L'arroseur arrosé Black&White - Sword Art Online Rpg
Énoncé:
Crachez dans les airs et ça vous retombera au visage. Ensemble, vous avez fait un choix et ça se retourne contre vous.
Le thème est laissé très libre, car nous considérons que la contrainte est plutôt difficile en plus d’être une contrainte narrative.
Contrainte épicée
Cadavre exquis: À l’aide d’un générateur de cadavre exquis, les maîtres du jeu créent une phrase sans queue ni tête. Vous devez utiliser cette phrase afin d’inspirer la narration de votre rp. Vous pouvez utiliser la phrase entière comme référence ou chaque mot individuellement. Si un mot a plusieurs sens, vous pouvez utiliser celui qui vous convient le mieux. Les mots peuvent prendre un sens plus figuré et peuvent changer de genre ou de nombre.
exemple: Le cadavre pourchassa la console de jeux ravissante.
Utiliser la phrase en entier: Les champions choisissent de créer une histoire où un personnage transformé en zombie, tente désespérément de récupérer la console d’un second personnage. Utiliser les mots individuellement: Un cadavre est découvert en pleine ville. Une équipe d’enquêteurs doit pourchasser leur suspect potentiel. Ils suivent sa trace jusqu’à une boutique de consoles de jeux. Ils découvrent que le coupable est un vendeur ravissant, mais ô combien dangereux! Utilisations figurées: Un personnage n’ayant pas dormi depuis plusieurs jours ou le personnage de La Mort pourraient être comparés à un cadavre.
Votre cadavre exquis :
Un pigeon jugea une cloche hypocrite
Rappels importants:
Cette épreuve est d’une durée de 72h.(Du vendredi 24 mars à 00:01 au dimanche 26 mars à 23h59.) Il s’agit d’un mini-rp en 10 posts (5 par champion) d’un maximum de 350 mots. Indiquez les trigger warnings (TW) en début de post s’il y en a et évitez les sujets sensibles. Si cela est impossible ou en cas de doute, utilisez notre code pour y insérer les passages plus délicats.
Code:
<div class="TW">Le texte</div>
Si vous ne voulez pas être commenté, indiquez-le de manière visible au début de votre post. Les description de votre forum ou personnage en spoiler sont autorisées.
Journée un peu particulière pour Edward en cette journée ensoleillée de vacances scolaires. Le café était plus calme qu’à l’ordinaire sans tous les étudiants mais il avait reçu une commande particulière pour l’accueil d’un programme d’échange inter-université.
Quelques élèves étaient venus du japon, d’ailleurs il en avait embauché un en extra, Ari, un peu par curiosité il fallait l’avouer mais aussi parce qu’il avait espéré que ça en attire d’autres.
Concentré sur la facture qu’il avait sous les yeux et le relevé de compte qui ne cadraient pas du tout, Edward laissa échapper sa mauvaise humeur, il n’avait pas été payé ce qui avait été convenu… Pour qui le prenait-on ? un pigeon ? Non mais pour qui ils se prennent sérieusement, je vais leur apprendre moi !
On aurait pu croire qu’il était seul à pester, mais non, en face de lui se tenait l’un des organisateurs de cette rencontre et il ne voulait rien lâcher sur le prix convenu. Entendant un bruit en cuisine, il s’y dirigea sans même un regard.
Ari ? Tout va bien ?
Las, il attendait que le jeune homme se manifeste et soupira alors, il se méfierait de l’université à l’avenir mais cela ne voulait pas dire qu’il ne pourrait pas donner une petite leçon au client qui l’attendait.
C’était puéril, mesquin mais Edward était rancunier d’un niveau que personne ne soupçonnait sous ses airs aimables. Toute forme de trahison était inconcevable pour lui. Sourire narquois aux lèvres, il avait pris sa décision.
Tout sourire, je hochai la tête avant de suivre mon supérieur avec confiance. Pourtant, dans mes veines, l'hormone du stress affluait en très grosse quantité.
