The otherlands
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 Mad Hatter updating the thing

Mad Hatter
Maître des Fufufu~
Icône : Mad Hatter updating the thing K5OhCv3
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 119
Âge : 26 ans / des siècles
Race : Déjan'thé
Métier : Producteur de thé
Avatar : Mephisto [Blue exorcist]
Origine : Alice au pays des merveilles
Pouvoir : 3 chapeaux magiques ~
https://docs.google.com/document/d/1rkHGXtkZGdVvW2fszP8dbZFEeHLbT_4MA7YFh5J9E_s/edit#heading=h.a3x69q32ocg5
Mad Hatter
Icône : Mad Hatter updating the thing K5OhCv3
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 119
Âge : 26 ans / des siècles
Race : Déjan'thé
Métier : Producteur de thé
Avatar : Mephisto [Blue exorcist]
Origine : Alice au pays des merveilles
Pouvoir : 3 chapeaux magiques ~
Maître des Fufufu~
#1 | 13.03.24 18:35 | Mad Hatter updating the thing
Au travers de ses doigts longs et fins filtrent les rayons d’un soleil radieux venant réchauffer la peau opaline de son visage. Un œil se ferme, l’autre étincelle de son éclat émeraude contrastant si bien avec le rideau de cheveux indigo qui le voilent en une mèche indomptable. Plus bas se dessine un sourire aux crocs saillants, désireux de croquer la vie à pleines dents et puisqu’elle lui est infinie, l’ensemble de son visage laisse entrevoir toute la sagesse et la malice dont il est capable. Il guette ses ongles taillés en griffes et couverts d’un vernis sombre en ce jour. Bien que les goûts du styliste revisité soient aussi variés qu’excentrique, il lui arrive de faire preuve de sobriété dans ses choix. Seul le chapeau fait défaut, venant cacher l’épi qui trône royalement au sommet de son crâne et se termine par une boucle. De part et d’autre de la coiffe, ses oreilles pointues se cachent derrière deux longues mèches chatouillant son visage jusqu’au bas de son menton où une barbe souvent grattée forme un bouc.

Si la créature n’a rien d’un apollon, il saura charmer de son assurance et son charisme. Du haut de son mètre quatre-vingt-dix passé et de ses soixante-quinze kilos, sa carrure impressionne. Épaules larges pour un corps svelte, il n’en demeure pas moins sculpté sous ses habits taillés par ses soins. On ne le devine pas, mais son besoin constant de bouger et l’énergie dépensée à ses tea parties autant qu’à déployer toute sa prestance le rendent bien plus résistant qu’il n’y paraît. Cependant, l’âge est une chose qu’il ne saura pas contrer en dépit du temps qui lui octroie sa jeunesse presque éternelle et ses os craquent souvent dans des positions improbables.

Un soupir passe et l’étirement terminé, c’est son chapeau qu’il mettra en premier, choisissant parmi une collection riche en passant de sa toute première confection à la toute dernière. Son affection se portera toujours sur un haut-de-forme blanc dont le ruban bordeaux encadrant d’ordinaire la jointure entre le cylindre est la base a été surplombée par de la guimauve violette et rose. Du reste c’est un costume de sa création, bien souvent orné d’une cape, de gants et d’une canne aux atouts nombreux, le chapelier a plus d’un tour dans son sac.
Ce si grand espace non calculé accueillera tout de même les mots de "l'auteur" haha. Bien, je suis Mad, Madmad pour les intimes et tiens mon pseudo de ce forum ! J'en ai d'autres, mais c'est celui qui me colle le plus à la peau (de surnom haha).

J'avais 28 ans en venant sur ce forum, aujourd'hui je fais partie de la troupe des admins et j'en ai 33... (pas dans ma tête en tout cas)

Je ne fais qu'upgrade la première fiche, pour les lecteurs qui ont déjà passé leurs yeux sur la première... l'histoire a changé en grande partie, mais les grandes lignes pas ! Ainsi, aucune panique ~ et une relecture ne sera nécessaire que pour en connaître les rouages biens huilés ! (Il n'y a que l'histoire et le pouvoir qui ont été modifiés !)

merci pour votre attention et, waaaah dis doooonc que le forum est beauuuu je me demande quelles sont les petites mains qui se sont arrachées les cheveuuux ! beau résultat !! (haha, Snow, je te vois, je t'entends rire !)

