The otherlands
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 Épreuve 4 || Kobe High School - Elysion

Père Castor
Conteur d'histoires
Icône : Épreuve 4 || Kobe High School - Elysion K5OhCv3
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
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Père Castor
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Epreuve 4

Double, double, peine et trouble
Kobe High School - Elysion

Énoncé:

Vous auriez dû écouter mamie. Elle sait tout mamie. Elle sait que si les vaches sont couchées, c’est qu’il va pleuvoir. Elle sait qu’un cataplasme de moutarde calmera la toux. Elle sait qu’on ne prononce pas le nom de la “pièce innommable” ou l’on attirera le malheur sur scène. Elle sait mamie. Alors pourquoi ne l’avez-vous pas écoutée?! Vous voilà poursuivi par le mauvais sort.

Dans cette épreuve, l’un des personnages vit une journée où il est poursuivi par le malheur.  L’autre se retrouve à devoir intervenir, mais réussira-t-il à rompre le mauvais sort?

Contrainte:

Duo echo: Dans ce type de duo, les textes ont la contrainte de faire écho l’un à l’autre de la façon qu’il vous plaît. Cela peut-être l’introduction dans vos textes d’un même personnage, l’exploitation d’une scène similaire, une conduite sensiblement identique. Bref, laissez libre cours à votre imagination ! Les règles sont assez souples concernant le type d’écho choisi, mais essayez au maximum de jouer le jeu. Utiliser le même code de présentation n’est par exemple pas suffisant, de même que d’utiliser la même phrase en début de post sans autre lien.

Rappels importants:

Cette épreuve est d’une durée de 48h. (Du samedi 25 mars à 00:01 au dimanche 26 mars à 23h59.)
Il s’agit d’un duo en 2 posts (1 par champion) d’un maximum de 1500 mots.
Indiquez les trigger warnings (TW) en début de post s’il y en a et évitez les sujets sensibles. Si cela est impossible ou en cas de doute, utilisez notre code pour y insérer les passages plus délicats.
Code:
<div class="TW">Le texte</div>

Si vous ne voulez pas être commenté, indiquez-le de manière visible au début de votre post.
Les description de votre forum ou personnage en spoiler sont autorisées.



Maka
Invité
Anonymous
Maka Nakajima

Forum:


Mon personnage: Maka Nakajima:


Vous connaissez l’expression « se lever du pied gauche » ? On est de mauvaise humeur au réveil. Et bien qu’est-ce qui arrive si on ne se lève d’aucun pied? Parce que c’est bien ce qui vient de m’arriver. Je n’ai pas trop compris, mais je me suis soudainement réveillée en heurtant le sol à côté de mon lit. Sympa comme début de journée! Tentant d’ignorer la douleur, je me relève et observe mon environnement. Je suis bien dans ma chambre au lycée. Aucun de mes trois colocataires ne sont présents. Ce n’est pas bon signe… J’attrape mon téléphone et regarde l’heure et…

Oh non! Je suis en retard pour ma pratique au studio! En plus, on apprend une nouvelle chanson aujourd’hui et j’y ai un mini solo de chant. Le pire moment pour arriver en retard quoi! Tant pis pour le petit-déjeuner. J’enfile un pantalon et un t-shirt, j'attrape mon sac et, baskets aux pieds, je quitte le dortoir. Dès que je mets les pieds hors du campus, il se met à pleuvoir. QUOI? Il n’annonçait même pas de pluie aujourd’hui! Je n’ai ni veste, ni parapluie en plus! Heureusement qu’une petite pluie ne me fait pas peur!

J’arrive enfin à l’arrêt de bus et… Le bus n’arrive pas. Toujours pas. Je regarde sur leur site pour comprendre ce retard et j’apprends qu’un accident empêche le respect des horaires sur cette ligne de bus. Ne manquait plus que ça! Je marche donc jusqu’à un autre arrêt d’un trajet qui mène aussi au centre-ville. Au passage, une voiture ne fait pas attention et m’éclabousse… Me voilà maintenant détrempée. J’aurais dû mettre mon maillot de bain. Comme j’arrive à l’autre arrêt, je vois l’autobus qui le quitte. Je l’ai raté de 10 secondes et je le regarde s’éloigner en ayant probablement l’air d’un chien de ruelle abandonné, tout mouillé et tout dépité. Dites-moi quelqu’un c’est quoi cette malchance!

J’attends et le bus suivant arrive au bout de 15 minutes. Je me rends enfin au studio. J’entre dans la salle de pratique et mon pied, encore mouillé, glisse. J’ai maintenant l’air d’un torchon détrempé qui gît au sol. J’entends même quelques-unes de mes collègues rire avant que notre manager me rappelle à l’ordre en me disant de rapidement prendre place, visiblement mécontent de mon retard. Je me relève, affiche un sourire empli de honte et prends place dans le groupe. Bon. Au moins maintenant, il ne peut rien m’arriver de pire.