Quelques temps après la destruction de Sword Art Online, mes parents m’avaient rappelé à l’ordre. A cause de ce jeu mortel, j’avais pris beaucoup de retard dans mes études, ce qui menaçait mon avenir. Disons qu’un monde médiéval imaginaire rempli de monstres agressifs à combattre à la dague n’aidait pas à s’améliorer en maths...
Je leur avais néanmoins prouvé que mon merveilleux cerveau avait des facilités scolaires dans toutes les matières……… sauf en anglais.
« Nous avons tout essayé… Même les cours particuliers avec un natif n’ont rien donné… »
Mais j’y pouvais rien si mon accent était dégueulasse, si le vocabulaire ne voulait pas rentrer, et si mes oreilles étaient tant écœurées par cette langue qu’elles ne voulaient pas en écouter ses locuteurs !
« Il ne te reste plus que l’immersion dans un pays anglophone… »
Je me retrouvai donc dans ce café anglais, avec ses gâteaux bizarres et visqueux. Ils me dégoûtaient tant que, pour ne pas les toucher, je faisais tomber les assiettes sales dans l'évier pour les laver au jet d’eau.
C’était ce moment qu’avait choisi l’Anglais pour me perturber avec ses mots inconnus prononcés rapidement. Depuis que je l'avais rencontré, il me faisait vachement confiance. Alors que je captais que dalle à ce qu'il me disait. Était-il un gros pigeon donnant sa thune à un incompétent ou avait-il pitié de moi ?
Je m’étais poliment courbé devant le client rejoint avec un grand sourire. Anglais, dans la cinquantaine, en forme physiquement et avec un visage agréable, il portait aussi des lunettes qui lui donnaient un air de…
De gros bâtard, non ?
Ses yeux semblaient nous dire « les gars, je vais vous enfumer, et vous trouverez ça juste ! ».
Je venais de comprendre les directives de mon boss. Et de choisir de faire perdre ce petit sourire confiant à son client.
Edward ne saurait dire si son extra avait compris ses instructions, il faut dire qu’il semblait un peu ailleurs par moment et en terme d’efficacité, il avait connu meilleur mais bon, il remplissait son office en terme d’objet de curiosité, laissant de côté sa maladresse et son manque de discernement certain. Crissant des dents en l’entendant parler, au moins il semblait respectueux des clients.
Un latte macchiato caramel comme toujours je présume Veuillez nous excusez pour le temps d’attente, Ari qui est nouveau et japonais apprend toujours les ficelles du métier
Sourire de façade,imperturbable, Edward était un véritable volcan en lui mais cela serait trop facile de se laisser aller aussi simplement et aussi médiocrement qu’un esclandre dans son café.
Ari, vient avec moi, je vais t’apprendre à en préparer
Il se tourna vers son client qui l’avait purement et simplement arnaqué sur une prestation pourtant si simple à honorer des deux côtés. Se rendant vers la machine à café, il prépara l’ensemble, commentant à l’adresse du jeune extra les mouvements à faire.
L’important c’est l’équilibre entre l’amertume du café et le sucre de la boisson, il n’en faut pas trop mais tout de même un minimum
Attrapant le pot de sucre en poudre il en versa la quantité adéquate, d’apparence indifférent à la mention “SALT” indiquée dessus. Posant la tasse remplie sur un plateau accompagnée d’un petit chocolat noir, il le poussa vers Ari. C’est bon , tu peux lui apporter, mais fait attention, c’est sa boisson préférée.
Revenant se poser contre le comptoir, ainsi posé Edward avait une vue totale sur ce que la suite de l’après-midi réserverait au professeur.
Attends… On est l’après-midi, je me suis pas gouré, ça se dit bien « morning » ? … Merde, je sais plus…
Une chose était sûre : nous étions trois gros hypocrites pourris, avec nos sourires de faux-culs. La différence entre nous venait seulement de la sueur qui dégoulinait de mon dos.
