The otherlands
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 Dig through the ditches and burn through the witches, I slam in the back of my Dragula

Dracula
Passeur
Icône : Dig through the ditches and burn through the witches, I slam in the back of my Dragula Ej4wsno
Citation : What is a man ?
Messages : 15
Âge : (~20) Vielle ans
Race : Passeur
Métier : Profiteuse
Avatar : Marceline Abadeer
Origine : Dracula Film&Castlevania
Pouvoir : Immortelle... ou presque
https://otherlands.forumactif.com/
Dracula
Icône : Dig through the ditches and burn through the witches, I slam in the back of my Dragula Ej4wsno
Citation : What is a man ?
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Avatar : Marceline Abadeer
Origine : Dracula Film&Castlevania
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Passeur
Dracula
      "What is a man ?"
Informations
Nom : Dracula, se présente parfois “Dee” (prononcé Di)
ge apparent : une vingtaine d’année
ge réel : Vielle
Race : Déjan’thé
Genre : Agenre (tous pronoms, mais va sur le elle par habitude/défaut)
Sexualité : Sapphic
Groupe : Lostland
me : Il y a longtemps, son âme fut mise dans une peluche aujourd’hui mainte fois reprisée : Hambo. Ce ne fut guère un bon choix, pense-t-elle chaque fois qu’elle doit recoudre un morceau.
Métier : Profiteuse… Mais ce temps touche à sa fin.
Origine : Dracula - Roman/Film & Castlevania
Pouvoir : Super Vampire : Il est dit que, abreuvée de sang, Dracula peut se transformer en loup, chien, chauve souris, qu’elle peut contrôler la météo, obtenir des supers sens, lancer trois boules de feu de ta cape [...].
Naaah, pour de vrai : Elle a le don du passeur. Elle voyage en devenant brume, nuée de chauves souris et emmène les alices en mimant de leurs mordre le cou. Puis va vomir les fois où elle se rate et fait réellement saigner.
Particularité physique : Immortelle : tant que Dracula est animé par une volonté de mourir, son corps se transforme instantanément en brume intangible ou en particule de lumière dansant dans un rayon de lune (selon la météo) au moindre danger. Elle ne peut ni bouger, ni agir pendant ce temps et ne se reformera qu’une fois tous dangers passés.
Et puis... Des yeux qui changent de couleur, verts, rouges, noirs à volonté. Une peau froide et bleutée, touché qui la brûle si vous êtes déjan’thé et nouveau’thé. C’est une vampire, elle ne peut entrer sans y être invitée, craint l’argent, l’ail et le soleil… Bref, ça craint. Mort-vivante, elle n’a pas à boire ou manger et ne peux mourir que traditionnellement à la vampire si elle a envie de vivre. Elle a aussi ses canines plus longue que la moyenne.
Avatar : Marceline Abadeer de Adventure Time
Physique

[Craignez le comte ! Il est dit que ce mort-vivant répugnant assouvit sa soif de jeunes vierges et peut alors devenir grand jeune-homme charmant, semblant vivant et peut ainsi tromper ses victimes…]

