut dire aussi qu'il te fait penser énormément à Viktor, le chevalier pour qui tu fais des courses avec plaisir. Sûrement que ta curiosité morbide a un gros penchant pour ce genre de personne.

Un autre cri. Cette fois, un homme tente de se jeter sur celui cuirassé. Ta voix forte s'enfuit de tes lèvres, souhaitant avertir cet homme du danger imminent.
Le Triaire
Invité
Anonymous
Le triaire

Sans le cri il n'aurait pas pu réagir à temps. Sans cet avertissement  venu de nulle part sans doute aurait il du mettre un genoux à terre et finir emporté par le courant. Mais il réagit, puisant dans ses réflexes, ne se demandant pas qui était son sauveur, ni pourquoi. Son assaillant en plein saut se trouva d'un coup percuté par le bloc d'acier qu'était le bouclier, arrêté net, écrasé comme un moustique sur un pare brise trop sale.

Pas le temps de dire merci. Il est un guerrier. Il a une guerre à mener.

Des groupes se séparent, d'autres se forment. Certains s'entraident, d'autres se déchirent, incapable de tenir jusqu'à l'objet de leur quête, incapable d'attendre avant de se trahir. Lui n'est pas comme ça. Il essaye de se repérer mais un cor puissant résonne alors, un son si lourd qu'il en déforme l'air et l'aurait renverser comme les autres si il n'avait pas planté sa spatha dans le sol. Il serre les dents en comprenant ce que cela signifie.

Venant de couloirs cachés et de pièces secrètes, de nouveaux combattants arrivent. Des gardiens. Ceux de ce donjon. Avaient ils attendus que les hordes s'affaiblissent avant de se jeter au front ? Leurs fronts concentrés et leurs machoires serrées témoignaient en tout cas qu'ils ne s'attendaient pas à vaincre facilement. Tant mieux, il allait veiller à ce que cela n'arrive pas. Il était aller trop loin pour renoncer.

De nouveaux cris pour l'avertir. Ils balancent des bombes enflammés. Une fois, deux fois. Une troisième fois encore son bouclier est un rempart assez épais. Un poison monte, gêne la respiration. Les faibles tombent, sans panache, sans honneur. Ils ne sont pas dignes de leurs ambitions. Lui si. Sa vision est malgré tout gênée, mais il est aidé. Des ennemis sortent de la fumée au dernier moment, des attaques sournoises sont déjouées au moment de frapper. Il ne s'agit plus de vertu ou de vaillance. La victoire se passe de règles, plus rien ne compte. Uniquement l'absolu certitude que rien n'est trop cher payé.
Poppy Albert
Invité
Anonymous
Poppy Albert

L'homme à l'armure a entendu ton signal d'alerte juste à temps. Brandissant son bouclier, il repousse l'ennemi d'un mouvement si aisé que tu souhaiterais avoir les muscles qu'il possède. Peut-être que tu pourrais aller au gym pour avoir des abdominaux d'acier ? Juste à l'idée d'avoir un ventre en relief montagneux, tu retiens un petit rire.

Puis, tu ramènes tes yeux vers l'homme situé plus haut. Tu sautilles habilement entre les poings lancés et les corps inconscients pour finalement atteindre le deuxième niveau. Tu veux le rejoindre, tu veux l'accompagner dans sa quête et en connaitre davantage sur ce qu'il est, son armure, ses techniques de combat, ses animaux de compagnie. Oui, bon, ton coeur sera toujours pris par la Faucheuse, cette entité qui t'a accueillie avec gentillesse, mais tu es tellement curieuse d'autrui, tu ne peux l'empêcher.

Alors que tu es à quelques mètres de lui adresser la parole, l'intercom de la bâtisse crache dans tous les recoins des murs des informations, des codes qui doivent uniquement concerner les employés présents. Oh, vont-ils réussir à ramener l'ordre dans les troupes adverses? Tu observes les concernés, habillés de leur uniforme uniformément bleuté, se rassembler, s'accrocher aux coudes de l'un l'autre et s'avancer vers la furie sociale.

Ton sourire, habituellement indélébile, est désormais disparu. Tu comprends autant d'un côté que l'autre, tu ne peux choisir un camp précis...même si tu penches plutôt pour l'homme d'armure.

Subitement, un cri de ralliement est entendu dans la ligne d'employés. Une bombe lacrymogène est jetée vers la foule et la réaction est spontanée. Toi de même, d'ailleurs. Car lorsqu'elle est lancée au sol, tu sprintes en direction de ta cible et tu te postes devant lui, faisant confiance à ta mince silhouette et à ton immense chevelure rousse pour limiter les dégâts. Tu reçois de la fumée et tu t'étouffes, non sans te retourner et de t'écrier:

- Je vous couvre! Foncez, monsieur, foncez!
Triaire
Invité
Anonymous
Le triaire

- Je vous couvre! Foncez, monsieur, foncez !

Est ce un farfadet ou une mâne qui vient d’apparaître ? Enfant perdu de la guerre en un lieu qu'elle devrait fuir. Mais elle est la. Elle a survécut. Il lui fait confiance, il lui doit d'être encore présent pour poursuivre le combat. Son âme glaciale se serre d'une nouvelle détermination tandis qu'il se tourne vers la phalange lui faisant face. L'échec n'est pas une option.

Alors il s'élance et lève son bouclier au dernier moment. La protection devent une arme, un bélier qui écarte les factionnaires comme des fétus de pailles. Il s’engouffre dans la brèche ouverte, suivit par sa coéquipière qui continue de le prémunir des pire dangers.