Si ça se passait mal, je savais que mes darons me laisseraient pourrir un an dans une université anglophone.
Ari, dresseur de caméléon monstrueux, combattant renommé et survivant de SAO, mal à l’aise devant deux rosbifs incompréhensibles.
Entendant mon nom, je reconnus certaines paroles prononcées par mon boss, déjà traduites par Google Traduction. Auparavant, il les avait balancées à plusieurs clients qui m’avaient ensuite posé des questions incompréhensibles. J’étais à présent préparé à répondre à ces questions !
Mais le mec n’en posa aucune.
J’étais resté quelques secondes devant lui, à sourire comme un con, avant de capter que je devais suivre le boss. Heureusement, celui-ci ne sembla pas le remarquer.
Comme à son habitude, il baragouina des trucs sans sens en manipulant ses trucs. Je le regardais sérieusement, hochais la tête régulièrement et passionnément.
Je fais si bien semblant de suivre !!!.
Je ne remarquai même pas l’ingrédient indésirable qu’il avait mis dans son café : sel et sucre, ça commence par la même lettre après tout !
De toute façon, pour moi, ma mission était claire.
Je récupérai la tasse brûlante, fit un petit clin d’œil discret à mon boss. Et, comme dans un film, je me dirigeai, pressé, pour la servir au client et oh crotte !- je trébuchai pile au bon moment pour qu’elle se renverse sur la chemise de l’Anglais.
Merci les cours de théâtre, c’est plus crédible que dans ma tête grâce à vous !
« Oh no, ekusukiuzu mi mistaa, letsu mi kurinu appu… » (oh no, excuse-me mister, let me clean up) « C’est lui qui t’a demandé de faire ça ? »
Je relevai la tête immédiatement vers lui, les yeux écarquillés de surprise.
Venais-je de comprendre parfaitement un étranger, ou ce mec venait de parler japonais ?!
Attendant avec impatience que le professeur goûte au breuvage préparé avec un si grand soin, Edward sursauta en voyant Ari trébucher et tout renverser. Mais bon sang, qui avait bien pu lui mettre un étudiant aussi cruche entre les mains, ce n’est pas possible ! Il devait juste aller d’un point A à un point B pour déposer une tasse, cela n’avait rien de bien compliqué non ? Renverser une boisson brûlante sur un client risquait plutôt de retomber sur lui et il se précipita immédiatement avec son torchon.
Est-ce que tout va bien ?
Ari se mit à parler dans une langue qu’il ne connaissait pas, sûrement du japonais, il ne voyait rien d’autre dans ce charabia. Il allait prendre la main sur ce coup-là face à l’étudiant plus que maladroit.
Professeur Jones, vous allez bien ?
Fausse sympathie bien entendu. Il n’eut pas de réponse que déjà l’arrosé semblait comprendre ce que lui disait le jeune homme… Ah oui, c’était pour ça qu’il avait organisé tout cela, il avait vécu au Japon avant de revenir.
Ari, ce que tu as fait est vraiment dangereux ! Dire que le professeur Jones aurait pu être blessé…
Edward n’avait pas le fond mauvais mais il pourrait facilement avouer que de voir ce si émérite monsieur ne ressemblait plus à rien la chemise humide et parsemée de taches marron et crème.
Pour me faire pardonner, je vous en refais un que je vous rapporte bien entendu
Les laissant tous les deux, choix qu’il regretterait par la suite, il retourna en cuisine, préparant de nouveau la boisson aux proportions de sel totalement déséquilibrée. Edward avait la rancune tenace et ne laisserait pas passer cette arnaque dont il avait été la victime.
Je me ressaisis en entendant le boucan des pas du boss. Me courbant plusieurs fois d’affilée bien bas, je répétai mes excuses, en japonais sans le vouloir.
