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 De bondir, le lapin s'est arrêté (V3 !)

White Rabbit
Attrape-moi si tu peux
Icône : De bondir, le lapin s'est arrêté (V3 !) 2mBAsYY
Citation : Follow the white rabbit
Messages : 308
Âge : 24 ans (~150 ans)
Race : Passeur
Métier : Passeur
Avatar : Heiwajima Shizuo
Origine : Alice au pays des Merveilles
Pouvoir : Terrier Express
https://otherlands.forumactif.com/t93-copain-comme-lapin
White Rabbit
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Attrape-moi si tu peux
White Rabbit
      "Va voir ailleurs si j’y suis."
Informations
Nom : White Rabbit, le lapin blanc ; Lapin ou Whity pour les plus hardi
Âge apparent : 24 ans
Âge réel : 152 ans (Né en 440 ap.A)
Race : Passeur
Genre : Homme Cis
Sexualité : Compliquée
Groupe : Wonderland, autrement aurait été un comble.
Âme : Entre les mains de la royauté de Wonderland. Comme s’il avait eu le choix.
Métier : Passeur
Origine : Le Lapin Blanc d’Alice aux pays des merveilles de Lewis Carol
Pouvoir : Don du passeur. C’est par les très célèbres terriers du lapin blanc que les alices passent d’un monde à l’autre. Leur dégénérescence topographique n’a d’égal que le piètre mental qu’il reste au lapin.
Particularité physique : Il peut continuer à faire ses terriers sur les Otherlands pour se déplacer. L’un forme une entrée, l’autre une sortie, toute vélocité est conservée. Leur précision est désormais très hasardeuse.
Avatar : texte
Physique

Tes yeux se portent sur lui, pourras-tu voir le jadis ? Ce moment où il était beau, tout droit sortit d’un conte de fée. Heh, si tu cherche un type ténébreux, va voir ailleurs, ce lapin là n’est pas à chasser. Mais si c’est le beau prince charmant, approche !
Mais tu vas être déçu, d’une toute autre manière.
Celui-ci a les cheveux blonds comme les blés. Le regard doré et parfois rieur. La taille moyenne de son mètre soixante-quinze, la corpulence musclée par une génétique naturellement avantageuse. Ça fait chier, pas vrai ?
Des mains fines où quelques veines saillantes dansent sous une peau blanche, douce et soyeuse si tu as la chance de la caresser. Il a aussi des fesses rebondies car c’est important de le préciser.
Parce que ça l’agace. ça y est, ses épaules se crispent d’y penser. Hey, White, t’as un beau cul ! Ah ! J’adore le faire chier.

Mais tout ça, c’était avant. Son temps s’est figé à ses 24 ans, mais le temps, il est pourtant passé sur lui et à laissé ses marques. Le temps est cruel. Et s’il n’a pu le marquer au fer rouge, il l’a pourtant fait à sa façon.

White se tenait droit avant. Fier. Aujourd’hui, ses épaules sont naturellement courbée et se tendre vers le ciel lui prend une énergie et une concentration folle. Il porte sur ses épaules son chagrin et sa solitude désormais indélébile. Quel débile, son esprit débloque et il se perd dans le passé. Ses yeux sont fatigués et cernés, l’éclat de ses paillettes dorées ont laissé place à un marron clair terne et éteint, caché par des lunettes cendrées qui épouse la ligne de ses valises. Son sourire rieur -Oh, réservé à si peu- étire désormais ses lèvres fines et sans couleurs vers le bas comme cherchant à retrouver le sol qu’il a tant de fois embrassé. Et ses sourcils fins tentent de se rejoindre, s’unir pour le meilleur et pour le pire en un regard à jamais courroucé et énervé. Fatigué.
Ses joues se sont creusées, la ligne de son menton s’est accentuée et sa mâchoire saillante n’a rien d’avenante.

On dirait une ombre dans un jardin Ardent.
T’es pitoyable. T’as jamais voulu l’être, tu détestes tant les regards de pitié que t’attire, alors tu te redresses, tends ton cou vers le ciel, attendant un instant la décapitation qui aurait dû arriver il y a si longtemps. Là, juste là, une ligne si droite à travers ta trachée, ce serait pourtant te délivrer !
Mais White, jamais je ne t’accorderais ça. Pas plus que tu ne te libèreras un jour de ma toile.