Mad Hatter

ambivalent narcissique déroutant tactile taquin sociable distrayant observateur lunaire optimiste comédien mystérieux curieux boudeur magnanime égoïste éhonté charismatique fufuté

Il fut un temps où l’insouciance de Mad Hatter relevait d’une naïveté à toute épreuve. Avenant à bien des égards et désireux de tout savoir, il s’était révélé source d’inspiration et de courage pour quelques têtes blondes. Ce chapelier toqué comme on aime l’appeler est loin d’être mort et son émerveillement à toute nouveauté ou surprise demeure intact en dépit de la rareté de ces émotions bien souvent feintes. Il devient plus difficile de faire briller les yeux du spécialiste en thé du royaume blanc. Les siècles ont passé et le temps a relâché sa prise pour punir l’insolent de sa jovialité parmi d’autres qualités que l’on lui prête aisément. Dans l’esprit de tous, il est et demeurera toujours l’incarnation de l’optimisme. Pourtant, comme tous, il lui était possible de ressentir une immense tristesse.

L’expérience a su peu à peu déformer son sourire, ne l’agrandissant que trop. La folie lui colla à la peau, berçant ses pensées d’une réalité qu’il n’a jamais voulu accepter. Si peu concerné par le reste du monde, il avait dû se rendre à l’évidence qu’il n’était pas seul maître de sa vie. Que l’on lui eut dérobé son âme ou non n’a rien à voir avec l’idée qui germa à ce moment-là. Enfermé dans une profonde solitude engendrée par nombre de questions qui lui trottaient sous le chapeau, la pression transforma la créature et la divisa en deux. Son désir ardent d’échapper aux tourments l'a littéralement pris au sérieux. Le chapelier fou était né et avec lui son jumeau : le chapelier triste. Si tenté qu’il représente une partie de lui-même, nul ne sait si l’un ou l’autre peut subsister et être soumis aux mêmes émotions. Ils sont opposés comme l'être et son reflet dans un miroir, mais ils ont tous deux cette avidité de connaissances en toute chose en plus d’une intuition certaine et d’être rusés comme des renards… ou astucieux !

Cet aspect particulier du plus cinglé n’est pas sans rappeler son manque d’empathie compensé par un talent d’observation sans failles. Rien ne semble échapper à ce regard enclin aux mystères. Que sait-il vraiment ? Mad est joueur et son impertinence l’a mené à ce qu’il est aujourd’hui : imprévisible. Il pourrait être un allié précieux comme un ennemi redoutable, mais n’en laisserait rien deviner, pour lui, qui est immortel, ça n’est rien de plus qu’un divertissement pour tromper l’ennui. Il prend donc tout à la légère… ou presque. Son intérêt a beau passer avant les autres, sans le moindre souci de moral, ça ne l’empêche pas de reconsidérer les choses. Il aime particulièrement jouer sur les mots, débattre et converser. Mais il a ses humeurs comme tout un chacun et parfois se repliera sur lui-même comme d’antan, sans en venir à cette dépression constante subie par son double. Rares sont ceux capables de déceler ce subtile changement.

Mad Hatter updating the thing 5z0us89

Personal remarks are rude?

  1. Un nom ? Deux chapeliers. L'un fou, l'autre accablé. Celui-là est toqué. Mad Hatter se plaira à vous servir.
  2. Illustre, du haut de ses deux siècles et vingt-deux années. Mais en tant que Mad, cent-vingt-huit. à peine ! Toutefois il n'en parait qu'une trentaine.
  3. Il est un déjan'thé et aime s'en vanter. Quand à ses origines, est-il vraiment nécessaire d’expliquer la provenance du chapelier fou ? D’aussi loin qu’il se souvienne, c’est un fou rire et le tic toc d’une horloge qui l’ont bordé sur la douce mélodie un accent Britannique. La toute première Alice ne venait-elle pas de... comment c’était déjà ? Peu importe, il a toujours vécu sur les terres magiques et débordantes de couleurs de Wonderland.
  4. De sa longue et trépidante vie, il n’a jamais aspiré à plus qu’être un simple chapelier. Pourtant, les temps changent et le voilà propriétaire d’un domaine, producteur de thé pour tous ceux désireux de remplir leurs estomacs noués. Mais gares aux surprises, le chapelier n’est pas fin cuisinier, ni fin gourmet d’ailleurs.
  5. Il fut un temps où pour protéger ses sujets, le souverain du royaume blanc eut dérobé leurs âmes. Aujourd’hui encore, celui qui détient la sienne a tenu à conserver sa tête et sa précieuse essence avec. À ce propos, la mort est une douce mélodie pour Sad, mais elle n’aura pas sa peau de chapelier tant qu'ils ne feront pas ce compromis d'y mettre fin à deux.
  6. Mad possède un pouvoir bien à lui : Trois chapeaux se matérialisent et confèrent chacun une capacité différente. Mad ne peut la découvrir qu’à condition de faire son choix et lorsqu’il met sa main sur l’un des couvre-chefs, les deux autres disparaissent. Il peut arriver que le destin se joue de lui en ne lui octroyant rien de plus que l’accessoire. Mais il est bon de connaître les autres bienfaits de ce don précieux. L'apparence des chapeaux ne varie qu'une son choix fait !