C’est ta teinte à jamais désaturée qui te trompe et révèle ta véritable nature mort-vivante. Un gris vert bouteille de déterrée, tout droit sorti de la tombe dont tu as immergé. Ton cœur ne bat pas, il ne s’est même jamais débattus pour ça, le sang qui te parcourait s’est tari, tu es née comme une fontaine sèche, et tes joues ne se teintent jamais de rose, quelle que soit ton émotion. Coincée dans une éternelle jeunesse, tu ignores même cette partie de ta légende qui dit que tu dois boire du sang pour la conserver.
Tu peins tes lèvres que tu mordilles de tes longues canines de couleurs, du rouge, du noir, parfois du vert, un rien t’habille et on rigolerait bien qu’on préfèrerai te voir habillée de rien.
Car ton corps interrogent les regards, hypnotise même, alors que ce pouvoir a été confié à un autre être mort-vivant que toi. Tout y est harmonieux et ambigu, de tes petits seins fermes si facile à camoufler à ton ventre plat, à tes hanches finement sculptées et un peu larges. Il faut dire que ton régime végétarien, voire surtout fruiticole, t’enchaine dans une ligne droite et plate, sans artifice. Tu ne te sens ni homme, ni femme et il semblerait que ton corps ait décidé de ne pas choisir non plus. Tes bras sont longilignes, fins et délicats, tes mains arachnéennes manucurées sont vernies de quelques couleurs sobres et sombres sur le bout de tes ongles. Ton pas aérien - Oh, on te croirait virevolter quand tu marches, te voir voler quand tu danses !- est soulevé par des petits pieds fins, par des mollets à peine esquissés, par des cuisses moelleuses. Tes fesses sont rebondies et ta peau délicate se tend dessus sans imperfections.
Tu n’as aucune marque sur ton corps. Ni cicatrice, ni grains de beauté, si ce n’est les deux petits points sombres qui marquent ton cou, comme une morsure commise par erreur sur le velouté de ton épiderme. Est-ce une marque de naissance ? Tu t’amuses à créer tant de mensonges dessus que tu n’es toi même plus sûre de sa vérité. Tu dis que c’est la marque de la créature qui à fait de toi cet être si glacial aux touchers. Quelle tristesse que tes caresses soient d’un froid mortuaire quand tu aimerais te faire de douceur !
Mais tu fais avec. As-tu vraiment le choix ?
Pour autant, au plus grand désarroi saphique de chacun, au plus grand bonheur de ta pudeur, tu te couvres. Tu t’habilles d’année 1990, de tee-shirt rock, de jeans déchirés sombres et de vans. Tu laisses ton ventre être apperçu grâce à des tee-shirts courts déchirés ou tu le caches à cause de pulls élimés rouges et noir, toujours selon la météo. Toi qui ne devrait craindre la fraîcheur de l’hiver de part ton éternel état de cadavre te voilà au contraire des plus frileuses et sensible aux températures.
Et tu ne te caches que peu de le montrer. Expressive, ton corps valse avec tes humeurs, comme ton minois se froisse de chacune de tes émotions. Tu ne peux plus avoir le rose aux joues alors tu l’imites par des sourires francs dessiné sur tes lèvres fines maquillées, par des pattes d’oies sur le coins de tes grands yeux rouges. Tes sourcils fins se froncent par colère, tes oreilles pointues s’abaissent par tristesse sous ta très longue chevelure noire de nuit. Elle t’arrive presque aux chevilles, plus bas que mi-mollet et elle danse avec ta démarche fluide.

Ta taille est moyenne, ta corpulence normale, tu n’es au final qu’une autre de ces remarquables créatures qui hantent les Otherlands, comme tant d'autres avant toi, après toi. Assez originale pour te faire oublier dans le tas. Pourtant, tu as ce on ne sait quoi qui marque. Est-ce ton regard carmin malicieux quand tu t'apprêtes à rire ? Est-ce ta voix ronronnante qui s’amuse, chantonne des airs rock alors que tu joues d’une vieille guitare débranchée dont toi seule peut entendre les notes ? Ou est-ce ton parlé vieillot, sophistiqué ( voir ringard), dénué de grossièretés qui tranche tellement avec cette apparence punk rock que tu portes ?
Quoi que tu fasses, quoi que tu dises, quoi que tu portes, tu sembles être d’une autre époque, perdue, déboussolée, et dans ces rares moments où tes murs s'effondrent on peut distinguer, au fond de tes pupilles tout les mensonges qui te blessent et une vulnérabilité plus cristalline encore que tes chants.

En Bref:

Mental

[Craignez le Comte ! S’il est charmant, c’est pour mieux tromper et dans la nuit, vous égorger. Sa fureur ravagea un ancien pays et depuis, il est bon ton de le laisser tranquille. Fuyez ! Si à la vie vous tenez…]