Ses cheveux autrefois tel des blés d’or qui se froissaient aux vent sont désormais une paille terne et sans vie, coiffée du bout des doigts et coupée avec la maladresse d’un coiffeur aveugle. Il s’en fiche. Il n’a plus personne à impressionner.

Les muscles de ses épaules, de son torse ont fondu dans ses pitoyables tentatives de se laisser mourir de faim.
Oh, c’était sans tenir compte qu’on irait jusqu’à te gaver comme une oie pour te maintenir en vie, pas vrai ?
T’as pas tenu longtemps à ce petit jeu, t’es trop déplorable pour un jour gagner à quoi que ce soit.

Il a les bras aujourd’hui noueux où chaque articulation ressort, des muscles secs parcourus de veines saillantes sous une peau beaucoup trop blanche. Dégueulasse. Heureusement qu’il couvre le tout de tissus car même au plus beau fixe de la belle saison, il a froid. Ses mains rachitiques se cachent dans des gants. C’est ce que Sa Reine lui a accordé, dans Sa grande générosité. De pouvoir se cacher dans des vêtements amples et surtout, de pouvoir entièrement se couvrir de blanc, jusqu’aux bout de ses ongles rongés.
Tu ne le mérites pas. Aucun de tes caprices n’aurait dû t'être accordé, sale loque de passeur.

Il est fin aujourd’hui, une maigreur maladive qui donne une impression fragile qu’il va disparaître au moindre coup de vent, qu’il va s’écrouler comme un château de cartes. Est-ce faux ? White a les jambes longues, décharnées, malmenées par une vie de solitude où il lui était impossible de juste tourner en rond. Marcher l'essouffle, ses poumons le brûlent et l’effort simple d’exister le fait trembler.

Même une ombre à finalement plus de consistance.

Pourtant, de loin, il est cette tâche de pureté dans son monde rougeoyant de sang. Bientôt, il sera de nouveau beau à côtoyer le soleil, à avoir une alimentation variée, à bouger pour rattraper le retard, retard toujours en retard qu’il a. Une tâche qui dérange, sa peau blanche, ses cheveux d’ange, ses vêtements encore blancs et accentué de noir. Il refuse de porter du rouge, garde son masque de lapin blanc et ferme les yeux sur son passé douloureux.

En bref:

Mental

Heh ! Ou plutôt ce qu’il te reste de mental, pas vrai White ?

Haha, allez Lapin, sourit, c’est une blague !
Tu es libre maintenant… pas vrai ?


Oui dira-t-il d’une voix absente. Il est libre à présent. Pourtant il se perd souvent dans la prison de son esprit, toujours habité de mille ronces qui l’enserrent et le saigne à blanc. Il a des absences, observe le vide et ne revient à la réalité que si on l'appelle. Ou parfois s’y force-t-il et il espère ne pas avoir été vu. Ça le met toujours de mauvaise humeur d’avoir été vu.

Alors, regarde-le de loin. Il ressemble à une bête traquée qui attend qu’arrive son chasseur le geôlier, prêt à lui faire rejoindre son habituelle demeure. Il est fébrile, toujours en mouvement de peur d’être pris, sursaute pour un rien, s’agace pour cacher son effroi, comme si le seul feu encore présent en lui était la colère. Un feu qu’il alimente consciemment, se cachant derrière pour ne pas être vu. Il est nerveux, énervé, énervant. Essaye de se reconstruire mais tout ce qu’il a réussi à faire, c’est d’avoir cette personnalité au bord du fil, sur la lame du rasoir.

De près, White semble bien, si on oublie sa mauvaise mine. Si on lui demande “es-tu heureux ?” il répondra oui d’un air perplexe, comme si la question était stupide. Si on insiste, il grimacera et partira sans mot dire. D’une personnalité plutôt calme, comme absent, quoi qu’éternellement courroucée, bougon, râleur et boudeur. Oh, mais il suffira de le connaître un peu, de voir ses tics nerveux pour comprendre toute l’anxiété qui fait battre son cœur essoufflé. Tic tac,White est en retard car il n’a plus notion du temps qui passe. Tic tac, les secondes s'égrainent de sa précieuse montre à gousset, cadeau qu’il n’a su briser. Tic tac, White n’est qu’une bombe à retardement, prête à exploser à chaque instant et ses éclats de folie sont teintés de désespoir. Il se dépêchera bien vite de les cacher sous une colère agressive, dans les mots, dans les gestes. Une auto-destruction usante pour les autres comme pour lui.