Mais, alors, que je pensais me faire faussement disputer, le boss m’intrigua. Il semblait vraiment vénère, au niveau du ton comme du visage. Pourtant, j’avais accompli ma mission : le mec ne souriait plus ! Avais-je mal interprété les signes ?? Ou ce mec jouait si bien la comédie qu’il me bluffait ?
« Je suis le représentant des échanges entre les universités anglaises et japonaises donc oui, je parle japonais… D’ailleurs, vous avez dû entendre parler de moi, si vous êtes là en cet honneur. »
Le boss mentionna son nom juste après… Nom que j’avais effectivement déjà entendu. Nom que mes parents m’avaient rabâché avant mon voyage, pendant mon voyage, et tous les soirs depuis que j’étais arrivé… Et merde…!
… Je viens de détruire la chemise de mon futur prof d’anglais. Intentionnellement.
Je me courbai à nouveau bien bas, mon dos complètement trempé par la sueur.
« Oui, bien sûr que j’ai déjà entendu parler de vous, mistaa Djonusu ! Je suis vraiment, vraiment désolé pour votre chemise, je… » « Alors, c’est l’autre qui t’a demandé de le faire ? »
Il avait retrouvé son sourire. Le même sourire que m’avait fait le boss avant de m’amener à sa table. Et il avait confortablement calé son menton sur ses phalanges.
« Non, je suis vraiment… » « En fait, j’ai choisi de ne pas le payer correctement, je trouve qu’il demande trop d’argent pour ses services alors j’aimerais le remettre à sa place. Une personne qui m’a conseillé de le faire m’a dit qu’il s’était vengé. Je voulais savoir s’il était assez immature pour ça. Alors ? Tu l’aurais fait de ton propre chef ? »
Aider un boss que je ne verrais que pendant quelques semaines ? Ou lécher les bottes d’un prof que je me taperais pendant un an ?
Je n’eus pas le temps de choisir : le boss était revenu.
De la cuisine, Edward entendait que les deux se parlaient… en japonais ? Mince, ils se connaissaient alors ? Mais c’était trop tard de toute façon. Revenant le plateau à la main, il n’aimait pas du tout cette sensation d’être exclu lorsque deux personnes parlent entre elles.
Voici votre boisson professeur, je suis sûre qu’elle sera à votre goût
Prenant le chiffon glissé dans son tablier, il le prit d’une main alors qu’il déposait le plateau sur une autre table et de nettoyer celle encore maculée de la précédente boisson, Ari ne semblait pas avoir une once de jugeote pour juste parler tranquillement au lieu de travailler.
Sourire commercial sur les lèvres, il déposa la tasse devant cet homme qui non seulement se permettait de vouloir l’arnaquer mais en plus il le regardait de haut, certainement fier d’avoir réussi à gratter quelques livres sur la facture.
Ce genre d’homme, il ne les supportait pas plus. C’était certain, cette attitude dégoulinante de suffisance changerait radicalement après avoir bu le breuvage. Malgré une trentaine bien engagée, Edward ne culpabilisait absolument pas de lui faire subir cela.
Je suis désolé, je ne parle pas japonais, vous souhaitiez autre chose peut-être ? Ari n’est pas là depuis longtemps et je ne suis pas sûr qu’il puisse vous renseigner
Regard posé sur chacun d’eux, sourcil délicatement relevé, Edward attendait une réaction de l’un ou de l’autre. Décidément, en cette journée, il ne savait lequel des deux l’insupportait le plus. Jamais il ne penserait que le professeur le soupçonnait tout autant qu’il essayait d’en retirer les informations auprès du jeune élève.
« Merci bien, mais je n’ai besoin de rien d’autre. Vous pouvez disposer, Monsieur Stent. »
Le café posé sur la table était si étrange que je ne pus même pas tenter de comprendre leur conversation. Il y avait dessus de la poudre blanche. Il devait y en avoir BEAUCOUP pour qu’elle ne se soit pas instantanément dissoute dans le café.