Est bien sot celui qui te rencontrera. Mal avisé celui qui racontera ta véritable légende car personne n’en croira rien !
Tu n’en sais rien du pourquoi cette terrible réputation te colle à la peau. Mais elle est là, présente, plus abrasive qu’une scie, alors quand on rencontre cette jeune fille si pleine de vie, si amusée et amusante, on désenchante.
Toi, ça te fait plutôt rire.
Plutôt ça que de pleurer.
Tu souris, tu ris, tu sembles toujours à l’affût de faire une mauvaise farce, d’avoir une petite parole piquante tandis que ta langue de serpent siffle d’innocence entre tes canines aiguisées. Malicieuse, rêveuse, emmerdeuse, tu ricanes de la déconvenue de ceux qui te croisent, les appelles chéris avec un certain dédain pour les froisser un peu plus encore, et te moques de la grotesque farce à laquelle ils ont cru. Tu es d’une délicieuse familiarité même avec le plus grand des inconnu ; curieuse, tu cherches, autant pour connaître celui d’en face que les limites de son tempérament. Tu es du genre à chanter cette chanson qui reste dans la tête juste pour voir l’autre la fredonner, énervé, tandis que toi tu t'esclaffes. Tu es patiente, tu es têtue, pour toi la vie ne semble être qu’un jeu dont tu fixes toi-même les règles. Tu es libre et on pourrait presque te croire libertine si tu n’avais pas cette retenue charmante.
Car parfois, tu as ces mouvements de gentleman, cette exquise politesse, ce chevaleresque qui dérange par rapport à ton conte.

Rien ne va. Ton image est en dissonance avec le comte. Qu’elle est délicieuse cette farce, ries-tu en te mordant les lèvres de tes canines !

La vérité, c’est que cette blague te tue aussi.

Le terrible Dracula est né dans les Otherlands, inspiré d’une chauve-souris affamée de fruits. Le sang te fait vomir, pour toujours, à jamais. Quelle mauvaise blague est-ce là ? Le père Castor te hait, t’a abandonné avant même que tu ne foules de tes pieds ses trop riantes contrées as-tu vite conclu avec fatalisme. Tu as tous les problèmes d’un vampire, crains l’ail, les pieux de bois, ne peut entrer sans y être invitée et de ton illustre inspiration ne subsiste qu’une poignée de paillettes ou une brume digne d’une vapoteuse. Tu crains la lumière et chaque créations du bon père Castor. “Raconte moi une histoire” te fait frémir, ses enfants brûlent ta peau si tu ne te protèges pas de tissus.
Tu te trouves tellement misérable. Une mauvaise blague, tu aimerais tant ne pas exister.

Et pourtant tu es là, immortelle, à l'abri de tout danger (crois-tu. C’est pourtant quand tu auras enfin envie de vivre que tu seras la plus vulnérable, mise au pied devant ta propre mortalité).
Des fois, tu dévoiles cette attitude grave, cette profonde mélancolie qui bouge tes membres comme une poupée tirée par des fils. Tes paroles se font mélodie de drame, tu es reine de ta tragédie.
Plutôt pleurer que de vivre.
Tu te terres dans une vie de solitude, tu n’aimes que rarement ton prochain et profite de la sordide réputation de ton conte pour vivre en hermite. Tu passes une vie simple et solitaire dans cette petite maison perdue dans les grottes de Lostland. Tu éloignes les autres en étant mal aimable, en étant chiante même et une fois qu’ils sont partis, ça te va bien, tu peux te laisser aller dans tes livres ou dans tes pensées.
Tu n’es pas bête. Même, pourrait-on trouver, plutôt intelligente. Mais tu te poses des questions, beaucoup, trop, les mauvaises surtout et tu n’en tires que de nombreuses réponses qui ont le mauvais goût de la souffrances, douce-amertume de tes angoisses, engrais à tes cauchemars..
Pourquoi es-tu si difforme de ton original ? Parce que le père castor te hait.
Pourquoi es-tu née il y a si longtemps ? Pour souffrir davantage et sur la durée.
Y’a-t-il un lien entre la puissance de ta légende et ta naissance ? Si oui, ce n’est que pour se moquer un peu mieux encore.

Ah… tu te berces de tristesse avant de dormir, tu serres dans tes bras une peluche d’un autre temps et demain tu redressera tes murs de moqueries, de bravades.
Car mieux vaut vivre que crever.

En bref:

Anecdotes
Aime particulièrement les fruits rouges et les oranges sanguines. Elles les mange par gourmandises plus que par besoin.
Hémophobie
Malgré son âge avancé, elle n’a toujours pas compris la nature de sa particularité.
Selon les jours, sa légende l’amuse, l’ennuie ou elle ne l’assume pas.