Il a une maladresse sociale qu’il cache sous un caractère grognon et colérique. Sous une mauvaise fois rageuse. Au moins est-il constant en essayant de ne nouer de lien avec ersonne. Qui que tu sois, White te verra avec une croix sur la tronche et ne fera d’effort que pour t’envoyer paître et jamais te connaître. Il s’en fout de toi, de ta personnalité à la noix, de tes problèmes, de tes allégresses. Pour lui, tu es un con qu’il se fera une joie d’envoyer voir ailleur s’il y est (et spoiler : il n’y sera pas), c’est devenu naturel chez lui. Il érige un mur entre lui et les autres avec son caractère de chien. Il cherche la solitude qui l’a tant accompagnée et en même temps… il la fuit comme son pire ennemi et se réfugie auprès des personnes qu’il connaît.

Ouais White, t’es un fuyard, un lâche de la pire espèce et qui s’ignore. Tu ressembles tant à ton père, autant physiquement que mentalement. Et ça te fait bien chier, pas vrai ?

Même avec ses rares proches, il sera abrupt, tranchant. Mentira pour blesser, dira la vérité quand le résultat est encore pire. Met le à terre, il se redressera. Demande lui de faire la tronche, il te répondra d'un sourire. Seuls les plus toqués que lui sauront rester, ceux qui lui offriront la main et la garderont tendu une fois qu’il aura mordu. Ces toqués là.
Il cultive sa mauvaise réputation, sa mauvaise humeur, sa violence mais tout ça pour quoi White ? Qu’on ait peur du terrible lapin blanc ? Et qu'on l’abatte à coups de sainte grenade d'Antioche, c'est bien ça ? Le gag.
C’est peut-être au fond ça que tu cherches sans le dire, pas vrai ? Disparaître pour de bon ? Car regarde-le un peu et tu verras un homme stressé, agacé, qui s’inquiète du temps qui passe sur sa précieuse montre, qui agonise du monde qui tourne autour de lui. Tu verras un homme qui a perdu le fil de sa vie avant même de naître. Qui se voile d’illusion en se disant saint d’esprit alors que Hey, White, je suis si bien placé pour savoir que tu te ments !

Alors, il est pas beau le prince charmant ?

Et pourtant, pourtant. À ceux qui grattent encore plus derrière toute la colère ou l’anxiété… il pourront découvrir quelqu’un hanté par cette chianterie qu’est la Moralité. Quelqu’un de pas si mauvais qui peut même faire attention à ses proches, qui peut se montrer doux et attachant. Il pourront voir quelqu’un qui a d’également canin sa fidélité.
Oh, Snow White, même au plus profond de son délabrement mental, tu conserves encore et toujours son coeur, même s’il ne l’avouera jamais.
Oh, White Queen, il garde à ton égard des sentiments aussi loyaux que contradictoire. Un amour mêlé d’une haine profonde, il ne sait plus très bien, se perd en divagations et s’absente en pensant à toi et à tout ce qui s’est passé.
Qu’elle est belle sa voix quand il parle calmement, quand il se laisse bercer par les vagues qui L’ont englouti.e, quand le regrèt fait bouger ses mains comme un pantin articulé. Il a cette mélancolie qui lui colle à la peau, il a cette soif d’amour et d’être aimé toujours vivace, cette conviction qu’il doit vivre et survivre à une vie qui l’a mâché et recraché. Il se pense intact de toute la folie qui règne, mais je sais que non.

Je les connais moi, tous ses petits secrets, tout son côté lamentable et risible. Cette tendresse ardente qu’il voudrait exprimer mais il n’arrive qu’à se courroucer.
Comment j’en sais autant ? Car je suis l’araignée qu’il a dans l’plafond.

En bref:
Anecdotes
Il lui arrive de remuer le nez quand il est exaspéré ou surpris.
Il aime la carotte, et ça l’embête bien.

Histoire

[TW : meurtre, dépression, isolement... White.]
En bref:

Il était une fois, une araignée. Car ceci est mon histoire et celle de mon hôte.

J’ai toujours été là. Comment ne pas l’être avec cette famille si dysfonctionnelle ?
Un père si absent qu’il subvenait à peine aux besoins de ses enfants, un grand frère trop occupé à survivre par ses propres moyens. Et White était jeune et seul. Ignoré, Ignorant. Possédant quelques rares et maigres tactiques de survie dilapidées par les lèvres paternelles.
Un besoin d’être aimé comme tous les enfants, mais un enfant ignoré par son parent… comment être alors heureux d’être en vie, comment grandir et chérir cette chance quand le besoin d’être remarqué et aimé est trop fort ?