ÉVIDEMMENT!

Évidemment qu’il pouvait m’arriver tout de pire! Comment on est censé chanter avec une extinction de voix? Parce que certainement, j’ai une extinction de voix! Pourquoi? POURQUOI??? QU’AI-JE FAIS À L’UNIVERS? Je quitte donc, aussitôt arrivée, à la demande de mon manager qui veut que je prenne du repos pour revenir en forme demain. Je n’ai certainement pas l’intention de me reposer. J’en ai marre de cette poisse qui me colle aux basques.

De retour au campus, après un bus en retard, je commence par aller me changer et prendre mon imperméable pour ensuite aller à la bibliothèque qui n’est pas dans le même bâtiment que les dortoirs. Cette fois, je ne serai plus mouillée! Enfin… J’y croyais dur comme fer. En me rendant dans l’autre bâtiment, je perds pied et me retrouve étalée dans une flaque d’eau. J’EN. AI. MAAAAAARRE!!! L'imperméable protège de la pluie, mais pas d’une baignade.

Enfin arrivée à la bibliothèque, assez déserte en ce samedi, je pose mes affaires sur un coin de table et commence à me promener entre les rangées de la section où l’on retrouve les livres sur les mythes, les légendes, la magie, les trucs ésotériques. Il n’y a vraiment pas grand chose, comme d’habitude. Quoique les mythes et légendes sont quand même assez garnis. Je prends un livre, puis un deuxième, un troisième et au quatrième, je m’étire sur la pointe des pieds pour réussir à le sortir de son emplacement. Vous saviez que le chiffre quatre porte malheur? J’aurais dû m'en souvenir, parce qu’à ce moment, je perds un peu l’équilibre et en heurtant l’étagère, je subis une attaque de livres qui me tombent dessus. C’est rare que je dise ça, parce que je suis forte et solide et résistante et une aventurière clairement chevronnée, mais J’AI MAL, PURÉE!!! Combien de bleus je vais avoir demain au juste? Je range les livres en grommelant et la bibliothécaire, au lieu de venir m’aider, me balance un « chuuuuuut ». SALE HARPIE!!! À ce stade, je n’ai même plus la force de râler… Une dizaine de livres en main, je m'installe à la table.

Cette séance de lecture et de recherche a été la plus horrible que j’ai connue. J’ai réussi à m’asseoir à côté de ma chaise, à échapper un livre et à en déchirer plusieurs pages en tentant de le rattraper, sans parler d’un autre livre posé trop près de mon imperméable et qui s’est imbibé d’eau. Ma mère va être folle de rage en recevant la facture… Néanmoins, je tombe enfin sur un truc! Un espèce de rituel pour se débarrasser du mauvais sort. C’est parfait!

Je profite donc que mes colocataires soient toujours absents pour faire le rituel dans ma chambre. Je ferme d’abord les rideaux pour assombrir la pièce. Grâce à du gros sel, je trace un petit cercle au sol. J’allume trois petites bougies que je dispose également autour du cercle et je m'assieds devant. Je dépose ensuite, en son centre, une chaîne garnie d’un très joli pendentif. Il s’agit d’un médaillon doré serti d’une émeraude bien brillante en son centre. De jolis motifs qui font un peu aztèque sont gravés autour de l’émeraude.

Le rituel demande un objet réceptacle qu’on apprécie beaucoup et c’est le cas pour ce médaillon mystique que j’ai trouvé par pur hasard dans le nid d’une pie. Je le trouve tellement joli et tellement mystérieux! Un des rares vrais trésors que j’ai trouvé malgré mes nombreuses chasses. Il m’a toujours intriguée. Quel pouvoir renferme-t-il? Dans quelles circonstances a-t-il été créé? A-t-il appartenu à une reine d’Égypte? Ouais bon, je sais que c’est pas le bon continent vu les gravures, mais on ne sait jamais! Il ne faut écarter aucune hypothèse à moins que son non fondement soit prouvé!

Bon. Il est temps de faire ce rituel. J’ai réussi à me brûler très légèrement le poignet avec l’une des bougies alors je suis bien capable de mettre le feu au dortoir sans le vouloir. Je ferme donc les yeux et prends une bonne inspiration pour me concentrer. Le livre indiquait qu’il faut implorer des entités pour leur demander d’enfermer le mauvais sort dans l’objet. Je vais donc improviser comme je sais si bien le faire!