Histoire

TW : Mort par incinération (rien de graphique), tentative de suicide dramatique.
En Bref:

D’un pas, la légende te précède.

[Craignez le comte ! Il est dit qu’il hypnotise les jeunes naïfs, les vide de leurs sangs pour en faire ses esclaves]

Et depuis, presque personne ne vient te voir. Tu es bien tranquille dans cette petite bâtisse légèrement à l’écart de l’arbre, perdue dans les grottes. Tu es l’un des nombreux monstres hantant les caves. Alors, pour te sustenter, de délicieuses framboises, de merveilleuses myrtilles, tu sors, tu te vêts des vêtements passe-partout qui couvrent ce qui a le plus de chance d’entrer en contact avec ta peau. On pourra essayer de te frôler, mais là encore, ta meilleure protection sera ta légende.

[N’approchez pas de ses sbires ! Il est dit que déchainé, ces zombis sans cervelle peuvent faire de nombreux dommages et pire encore ! Si vous abîmez sa propriété, il est dit que le comte en personne peut faire courir son courroux…]

Tu tends ton panier de courses à la marchande, un sourire un peu vide sur des lèvres sans couleurs et tu dis d’une voix absente “Cassis”. La femme te dévisage fort. Si fort. Tu pourrais prendre feu tant son regard te transperce comme un pieux. Mais contre toute attente, la femme te sert : un petit assortiement de fruit rouge préparé spécialement pour le comte. Une offrande du village à proximité pour ne pas être prochainement rasé par le si grand pouvoir du terrible vampire.

[ Apparu à l’aube des temps, il n’était à l’époque que colère et déchainement de ses terribles pouvoirs. Un roi de sang et de carnage !]

Tu étais paumée, oui ! Tu avais conscience de ton inspiration, de la grande créature dont tu étais l’apparition, une première farce du Père Castor à ne pas en douter. Tu étais pleine de questions face à ce chaos primordiale qui s’habillait de pays, de contrées et d’histoire. Tu n’en était qu’une parmi tant d'autres qui brûlait à s’approcher trop des autres. Comment être redoutable quand on redoute juste d’être touché ? D’être vivant ? Comment comploter contre qui que ce soit quand ton esprit s’évertue à comploter contre toi même ? Ratée, ratée, déchet. Tu es la créature la plus ratée des Otherlands !

[Il s’est calmé, il est dit, quand il s’installa dans son château, perdu dans les brumes. Un lieux si mystérieux qu’il est dit impossible à trouver ! Sauf pour les quelques âmes égarées avec lesquelles le comte aime jouer.]

Si personne ne le trouve, ton château, c’est qu’il n’existe pas. C’est ridicule, tu habites une simple chaumière perdue dans une des grottes de Lostland, éclaboussé par un fillet d’eau qui en fait tourner la roue. Équipée d’un confort rudimentaire, une petite turbine à eau te procure une faible électricité pour faire fonctionner quelques électroménagers, mais tu t’éclaires encore de lampes à pétrole. Moins coûteux, plus romantiques, tu ne sais pas où te placer par rapport à toutes les dissonances de ton existence. Ton château aux deux pièces.
Un château qui n’était même pas tien à son commencement.

[On raconte que c’est ainsi qu’il rencontra Lisa la belle et charma la pauvre et innocente. La malheureuse venue s'abriter de la pluie ne savait pas le dessin funeste qui l’attendait.]

Si le soleil pouvait t’être parfois douloureux -soucis de vampires-, la pluie ne te dérange pas. Tu as vite appris à classer les créations du père Castor entre ce qui te blesse ou non. Ce qui a une conscience, c’est ce qui t’est le plus douloureux. La nature, la végétation te laissent en paix. Les déjan’thés et nouveau’thés sont ceux qui te posent le plus de souffrance. Alors, lors d’un Odelà, tu t’en es posé des questions quand un poisson t’es tombé sur l’épaule.
Tu as crié.
Car tu étais surprise - qui se prépare à se recevoir un poisson dessus ?-
Car tu as eut mal -de la claque infligée-
Car tu étais dégoûtée -il était gluant.-

Et tu as erré dans les grottes, t’abritant de la pluie de truite, la tête pleine de questionnements. Est-ce que les poissons possèdent une conscience ?
Et Lisa…
Lisa t’a trouvé. Pas très dur, ton cri a raisonné dans la grotte et y a survécu grâce à l’écho. Elle t’a guidé jusqu’à chez elle et à soigné ton épaule endolori.