Intoxicant ?

Il a grandit comme il a pu, sur un chemin tordu, avec sa petite compagne araignée dans le plafond en constante compagnie. Amie imaginaire, je suis là, regarde moi, aime moi.
La vie lui coulait dessus comme du mazout dans lequel il s'enlisait.
Un enfant solitaire mais pourtant en si grande soif d’amour. Comment la suite aurait-elle pu bien se passer ?

Car Enfin ! Ce besoin d’être aimer, d’exister dans les yeux de l’autre lui a été exaucé. Quel étrange concept que le couple, pensait White. Mais en même temps, quelle merveilleuse idée. Être le seul être de l’autre, aimer, consommer, se consumer dans l’autre, avec l’autre. Être un quand on est deux. N’est-ce pas merveilleux ?
Ça aurait pu l’être. Mais quand deux enfants cassés se rencontrent, jouent avec les fragments fragiles de l’autre, comment n’aurais-je pas pu prospérer ? Ils se sont consumés comme une flamme et une bougie peuvent s’aimer jusqu’à n’être tous les deux que cendres.
Sur ce terreau fertile de souffrance, j’ai grandi et je lui ai soufflé mes doux conseils, fait ouvrir les yeux sur toutes leurs toxicités de l’un et l’autre, sur tout ce qui n’allait pas. Sur l'étouffement que bientôt il ressentait et je me suis nourri de leurs disputes. Il se réveillait la nuit, le coeur au bord des lèvres en proie à des terreurs nocturnes. Ni son père ni son frère ne lui ont montré de l’intérêt et quand ce fut même trop dur de gérer cet enfant qui n’arrivait plus qu’à vivre en oscillant entre colère et angoisse, Père Lapin Lune disparut tout simplement.

Sa relation de couple en pâtit encore plus. Il a voulu fuir. Comme d’habitude.
C’est un trait de famille.
Une rupture qui se passe mal, un instant de panique où il ne contrôle plus rien, voilà qu’il a poussé son aimé… sans prendre conscience de la scène idyllique dans laquelle ils se trouvaient pour créer la parfaite tragédie.
Ce n’était ni une nuit d’encre ténébreuse, ni une pluie ventue folle qui fouettait leur visage. Drame au rabais, on se contentera de la falaise qui s’est dessinée sous les pieds de son amour. On se contentera de l’air d’étonnement de ce dernier qui s’est alors gravé dans les pupilles du lapin blanc.
Assassin !
Il l’a poussé.
Au plus profond de la nuit, il sent encore la sensation fantôme de ce sentiment d’être acculé, de ses muscles qui s'étendent pour se dégager d’une étreinte forcée et le vide qui a suivi.

Ce jour là, la vie qui coulait sur lui l'a souffleté. Et moi, petite graine de folie, j’ai ri.

L'histoire ne s'est pas arrêtée sur un malheureux Sportch qu'à pu faire la tête de l'autre en contre-bas. Ses émotions s’y sont également étalées, brisées et mélangées avec le sang qui rampait. Le Lapin a pleuré. Il a paniqué et a culpabilisé de cet accident. Il a pensé que par sa faute, c'était finit. Finit. Le mot a raisonné dans sa tête et alors, il s'en est senti soulagé. C'est là que l'autre est entrée en jeu. La Morale. La Morale l'a torturé comme jamais, pour mon plus grand plaisir. La morale lui tirait les oreilles à lui en faire perdre pied, lui martelant sa culpabilité. Tu as fauté. Il est tombé ! Et tu en as été soulagé. Le Lapin a sombré.

Pauvre bête, la vie l'a avalé.

Il est devenue cette note déprimée dans le paysage de Wonderland, le déchet désespéré qui n'avait rien à envier au Sad Hatter dans certains moments. La détresse en seule compagne, il en a connu sa première couleur et sa dernière note, les ressentis, le vide, le tout et les riens. Moi, je dansais une valse effrénée à la douce mélodie de folie. Un cercle vicieux dont il n'arrivait pas à sortir et qui m'a fait planter de solides racines dans son cœur. Je me suis inspiré du monde qui l’entourait pour peindre sa toile caractérielle de peintures indélébiles et le forger comme il m’arrangeait. Son grand frère s’éloigna, s’isola et abandonna l’enfant difficile qu’il était devenu. Il en devint violent, à repousser quiconque voudrait l’approcher, se sentant trahi par les personnes dont il aurait dû être proche, sans voir qu’il avait été initiateur de ce rejet. Lunatique, amer, vivant ses émotions avec violence, névrosé, tantôt désespéré, tantôt désespérant. Vomissant chaque fois qu’il voyait son reflet furtif. Tellement détruit. Quelle douce époque.