« Aux grandes entités qui transcendent la terre et le ciel et entre la terre et le ciel. Barbougasha, Shikgurtoya, Fruhartok ou peu importe quels sont vos noms, j’en appelle à vos majestueux pouvoirs… Non démoniaques s’il vous plaît… Afin de transposer ce mauvais sort qui m’habite dans ce précieux médaillon. À tous les esprits présents, je vous interdis de me posséder, mais la poisse doit posséder ce trésor! SUCETTE ET BOULE DE GOMME, QUE CE PENDENTIF SE TRANSFORME EN PORTE-MALHEUR!!! »

J’attends un peu. Vous allez sûrement me trouver débile, mais j’en ai presque l’impression qu’une force obscure me quitte. Sûrement mon imagination, mais c’est génial à croire. J'éteins les bougies et ramasse le bijou. Maintenant, il ne reste plus qu’à aller l’enterrer au pied d’un arbre. Je remarque alors que le soleil est revenu dehors. Parfait! Une fois dans le parc, je creuse au pied d’un arbre et y enterre le pendentif qui est rangé dans une petite boîte de plastique pour éviter la dégradation.

Satisfaite, je retourne tranquillement vers les dortoirs et je reçois un texto de mon manager. Quelle chance!!! J’ai été sélectionnée pour performer un duo! C’est trop génial!!! Enfin une bonne chose qui m’arrive aujourd’hui! J’ai hâte de l’annoncer à mes amis.

Attendez… Est-ce que ça veut dire que le rituel a vraiment inversé mon sort? Je… Est-ce que je suis une véritable sorcière et personne ne me l’a jamais dit?

Dans tous les cas, si j’ai un conseil à vous donner, ne vous levez jamais d’aucun pied!

(1500 mots)
Cathleen Asmodee
Invité
Anonymous
Cathleen Asmodée

Cathleen avait été invitée à cette vente aux enchères ultra privée. C’était une vente d'objets très anciens, de l’époque des grands rois et même de l’ancien monde. Le genre de choses qui attirait les collectionneurs comme elle. Bien que ce ne soit pas vraiment ses époques de prédilection, elle comptait y aller par pure curiosité. Puis, sait-on jamais une pièce de collection pouvait très bien être inspirante pour un nouveau numéro.
Elle avait enfilé un tailleur pantalon pourpre sans rien dessous si ce n’est un harnais de perle blanche habillant son décolleté plongeant. Chaussée d’escarpins simples noir verni allongeant un peu plus ses jambes déjà infiniment longues. Elle s’était coiffée d’un chignon bas laissant voir les perles blanches à ses oreilles. Un rappel du harnais qu’elle sentait rouler sous sa poitrine.
Elle fut accueilli là-bas avec une coupe de champagne, le même qu’elle servait au bout de la nuit au grand cabaret d’Eaque. La pièce d’exposition était un grand salon aux baies vitrées immenses. La lumière du jour mettant en valeur chacune des vitrines où l'on pouvait voir les objets à vendre. La rouquine avançait lentement dans les allées s’arrêtant sur chaque pièce de collection pour en lire leur intitulé et leur utilité supposée. Elle sourit face à une pomme géante chromée qui servait apparemment de bac à glaçons à l’époque de l’ancien monde. Elle trouvait ça ridicule et vide de sens, sans parler de l’esthétique douteuse de cet objet. Elle préférait les petits objets de toute façon. Une ou deux allées plus loin, elle tomba sur un objet qui était bien plus à son goût. Il s’agissait d’un collier, lui aussi datant de l’ancien monde. Il était écrit qu’il avait appartenu à une “idole” qui s’en était débarrassé parce qu'il apportait malheur et malchance. Si la malédiction datait de si longtemps, elle avait dû expirer depuis. Cathleen était prête à prendre le risque. Le collier d’or et d'émeraude aux allures mystique irait parfaitement bien sur le corset qu’elle portait dans le numéro de la revue du soir. Et quand bien même elle se trompait sur cette tenue, elle trouverait une autre occasion de porter cette merveille venue d’une autre époque. Ses yeux brillaient alors qu’elle reprenait une gorgée de champagne. Voilà la pièce qu’elle voulait et elle ne partira pas d’ici sans l’avoir. Elle continua dans l’allée des bijoux. Une bague attira également son attention, mais le coup de coeur n’était pas aussi fort que pour le collier maudit. Puis il fû​t temps d’aller s’asseoir dans la salle des enchères. Elle était au troisième rang et portait le numéro 13. Sûrement un porte bonheur. Les ventes commencèrent elle se fit discrète sur la plupart des ventes, enchérissant pour le jeu. Puis vint la pièce qu’elle attendait plus que les autres. Ce collier aux détails fins dont elle était tombé en amour en quelques instants. Elle attendit que les enchères ralentissent pour lever son panneau une première fois. Un Alf en costard cravate surenchérit, elle continua et il continua, mais madame Asmodée était une tête de mule et si elle avait décidé de repartir avec cet objet, elle repartirait avec. Ainsi la gueguerre entre elle et l’Alf, qu’elle ne reconnaissait pas spécialement, continua quelques minutes.  Elle finit par remporter ce tour. Il lui lança un regard noir et elle lui répondit avec un sourire en coin. Elle afficha un air satisfait sur son visage tout le reste de la vente, laissant même partir la bague qu’elle avait repérée à quelqu’un d’autre. Tout ce qui comptait pour elle c’était d’avoir obtenu ce fameux collier. On lui proposa de le faire livrer directement au bout de la nuit. Elle refusa et voulut directement prendre sa nouvelle acquisition avec elle.  