Elle est médecin t’a-t-elle dit. Le roi noir a prit son âme et elle a réussi à s’enfuire et se cacher avant qu’il ne lui arrive trop malheur.
Elle est une alice aussi. Les temps sont particulièrement dur pour eux. Tu le sais, lors de tes pérégrinations, tu a pu assister à leurs nombreux lynchages, à leurs exécutions parfois. Toi qui souffrais à simplement dire ton prénom, tu n’avais pas de mal à imaginer ce que c’est que d’être chassé à cause de sa naissance. Tu essayais de rester neutre.
Ce n’était pas pour durer.
Car tu as pu sentir la chaleur sur ta peau et tu aurais pu en pleurer de joie. Tu n’y avais jamais pensé que les alices ne pouvaient pas te blesser. Tu as pu sentir ses gestes tandis qu’elle appliquait une crème sur ton épaule et tu en aurais rougie si le sang sous ta peau circulait encore. Dans cette époque où les chasses aux alices étaient actives, vous vous êtes trouvées, toi avec ton trop plein de questions, avec ta réputation qui te drapait comme une cape funeste… Et elle, si pleine de vie et si charmante.

Tu as appris à sourire. À rire. Ta malice enfantine s’est développée.
Tu ne t’es jamais sentie aussi vivante (aussi proche de la mort).

Quelles idiotes.

Car cette innocence allait disparaître.

[Lisa, la servante du grand Seigneur Dracula, qui vivait dans son chateau que le labyrinthe des grottes gardait secret. Il était comme l’un des seigneurs d’un petit royaume, assouvissait et faisait souffrir sa population, orchestrait des disparition aidé de sa sinistre complices… et quand un jour, fatiguée de faire du mal à son propre peuple, elle tenta de se rebeller, le Comte avait un sort tout désigné.]

“Qu’avez-vous fait à mon épouse ?!”

Tu as hurlé en serrant ses cendres contre toi. Son crâne décharnée, brulé, partait en poussière dans ta poigne trop enragée pour se contenir, trop blessé pour se faire délicate.
Vous n’étiez pas mariés. Mais tu avais toujours eut l’impression que le liens qui vous unissait était plus fort encore que les liens faits devant un prêtre. Tu l’aimais et elle était…
Partie.

Et elle n’est jamais revenue.

Quelles idiotes. C’était une époque où des gens disparaissaient spontanément. La faute à ces Nouveau’thés et à leurs afflux disait les rhum’heurs, mais là où tu t’étais installée, on t’a mis ces drames sur le dos. Alors, quand il fallait faire les courses, il vous arrivait d’argumenter sur qui encourerait le moins de danger à vous aventurer dehors. Elle gagnait, une Alice ne craint plus grand chose à présent, mais Dracula, si. Mais quand les villageois l’ont vu, ta terrible réputation ne l’a pas protégé, au contraire. Face à une population affamée et désorientée par tant de souffrance, elle fut une victime facile, un bouc émissaire parfait.
C’est sa trop longue absence qui t’a inquiété, tu es allé voir.

Rien ni personne n’aurait pu te préparer à ce qui t’attendait.

[Il est dit que le seigneur sans âme n’a même pas versé une larme devant la disparition de sa première servante. ]

Le chagrin aurait pu pour autant te rendre folle. Pas de larme pour qui le cœur ne bat pas, juste un hurlement d’une inspiration prise par mécanisme par tes poumons. Nuls sang pour en priver l’oxygène, ta rage s’exprimait par le mal que tu te faisais, par la vie que tu as tenté de te prendre pour l’accompagner.

“Ensemble…”

[L’enfant démoniaque au jouet cassé a alors disparu, il n’est resté qu’une poignée de poussière brillante au clair de lune tandis qu’il tenta d’arracher son propre cœur ! Par chagrin ? Nenni ! C’était pour lancer une malédiction si terrible au malheureux village pour avoir osé détruire sa chose ! Il est dit que ces habitants disparurent en une nuit.]