Et il a faillit être sauvé.

Mineur et laissé seul, il fut trouvé dans un si triste état par son “oncle”, March Hare. Mais ni sa méchanceté, mesquinerie ou malice n'auront eu raison des élans affectueux et aimant du lièvre. Patience, amour. Le lapin a recommencé à sourire. Il a appris à aimer et à tenir à quelqu’un.
Triste vie que la mienne, j’ai bien failli disparaître.
Mais de ses mains, le sang n’est jamais parti. Pourquoi tant d'années plus tard ? Alors qu’il commençait à se reconstruire, on frappa à la porte et l’armée blanche l’emmena.

Il fut exécuté pour le meurtre de son ex-petit ami qui s’avera être la princesse du royaume blanc.
Surprise !
Ou du moins, il aurait aimé l’être. Ça aurait été mieux, pas vrai White ?
Plutôt que de pourrir et dépérir seul dans une prison pendant 128 longues années ?

Ton histoire s’arrête ici. Le jour où tu as apprit que ton petit copain était la princesse du royaume. Le jour où on t’a prit ton âme pour te promettre une éternelle pénitence. Le jour où on t’a retenu quand tu faisais tant d’effort pour partir. Ton agonie sera lente et sans promesse de fin, mais avec celle d’un lendemain. On l’a privé de tout. Sa résilience l’a fait survivre, mais est-il vraiment libre aujourd'hui ?

Oh, mon doux ami, mon hôte, ma raison de vivre. Tu te noies chaque jour un peu plus, tu perds pied et à tout instant, je suis en train de gagner. Les cliquetis de la porte de ta geôle t'arrachent à cette vie et bientôt, tu crois voir la délivrance, mais ce n’est que le commencement.
Je suis la lame qui coupe le fil de la raison sur lequel il marche tel un funambule ivre.

Tic, tac, il regarde les secondes qui passent, Tic tac, et moi je grandis rapidement, je sais que les minutes auront raison de son mental, que j’aurais mon heure, et qu’on arrivera à temps pour se délecter de thé avec les chapeliers.

 
HRP
Il.\o\  Est./o/  De.~o~  Retour ! \o/
Car comme on dit : jamais deux sans trois tu l'auras.
Sad Hatter
Déjan-thé
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Citation : "Dors. Le mal est passé, il ne te rattrapera pas: le souffle coupé, tu n'es plus son appât."
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Sad Hatter
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Déjan-thé
Lapin.. Lapin ? Lapin !!! Coucou, bonjour, waw le re-retour du Lapin, quelle joie De bondir, le lapin s'est arrêté (V3 !) 702994323
Hype de le revoir par ici, j'ai pas encore lu je vroom vroom pas mal de trucs mais aaaaaa je devais passer lancer des fleurs au moins !
White Rabbit
Attrape-moi si tu peux
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Merciiiii ! De bondir, le lapin s'est arrêté (V3 !) 267082694
Le premier passeur immortel.
Red Queen
Déjan-thé
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Citation : “I'm an accident. I'm a lie. And my life depends on maintaining the illusion.”
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Âge : 19 physiquement, plus de cinquante en réalité
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Avatar : Orihara Izaya - Durarara !!!
Origine : Blanche neige et Alice in Wonderland
Pouvoir : Baiser volant la vie et ronces empoisonnées
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Red Queen
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Déjan-thé
Tu es validé !


Huhuhu comme je te l'ai déjà dit en privé, toujours un plaisir de lire lapin, le pauvre, plus ça va plus il est sombre 😭 prions pour que ça aille rapidement mieux avec les nombreuses retrouvailles !

Félicitations !

Te voilà officiellement des notres ! \o/

Tu peux dès à présent recenser ton avatar , ton pouvoir, créer ta fiche de liens, et surtout lancer une recherche de RP !

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White Rabbit
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Attrape-moi si tu peux
Merciiiiii ! je vais m'occuper des recensements seul, t'inquiète ! xD
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