    • L’un d’entre eux est un portail. La destination quant à elle est totalement aléatoire.
    • Un autre permettra de se saisir d’un objet ou d’une créature en y plongeant la main. Une fois encore selon les caprices de la coiffe.
    • Le dernier enfin, le rend irrésistible. Il peut influencer la prise de décision de celui ou celle qui est sous son charme à condition que ce dernier ne sache pas se défaire des ruses du chapelier. Cela ne dure pas longtemps et il est impossible de forcer quelqu'un à faire quelque chose. Tout est une question de subtilité.
You’re entirely bonkers And all the best people are

Lorsque le temps avait une influence sur toute chose en ce monde, la mort guettait tout un chacun sans la moindre impunité lorsqu’elle se révélait à certains. Il y a bien longtemps le chapelier se tenait sur quatre pattes sur un tapis dont le poil était aussi rugueux qu’une barbe mal rasée. Les souvenirs s’effacent, si lointains soient-ils, mais jamais ceux-là dans l’esprit du toqué. Les visages sont flous, mais ils demeurent toujours. Un homme d’un costume long à rayures, des cheveux corbeau, lisses et soyeux lui arrivant au-dessous des épaules. Une femme dont le blanc immaculé des quelques épis autour de son visage fin n’attiraient pas autant que l’éclat luisant de son regard sphène. Une voix douce et grave borde sa mémoire et le cocon soyeux dans lequel il aimait s’enrouler, au creux des bras d’une mère aimante réchauffe le cœur qui bat encore malgré les apparences.

Une simple coiffeuse qui chantonnait en scalpant les boucles longues et petites imperfections de clients exigeants, mariée à un confectionneur de couvre-chefs dont le style était unique et les menaces aussi.

Une tasse de thé, le tintement d’une cuillère de fortune. Baguette à cheveux trempée dans ce qui n’est aucunement de la porcelaine, mais suffit tout de même à éveiller ses papilles au goût amer d’un breuvage infect dont il se délectait pourtant.

Souvenirs empruntés, mémoire vacillante, il est né dans l'air du temps sous le tic tac d'une horloge et les clapotis familiers d'une infusion saveur philosophie aux soupçons irrationnels. Où était-ce l'inverse ? La fiabilité de ses propos lorsqu'il est question de son passé peut être remise en cause, toutefois personne n'a dénié envoyer un coup de pelle dans son jardin secret et ne s'y risquera, bien gardé par le rampant persiflant aux relents acides.

Peut-être qu'un certain lièvre aux parures insolites en saurait plus à ce propos. Il se peut que la notion lui échappe, faufilant ses lourdes pattes hors de sa portée. Toujours est-il qu'ils partagent cet attrait pour les tours de têtes et de tailles, bien que l'un se soit plus qualifié que l'autre en la matière. Médiocres ? Subtiles ? La mesure exacte ne subsistait que dans les regards satisfaits de sa clientèle.

On retient du chapelier ses ambitions menées à terme, ses lubies nombreuses en passe d'être elles aussi  réalisées.  Surtout : les rouages ravagés de son mécanisme qui lui valurent d'être en avance sur son temps. Il prospérait dans un océan d'excentricité dont il était l'épicentre. Tourbillon aspirant à courir plus vite que les bobines ne se débinent, il ne restait nulle source de laquelle il ne s'était abreuvé ou en phase d'y parvenir. Il ne fut pas toujours compris, ayant évolué comme un ver de pomme jusqu'à serpenter royalement, envoûtant par ses pièces uniques en leur genre.

Il se souvient encore, il la possède toujours cette toute première robe confectionnée. Soie fine et voluptueuse d’un blanc immaculé pour la colombe dont le jupon servait d’ailes. Fait de dentelles et de particules nacrées, le tissu léger est encadré à la taille par un ruban se fondant presque dans la robe et dont le nœud à l’arrière du corps forme une paire d’ailes battantes, emprunte de magie. Leur matière, similaire au voile cristallin et étincelant de ces créatures adulées, ont eu raison d’en charmer certaines, virevoltant autour dès qu’aperçu. Surmontant le corset aux lassés perlés, quelques diamants suspendus rappellent les manchettes au bout des bras en dentelle transparente. Dans les yeux du fou, l’amour qu’il avait pour son œuvre était plus fort que celui pour la muse qui lui avait servi. Son seul défaut aura été de n’être pas éternelle et de s’être envolée au bras d’un autre. D’une nature bien plus timide, d’antan, l’illustre Hatter avait toujours gardé pour ses pensées les plus douces. Nul n’avait su lire en son cœur.