Sur le chemin du retour, sa joie ne fit pas attention à ce petit maux de gorge qui commença à apparaître. Elle se prépara comme à son habitude répéta les numéros avec ses employés, corrigea quelques défauts dans les tenues de scène, annonça la programmation de ce soir qui était la même que prévue. Tout se passait normalement bien jusqu’à ce pic de douleur aiguë dans la trachée.  Elle grimaça, se dirigea vers le bar et se prépara un Grog. Cette recette de grand-mère à base de Rhum d’agrumes et d'épices pour faire passer les petits rhumes et autres. Celà n’eut pas l’air de marcher plus que ça. Quand elle demanda à un de ses employés d’aller chercher chez l'apothicaire un remède pour la gorge, elle se rendit compte que sa voix était en train de partir en cacahuète. En 45 ans d'existence celà ne lui était jamais arrivé. Pas une seule extinction de voix. Et voilà que ce soir alors qu’elle allait recevoir de nouveaux investisseurs sa voix lui faisait défaut. Comment on est censé chanter avec une extinction de voix ? Elle se le demandait. Il était hors de question de se ridiculiser sur scène. Pas elle. Pas la Grande Cathleen Asmodée.  Elle fit rassembler tous les artistes en urgence.  De sa voix cassée s’adressa à eux.

“Comme vous l'entendez tous, Je ne vais pas pouvoir performer avec vous ce soir. Deux options s’offrent à nous: Soit changer les numéros dans lesquels j’étais, soit me remplacer… Qui se sent en capacité de reprendre mes parties ?”

Personne ne se désigna. Tout le monde chuchotait, ce qui agaçait grandement la responsable des lieux. Bien évidemment que personne n'allait se désigner elle n’avait jamais eu besoin de doublure jusqu’à présent. Elle soupira.

“Très bien. Alors, on va faire l’ouverture avec le numéro de la revue précédente avec les plumes. Andréa prend le lead en chant. Et pour le numéro de fermeture, on garde le même, mais sans chant. Les deux autres numéros sautent j’étais seule en scène. Je compte sur vous pour être plus que parfait.”

Elle les envoya en coulisse se préparer et retourna dans ses appartements, se changeant complètement. Elle voulait quand même porter sa nouvelle acquisition. Elle la regarda un instant, se demandant si finalement cette histoire de bijou maudit n’aurait pas quelque chose à voir avec son extinction de voix, puis elle secoua la tête pour chasser cette stupide idée. Elle enfila une robe dorée au col bateau et fendue le long de ses deux jambes. Montée sur des escarpins en daim vert émeraude, elle n’ajouta aucun bijoux si ce n’est le collier de l’ancien monde.  Elle maquilla ses yeux simplement et lâcha ses cheveux. Voilà qui était très bien pour une soirée où elle ne montait pas sur scène. Elle redescendit en salle pour observer le monde entrer et repérer ces investisseurs qui lui seraient utiles pour reconstruire le Temple après la guerre. Elle n’avait plus qu’à espérer qu’elle ne portait pas un porte malheur. Si c’était le cas, elle irait demain au plus vite le faire désenvouter par une Tarima expérimentée qu’elle avait déjà vu à l'œuvre. En attendant, elle le portait fièrement jusqu’à ce qu’elle casse un de ses talons, ce qui provoqua une chute monumentale devant la foule qui commençait à arriver. “Show must go on”, elle se releva en souriant non sans lancer un regard accusateur au collier. Elle enleva ses chaussures et les jeta dans la première poubelle qu’elle vit. Elle grommela

“J’aurais mieux fait de craquer sur cette pomme hideuse ça m’apprendra à avoir du goût”

Puis continua son chemin la tête haute, servant son plus beau sourire aux convives qui lui rendaient des sourires qu’elle savait peu sincère, mais s’en fichait. Il était question de sauver les apparences. Et à son âge, on ne se laissait pas faire par des colliers maudits. À son âge, on affrontait les problèmes, les yeux dans les yeux, sans flancher et c’est ce qu’elle allait faire. Demain serait un autre jour.  Aujourd’hui n'était pas encore fini et elle devait affronter le reste avec toute la force dont elle était capable.
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