Le jour où tu t’es reformée, si longtemps après ta tentative de suicide ratée, il n’y avait plus rien. Tu n'as jamais su ce qu’il s’était passé pendant ton absence, seulement a-tu appris qu’on t’avait attribué ce fait. Plus de village, plus d’habitants, plus rien. Guerre, nouvelles disparitions orchestrées par le puissant Castor lui-même ? C’est comme si ce conte-ci n'avait jamais existé.
Et tu n’avais même plus ses poussières pour pleurer, elles avaient été balayées il y a longtemps par le vent et le temps.
Tu es rentrée chez elle, chez vous, chez toi désormais. Et ta réputation s’est accru encore, encore, encore plus. Ta rage a détruit un pays, s’est-elle même amplifié.
Foutaise.
Tu n’as même pas été capable de te détruire toi.

Et tu es resté là, dans cette cave. Les gens, les pays, le monde ont changé autour de toi et tu as appris de nouveau à vivre puisque tu ne pouvais pas mourir, avec toujours cette douleur au cœur pour te maintenir en vie.
Cette envie de mourir qui te maintient vivante. Quelle ironie. Surtout que tu n’as jamais compris.
Vous n’étiez pas à grand-chose de le comprendre, mais tu t’es perdue dans d'autres questions. Dans une mélancolie, dans une nostalgie, dans une agonie.

[Ne t’approche pas du Comte, tu entends ? Esclave, mort, qui sait quel destin attend le malheureux qui tombera entre ses griffes s’il met la main sur quelqu’un… Comme la petite dernière, Dee.]

Dee, c’est ton dernier pseudo. Tu n’a rien eu à dire, juste à te présenter comme étant… de Dracula… et les gens du nouveau village voisin réformé ont fait le reste.

[La nouvelle poupée du terrible Comte. Attention à ne pas l’approcher, ne pas la toucher sans quoi, la terrible colère du Vampire va s’abattre et raser, comme jadis, le malheureux pays qui en aurait commis l’impaire.]

Et ta réputation t’as apporté un certain confort pour une fois. Des offrandes t’étaient faîtes, ta tranquillité te fut servie sur un plateau en or -Pas en argent, brrr !-, on te laisse à ton ermitage et à ta philosophie à deux sous. Tu joues, tu ris, tu deviens folle de la solitude dans ton château à deux pièces, dans tout ces souvenir d’elle qui hante encore les lieux.

Mais ta réputation s'amenuise, remarques-tu. Il te faudrait une nouvelle tragédie pour la raviver, rigoles-tu, comme verser une bûche dans un feu éteint.
Les gens se méfient de plus en plus, te dévisagent et commencent à hésiter avant de te donner quelque chose tandis que tu croques une baies rouge entre tes dents.

Le Carmin te sied, peut-être t’en faudrait-il un peu plus.

 
HRP
Une petite présentation avec ton pseudo, ton âge, la façon dont tu nous as trouvés et tout ce que tu voudras partager avec nous.
Red Queen
Déjan-thé
Icône : Dig through the ditches and burn through the witches, I slam in the back of my Dragula 6ee1ef820e41284e22acee18b9664739
Citation : “I'm an accident. I'm a lie. And my life depends on maintaining the illusion.”
Messages : 302
Âge : 19 physiquement, plus de cinquante en réalité
Race : Déjan'thé
Métier : Princesse
Avatar : Orihara Izaya - Durarara !!!
Origine : Blanche neige et Alice in Wonderland
Pouvoir : Baiser volant la vie et ronces empoisonnées
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Red Queen
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Déjan-thé
Tu es validé !


Je l'aime mais si fort, tu as pas idée ** trop trop hâte de faire carmilla et de jouer avec elle huhuhu ♥ un perso toujours divinement bien construit, drole et ridicule 😂 puis c'est si bien écrit wah

Félicitations !

Te voilà officiellement des notres ! \o/

Tu peux dès à présent recenser ton avatar , ton pouvoir, créer ta fiche de liens, et surtout lancer une recherche de RP !

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