La lignes des défenseurs cède. Ils n'auront pas tenus bien longtemps face à la rage sans limite qu'ils ont eux même provoqués. Cette tempête est avant la leur, le résultat de leurs actes. Ils ont eux même accrochés les bannières, eux même battus le rappel. Ils auraient pu rester en sûreté, n'avoir que quelques visiteurs au lieu des hordes sauvages qui ont transformé ce lieu en pandémonium. Combien d'actes héroïques ici ? D'aristies qui donneront lieux à des chants ? Les dieux aiment la vaillances, nul doute qu'ils apprécient ce spectacle au dela de leurs espérances. Et de voir l'hubris et l'avidité des hommes se heurter.
Désormais c'est une course. Il faut trouver. Il est au bon endroit, les marques impies sur les murs, tracés au fer rougit de quelque fusil, sont assez claires. Mais des monstres rodent, humains comme bêtes, si tant est que cela fait une différence. Il les affronte tous, un subtil mélange entre les pas et les coups. Rester mobile, agir avec célérité. Sa lame chante dans les airs. Un. Deux. Trois. Attention au dessus de toi !

Bouclier haut, il arrête l'embusqué et le punit. Et il voit. Si près. Il lui suffit de tendre le bras. Sa protectrice !? Ou...elle est la. A coté de lui. Veut elle aussi cette récompense ?

- Ensemble.

Il prend la boite rigide cerclé de sceaux protecteurs. Maintenant il faut fuir.
Poppy Albert
Invité
Anonymous
Poppy Albert

Ta garde semble faire effet, car ton protégé hisse son bouclier à l’opposé et s’engouffre dans le déchaînement humain qui se déroule derrière vous. Trop enthousiaste par ton implication et par ses conséquences, tu le talonnes tout en gardant un œil prudent à l’arrière. Ton insouciance du danger permet à tes jambes de continuer ta course. Soudain, la rivalité entre les employés et les clients est au point de culmination, car les victimes des larmoiements provoqués par les canisses forment une embuscade. Effectivement, plusieurs gagnent accès aux projectiles et les lancent en direction des pauvres salariés tremblotants, nerveux, paniqués par les incidents d’aujourd’hui. Il n’en faut pas plus pour ce rempart et ce dernier s’effondre en un clin d’œil.

Les pieds se piétinent, les hurlements prônent par-dessus les jingles inoffensifs dans les haut-parleurs, voire qu’un amas de personnes se crée tout juste devant toi et l’homme. Une femme, ayant grimpée sur l’une des étagères, saute dans l’empilement de corps, tel un plongeur faisant une bombe dans la piscine.

Tu reprends ton rôle d’avertisseur et tu préviens ton nouveau coéquipier. Il a les réflexes si rapides que tu te croirais dans un film d’action blockbuster. Tu échappes un « wouah!! » d’admiration et tu applaudis brièvement. Enfin, l’homme s’adresse à toi directement et ne dit qu’un seul mot qui fait tout son sens pour toi : Ensemble. Il a reconnu tes efforts et il veut le partager avec toi. Ton visage souriant irradie de joie, tu sens que la victoire est au bout de vos doigts. Tu hoches de la tête d’un air déterminé et dès que tu vois qu’il a en main ce qu’il cherchait tant dans le magasin, tu le félicites à nouveau. Pas de temps à perdre, il faut immédiatement se diriger vers la caisse!

Tu analyses les parages, tu fais un signe de la main à l’homme de te suivre dans un endroit moins bondé de cette arène improvisée. Tu  recommences ta trotte et tu vérifies si l’homme te suis toujours. Vous êtes presque à la ligne d'arrivée, ce n'est pas le temps de vous décourager!
Triaire
Invité
Anonymous
Le triaire

Le repli fut plus rapide que l'aller. Il suivit la chevelure de feu à travers les affrontements, s'éloignant des gisants dont l'air ne s'était pas adoucie dans le trépas. Petit à petit les sirènes de jerricho se turent, non pas que le carnage cessait, mais les deux comparses s'éloignaient, retrouvant la sécurité de la civilisation, loin du temple du massacre.

Finalement ils se posèrent sur un banc. L'armure d'acier du légionnaire était cabossée, son bouclier ne se portait pas vraiment mieux et ses lames étaient émoussées. Mais le prix payé était à la hauteur. Tant de sueur et de souffrance, de morts et de sang versé. Une journée qui serait marquée de rouge pour les temps à venir. Pour quelque chose qui reposait encore dans cette boite, à l'abris, protégé des chocs. Quelque chose que l'on aurait pu décrire par...parfait.

Elle la regarda avec des yeux gourmands. Elle avait mérité d'avoir cette part de ce butin. Ôtant son casque avec un soupir et faisant craquer ses cervicales, il la laissa la prendre. Ils ouvriraient ensemble cette boite de pandore.

Les rebords s'ouvrirent, un peu difficilement, car bien sur c'était un peu coincé comme toujours avec ce genre de chose. Ensuite tirer, l'un la boite, l'autre le prix. Doucement, pour ne pas le casser comme toutes ces armures et ces armes la bas. Enfin, enlever la fine protection de tissu contre la poussière. Et le voilà dans toute sa splendeur. Etincelant au soleil. L'annonce de jours meilleurs et de partage.

Et le Triaire invita la rousse fantôme à venir chez lui tester le gaufrier.

250g de farine
60 de sucre
1 sachet de sucre vanillé
70g de beurre fondu
une petite pincée de sel
2 œufs
1 sachet de levure chimique
35 cl de lait

Mélangez le tout avec le beurre fondu en dernier.
Faites cuire.
Et dégustez.
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