Il y eut bien le pelage d'un chat au plumeau taquin sous le museau du styliste. De ses passages discrets par une ombre dansante à ceux marqués d'empreintes sur les tapis monochromes, il ne manquait d'allonger toujours plus ses visites. Quand bien même, ses absences eurent pour conséquence de laisser cet alice, jeune homme écervelé au cœur pur, trop pour en porter les furies de ce monde. Peter de son nom qu'il taira à quiconque voudrait enquêter sur l'histoire du chapelier. Nom chéri, gardé dans une poche comme un bouton supplémentaire, celui qui ne sert jamais, ignoré de tous quelque part dans un tiroir. Il ne l'oubliera pas. De bien belle compagnie, charmante pour ainsi dire en tout point. Enfant perdu bien loin des siens, âme mortelle qui succomba en quête d'un retour possible. Rien qui ne sorte de l'ordinaire, si ce n'est cet acharnement remarquable et cette fascinante épopée qu'il ne manquait de lui raconter lorsqu'ils se retrouvaient.

Une tasse qui se brise, les pointillés de sang d'une griffure signée, c'est une étrange mélodie sur le papier dont les notes perçaient de minuscules trous. Puis ce fut la fin dans ses iris azur ne brillait plus le soleil pour faire chanter les vagues. Paupières closes, le fufufu résonne, plus lent que les ronronnements, moins que les caresses bourdonnant à ses tympans.

Le temps passe. Avec lui, les couleurs vaporeuses, tentative si vaine d'en quérir de nouvelles au travers des champs de thé, de ses fonctions d'expert et producteur majoritaire du royaume. Noble est sa condition pour n'avoir connu ces guerres qu'en étant spectateur. Noble n'est point ses intentions selon rumeurs à profiter pour s'emparer du marché. Les petits voleurs qui s’aventuraient sur ses propriétés où ce qu’il désignait comme telles n’étaient jamais puni pour leurs crimes, mais forcé de lui rendre des services lorsqu’il demandait des comptes. Cela consistait généralement à quelques informations précieuses qu’il amasse toujours sur tout et n’importe quoi. Les tea parties ont été ancrées dans cette période pour oublier le mal auquel il était apparemment hermétique.

Ses petits ouvriers, volontaires ou menacés, bienheureux d'être en lieux sûrs ne manquaient plus de rien. Économie relancée sur ses terres épargnées, ne restait qu'un problème : les étiquettes. On les lui attribuait, profanant ses tenues de cette matière visqueuse et mystérieuse. Elles revenaient toujours, l'accablant d'autres surnoms, parfois même d'oiseaux. Il n'avait jamais su, cependant, la différence entre un corbeau et un bureau. Quelle était-elle ? Sournoise, pour sûr.

Un de ces petits plaisantins répondait au nom de White, créature mutine au caractère exigeant se promenant dans ses champs, parfois y travaillant. Tête brûlée au teint immaculé, poupon d'allure aux bras de chiffons. Tiraillé tant que le propriétaire s'en approcha plus près. Qu'il était difficile et pourtant fascinant, ravivant les nuances dans les prunelles anisées. Ils devinrent amis et les secrets coulèrent par-delà les fissures d'un vase presque débordant.

Son affection manifeste pour les léporidés traversa les années, non sans meubles volants. Le pire prit le pas, grattant aux portes depuis si longtemps, il trouva son chemin et déroba sous son nez la vie d'un protégé.

sous les coups de l'horloge, d'une ombre il y en eut soudainement deux. L'un souriait à s'en déchirer les zygomatiques et l'autre grimaçait en reflet, coulant de ses larmes échappées. Mad hérita des tourments et Sad des sentiments. Tous deux ne tournaient guère plus rond l'un que l'autre. intrinsèquement liés.  Tea ou Suicid parties se côtoient dorénavant. Une chose était certaine, plus jamais il n'y aurait qu'un chapelier solitaire, ils étaient désormais frères pour le meilleur pensera l'un, pour le pire pensera l'autre. Une chose était certaine : plus jamais ils ne se perdraient.

Résumé~ 370 naissance The Hatter
??? March/ The Hatter coupain depuis des lustres
??? Il tombe amoureux de sa Muse. Pas de chance, elle se marie à un autre
??? Chess rôde parsemant sa vie de ses apparitions
??? Peter, un alice, Peter mourut en simple mortel, rendant Mad triste
455 Lapin travaille chez The Hatter
457 March se proclame oncle de Lapin
458-464 March a recollé Lapin, repart pour trouver le reste de la famille
464 lapin déclaré mort
+ lors de l'exécution, quand Lapin "meurt", The Hatter devient Mad & Sad Hatter
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