En tout cas, le professeur de japonais avait regardé le boss, amusé, et articulé tous ses mots avec soin. Il allait porter le liquide noir à ses lèvres lorsque je lui chuchotai expressément à l’oreille.
« Je crois qu’il y a quelque chose de bizarre dans votre breuvage, misutaa Djonusu… »
Je venais de choisir mon camp… Et de comprendre pourquoi le boss m’avait véritablement engueulé tout à l’heure.
Le professeur appuya un index sur la poudre blanche avant de le porter à ses lèvres et de sourire… De bonheur ?
« Ah, tiens, cher monsieur Strent. Revenez, finalement ! Je crois que vous avez mis trop de sel dans votre café. Vient-il de votre frustration de ne pas avoir été payé comme vous le souhaitiez ? »
Même si le gérant avait essayé de répliquer quelque chose, le professeur l’aurait coupé sans pitié. Je ne comprenais que dalle à ce qu’il disait, mais la puissance de sa voix et le ton cassant qu’il utilisait m’indiquaient qu’il ne lui faisait aucun éloge. Et cela n’impressionnait pas seulement ma modeste personne : les autres clients regardaient aussi la scène.
« Voilà la raison pour laquelle j’avais choisi de ne plus vous faire confiance. Vous semblez être un gamin, monsieur Stent. Si votre parfait employé Japonais ne m’avait pas indiqué le problème, ma chemise salie aurait compté du vomi en plus de votre café infect. Que vouliez-vous lui faire faire d’autre à ce pauvre enfant, en plus de manquer de le brûler lors de sa fausse chute ? »
Je souriais, même si je ne captais que dalle.
« Apportez notre contrat. En plus de ne pas me faire payer, vous allez me dédommager, pas vrai ? »
Repartant de là où il était venu, Edward avait toujours ce petit sourire aux coins des lèvres quand il fut rappelé par le professeur en question. Déjà ? Pourtant il n’avait entendu aucun bruit de dégoût lorsqu’il lui avait tourné le dos.
De sel ? Voyons, je n’en mets pas dans cette préparation, de quoi parlez-vous ? Vous devriez vous méfier avant d’accuser à tout va professeur…
N’ayant aucune information sur le contenu de leur conversation, Edward s’avança vers le professeur de nouveau sans crainte quand les mots lui parvinrent de nouveau dans sa langue natale… Ainsi le petit extra l’avait vendu ?
Trahison, disgrâce… Ce sentiment, il le connaissait bien. Son visage se ferma en cet instant alors que les menaces se faisaient dans SON café, son lieu de vie. Certes, il avait bien mis du sel dans sa boisson, il le reconnaissait, intérieurement en tous les cas. Soit, il tomberait, mais pas seul, pas aujourd’hui.
Cet employé “parfait” comme vous le soulignez a renversé volontairement cette tasse sur vous et je n’ai fait qu’un malencontreux échange de bocal, a priori…
Sourire mesquin, il sentait bien la situation lui échapper mais il ne lâchait rien. En plus de l’avoir arnaqué, il voulait se faire dédommager, certainement pas.
Je vous aurais volontiers dédommagé si vous l’aviez honoré. Il me semble que notre relation s’arrête ici, pour tous les deux Messieurs, je vous prie de quitter mon établissement et de ne jamais y remettre les pieds Foi de Stent, je ne réponds plus de rien si je vous revois dans ces lieux.
Leur tournant le dos avec la dignité et la classe qui lui était propre, Edward retourna derrière son comptoir, attendant qu’ils ne partent. De lui, ils n’obtiendraient plus un mot de plus. Son regard d’habitude si chaleureux était d’un froid polaire.
Attrapant un petit carré de chocolat noir, permettant de surmonter la dépression selon des études scientifiques, Edward savait bien qu’il n’était pas le gagnant du jour, uniquement parce qu’on ne l’avait pas soutenu, encore une fois…
Sur ce coup-là le pigeon jugea la cruche hypocrite.
: