The otherlands
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 Broken Sleep [Morphée]

Morphée
Déjan-thé
Icône : Broken Sleep [Morphée] 1t22fT6
Citation : Dream me a dream (Deep in the night till the morning will follow)
Messages : 7
Âge : (~20 ans) 542 ans
Race : Déjan'thé
Métier : Vagabonde
Avatar : Chloé Price
Origine : Mythologie Grecque
Pouvoir : Voyage dans les rêves
https://otherlands.forumactif.com/
Morphée
Icône : Broken Sleep [Morphée] 1t22fT6
Citation : Dream me a dream (Deep in the night till the morning will follow)
Messages : 7
Âge : (~20 ans) 542 ans
Race : Déjan'thé
Métier : Vagabonde
Avatar : Chloé Price
Origine : Mythologie Grecque
Pouvoir : Voyage dans les rêves
Déjan-thé
#1 | 15.02.23 11:01 | Broken Sleep [Morphée]
Morphée
      "Mr. Sandaddy, bring me a dream
Make him the cutest that I've ever seen"
Informations
Nom : Morphée
ge apparent : Une vingtaine d’année
ge réel : Apparue vers 50 ap.A, soit plus ou moins 542 bougie en 592 ap.A
Race : Déjan'thé.
Genre : Non Binaire. Comme on l’identifie en femme, Morphée laisse faire.
Sexualité : Demi-sexuelle et panromantique.
Groupe : Lostland
me : Enfermée dans un talisman qu’elle porte sur elle  
Métier : Paumée professionnel depuis son réveil en 590ap.A
Origine : Morphée de la mythologie Grecque
Pouvoir : Songe éveillé : Morphée peut entrer dans les rêves, voyager et emmener du monde avec elle. Quand elle est présente, les rêves, qui sont par ailleurs plus ou moins lucides, s’embellissent toujours et se couvrent de pavots colorés et de papillons bleus lumineux.
Particularité physique : Ses cheveux changent de couleur, allant de blond venitiens sombre à bleu electrique. Elle peut aussi se changer en papillons bleu luminescent.
Avatar : Ft. Chloé Price (Life is Strange)
Physique

Tes yeux bleus en amande, cerclés de longs cils noir, s’ouvrent pour de bon sur ce monde et se referme aussitôt. Le matin t’arrose de sa lumière, tu as encore dormi dehors. Mais ce n’est pas grave, ton sommeil a été tout de même réparateur car tu l’as plongé dans un joli songe où tu as pu cueillir et faire un bouquet de pavots avec ton hôte. Tes bras sont serrés contre ta poitrine. Un geste que tu fais régulièrement pour te rassurer, pour te donner du courage, pour t’empêcher de trembler. Tu extraits une de tes mains fine pour l’écraser contre tes yeux et dans l’espoir, dans la peur, d’y enlever les derniers grains de sable que Sandy aurait pu déposer.
Il n’y en a pas.
Il ne t’a pas trouvé cette nuit.
Tu es rassuré, autant que déçu.
Tu te demandes s’il est vivant, s’il est mort, tu n’en entends jamais parler. Tu n’entends pas parler non plus des Oneiroi, le monde vous a oublié.

Tu te réveilles complètement, t'asseyant sur ton séant.

Tu ressembles tant à ton père. Ta taille lui est semblable, tu le narguait tout juste d’un précieux centimètre le dépassant. Tu dégages cette même fragilité que lui. Tu as des membres fins, des bras longs semblant si cassants, des jambes blanches recouvertes de jeans déchirés. Tu passes tes doigts bagués dans tes cheveux qui froufroutent et passent d’une teinte blond vénitiens à bleue au fur et à mesure que tu sors de tes songes. Tu n’as jamais compris s’il y avait une logique dans leurs couleurs. Ils changent, c’est tout. Ils sont coupés en un carré plongeant désorganisé ciselé par tes soins. Non, tu ne sais pas couper les cheveux mais ça te ressemble bien.
Ça te va bien.
Tu ressembles à un drap froissé par une nuit agitée.
Tes vêtements fripés tombent sur un corps maigre et osseux où les articulations ressortent. Tu estimes que ta petite poitrine ne mérite pas de soutiens gorges et tu la décores de brassière colorés que tu montres comme une pièce de vêtement commune. Tes tee-shirt trop longs tombent de tes épaules dessinées par tes os jusqu’à un ventre plat et une taille légèrement marquée. Tu te couvres d’une couche en plus avec une veste de cuir usée par le temps et confortable comme une seconde maison.

Ta peau est blanche et de porcelaine, deux années d’errances n’ont réussi qu’à te convaincre de rester à l’ombre par les jours ensolleillés tant tu passes avec facilité du blanc crémeux au rouge cramé.
Tu ramènes tes jambes contre toi pour laisser encore un peu le rêve continuer, profiter de ce doux instant de réveille où tu vois encore quelques brides de merveilleux dans ce monde qui l’est tout autant, mais différemment. Souple, tu poses facilement ton visage délicat dessus et laisse tes lèvres roses et charnues se parer d’un léger sourire rêveur.
Quand tu es tranquille, ainsi, douce et délicate, que tu es agréable au regard Morphée. comme un fin rêve éveillé de personne, mais si fragile, comme si une main pouvait te dissiper.

Tu es sortie de ta torpeur par une tasse de thé et un morceau de pain beurré offert par le tenant du bar où tu as travaillé la veille. Si tu n’avais pas assez pour dormir à l’intérieur, l’homme est assez généreux pour t’offrir le petit déjeuner.
Tu lui souris chaleureusement et de ta voix chaude et cassante le remercie de tant de gentillesse. Tu apprécies cette petite intention avec bien plus d’amour que ta discrète présence ne le montre.
Tu as de la chance, penses-tu sincèrement. Tant de chance que tu n’es pas sûre de mériter. Mais tu ne vas pas t’en plaindre. Tu mords dans ta tartine de tes dents blanches et bien alignées et pousse les miettes autour de ta bouche de tes doigts fins. Ton nez fin, droit, inspire les arômes du thé et tu t’émerveilles de cette senteur divine.
Et en mangeant, tu sembles absente, perdue dans tes pensées.

Tu te demandes ce que sont devenus tes frères ? Sont-ils retournés voir père ? N’est-ce pas le moment que toi, l’enfant terrible de votre fratrie, tu fasses pareil ? Cette pensée te fait t’enlacer, inquiète. Un geste que tu fais souvent. Si ton visage reste pour la plupart du temps difficile à lire, ton langage corporel parle pour toi.
Tu aimes ton père, comment réagirais-tu s’il te regardait avec colère, déception ? Toi qui efface si facilement ta présence, intimidée par les gens et les foules, tu voudrais disparaître pour de bon, c’est sûr. Tu soupires.

Peut-être demain, te dis-tu. Oui, peut-être demain tu iras le voir. En attendant, tu te redresses de toute ta hauteur, adresse un dernier sourire au patron de ce petit bar perdu dans l’atlantide et te remets en route, fragile mais déterminée.

Tu ne sais pas si tu rêves ou si tu cauchemardes mais tu comptes bien te redécouvrir
En bref:

Mental
T’es-tu réellement éveillée Morphée ? Tu n’es pas sûre. Ton regard est toujours perdu dans le vague, ta tête dans la lune à rêver d’un monde meilleur. Tu sembles toujours faire semblant d’être une humaine, à imiter leurs gestes, à imiter leur langage, tu sembles tenter d’être à leur image. Comme un miroir imparfait. Car tu es distante, si distante face à tout. On te donne volontiers le qualificatif d’observatrice, patiente, déterminée et calme, trop calme. Tant calme et sans réaction qu’on te croit parfois dépourvu de sentiment. Est-ce le cas, doux Morphée ? Non, tu es habité d’amour, tant d’amour pour ton prochain, pour cet inconnu, pour ta famille ! Tu ne sais l’exprimer que par ta compagnie discrète, un sourire fugace, un regard attendri. Quant au reste, tu semble toujours si triste, mélancolique, comme une malheureuse poupée mise en mouvement par des fils de ses regrets.
Car tu t’en veux tant, tu te considères l’erreur qu’on ne peut pardonner, celle qui a tout gâché car tu n’as pas été assez attentive. Tu vivais ton rêve, tu as refusé de voir l’obscurité qui se profilait à l’horizon alors maintenant, pour compenser, tu semble craindre le noir à outrance.
Tu as peur de dormir, tu crains d’encore de te retrouver coincée dans une nuit sans songe, dans les ténèbres qui te font trembler tout autant.

Tu regardes ce nouveau monde parfois perdu dans les songes, tu confonds encore tout, deux ans n’ont pas été suffisant pour te réapprendre toutes les bases et tous les changements. Tout ce que tu connaissais n’est plus. Tu te trompes sur tout. Sur l’histoire, sur les non-dits de cette dernière, sur les oui-dit des gens. Tu les lis mal et tu sembles toujours à côté de ce qu’il faut comprendre. Comme si le but d’une conversation te passait au-dessus de la tête et que tu levais les bras trop tard pour l’attraper. Tu es lente Morphée, on ne cessera de te le reprocher à présent, mais tu es par ce même biais d’une extrême patience.
On se demande si c’est de l’hypocrisie, personne ne peut être aussi patiente que tu prétends l’être, mais la vérité, Morphée, c’est que tu ne sais pas mentir. Tu n’as jamais bien su le faire. Mais si avant tu faisais preuve de retenue, toi qui aujourd’hui est coincée entre rêve et réalité, tu parles parfois sèchement, énumérant des faits sans émotions aucune, avec la candide curiosité d’une enfant qui découvre son nouveau terrain de jeu. Mais si tu fâches facilement et mets mal à l’aise, tu acceptes les critiques et les retour de bâtons sans te plaindre ou te défendre. Tu n’es pas rancunière, tu penses même, souvent, que les gens ont raison d’être aussi revêche avec toi. N’est-ce pas ta bêtise qui a conduit à toute cette situation ? à tant de guerre, tant de misère. N’est-ce pas toi qui a autorisé ce malheur ?

Tu es dure envers toi même Morphée. Tu pardonnes à tous sauf à toi, n’es-tu pas injuste ?

Tu t’en veux, autant que tu n’en voudras jamais à ton père de vous avoir endormi. C’était, après tout, une bonne solution pour te stopper, toi et ta bêtise, pour stopper ton petit frère devenu fou.
Et maintenant réveillé.
Qui sait ce que l’avenir va vous réserver ?
Peux-tu rêver encore un peu, Petite Morphée ? Le veux-tu ?

Car de candide tu as aussi cet émerveillement face au monde. Les petites choses que tu pensais acquises et qui t’ont été volées pendant quatre-cent longues années, maintenant, tu les vois, tu les aimes, tu apprécies les petites choses. Sentir le vent contre ta peau, sentir le soleil qui réchauffe ton être, observer les étoiles une fois la nuit tombée…Quand le regrêt et la mélancolie ne t’engloutissent pas tout entier, tu peux être agréable, gentiment dérangé mais si attachante. Rêveuse, enthousiaste, aidant, aimante. Douce Morphée, tu es en mal d’amour, tu aimerais retrouver celui de ton père mais ta peur t’as paralysé pendant deux ans déjà, à prendre des chemins détournés, loin de son habitat. Que diras-tu, que fera-t-il ? T’en veux-t-il de ne pas avoir assez bien veillé sur les tiens ? D’avoir été dans le rêve de Phobetor, emmenant Phantasos avec toi et vous condamnant tous ? Les regrets, la peur, ne peuvent dicter ta vie.

Alors rève la en couleur, c’est le secret du bonheur.

En Bref:

Anecdotes

Morphée connaît bien plus de secrets qu’elle ne le devrait. Surtout qu’elle n’a aucune notion de confidentialité !
Elle est plutôt tactile dès qu’elle connait quelqu’un et affectueuse physiquement.

Histoire
En bref:


Car tu as été heureuse. Ton once upon a time commence avec tant d’amour.
Tu es née d’amour, celui d’un père qui t’a chéris, d’une mère qui t’a adorée.
Tu es née dans une fratrie, où les conflits n'allaient pas plus loin qu’un partage de jouet.
Tu partageais toujours tes jouets.
Tu aimais trop pour garder pour toi. La notion de propriété t’indifférait, seul comptait l’amour que tu ressentais pour les autres. Tu voyais la vie idéalement, tous tes rêves étaient beaux et enchanteurs et tu t’amusais, déjà petite, à aller d’un à l’autre pour empêcher des frères et tes parents de cauchemarder. Tu étais l’ainé, tu t’étais juré de protéger et chérir, quoi qu’il arrive. Tu t’es créer une bulle délicieuse d’illusions chaudes et rassurantes.

Tu étais née en ces temps où les otherlands étaient encore vierge, une magnifique page blanche. Tu as même pu imaginer pour eux, une fois grande, tu as pu poser des coups de pinceaux sur cette toile qui n’attendait que ça et qui buvait la peinture de tes songes avec avidité. En gardant pourtant ton âme, tu as rêvé et tu as créer. On vous appelait les Oneiroi C’était le marché que toi et tes frères aviez passé avec Alice. Pour elle, vous alliez rêver d’un monde magnifique et enchanteur. Tu t’inspirais des songes des autres ; car de chacun tu n’en voyais que le plus beaux à chaque fois. La folie essayait bien d’influencer par son essence et sa présence tes créations, mais tu ne voyais rien. Tu pensais les conflits comme des erreurs, des choses à ignorer, pardonner et à oublier. Même celle qui emporta un jour pourtant ta mère, tu n’as tenu rigueur à personne. C’était une simple faute - tu ne voyais rien !-, pas la peine de te réveiller et de regarder les yeux grand ouvert le monde qui t’entourait réellement. Tu t’aveuglais des images que la nuit t'apportait, des rêves superbes et magiques. Ta bulle continuait de se parfaire jusqu’à ce qu’elle fut agitée, soumise à des vents mauvais.

Qu’est-ce qui t’as échappé ?

Tu étais l'aîné de tes frères, tu aurais dû voir le plus jeune qui doucement et mal influencé par la folie qui rampait ici bas perdait pied. Qui, quand tu n’étais pas là pour l’influencer, a commencé à cauchemarder de plus en plus violemment. Il a créé l’Insomnie, comme un pied de nez à votre père qui venait pour bercer vos nuits. Et Icélos s’est enfoncé, il se perdait. Tu as haussé les épaules, peu inquiète.
Étais-tu trop occupée ? Est-ce une excuse ? T’en contentes-tu ?
Tu t’es dit que ce n’était rien, une erreur à accepter - et à aimer- ; tu étais grisée par la vue de ce rêve éveillé qu’était l’Otherland. Puis le rêve s’est brisé par des conflits comme une bulle de savons qui éclate, des disputes ont éclos, et ton erreur a emmené ton plus petit frère. Icélos. Comme s’endormant pour laisser vivre un alter égo qui n’était capable que de haine et de mauvais songes, qui se plaisait à créer milles cauchemars, qui s’est adoré à pourrir la beauté qu’étaient vos Autres-Terres. Malgré tout, tu l’aimais et tu l’aimes encore aujourd’hui. Tu t’es rendu compte de ton erreur et tu ne peux lui en vouloir pour ce que tu as fait, toi. Tu a été l’erreur que personne ne peut oublier.
Car malgré cet amour, tu as déserté ses rêves et ça restera à jamais ton cauchemar. Tu aimerais te dire que tu l’as rattrapé à temps, mais non, tu as toujours été un peu lente, un peu en retard, un peu dans la lune, à voir les choses quand il est trop tard.

Le premier roi noir est né. Et avec, tant et tant de conflits à venir.

Tu as été horrifié. De ce qui a été fait, de n’avoir rien vu venir, d’avoir eut la tête dans la lune et rêvé que les choses allaient s’améliorer alors qu’elles empiraient sous tes pieds. Tu te réveillais bien trop tard, Icélos n’étaient plus et Phobétor savourait d’aider le roi noir à acroitre son emprise et son terrible pouvoir. Il a fallu du temps, tant de temps, tant de pertes et d’oublis avant qu’un royaume n’émerge et s’oppose au tyrant. Avec le frère toujours à tes côté, alors, tu t’es associé à ce royaume blanc pour continuer encore un peu à rêver, à créer, à laisser le monde survivre à ton erreur.
Vous avez tenu. Pendant un temps.
Le temps d’aimer.
Tu ne pouvais t’empêcher de rêver à ces temps où tout était beau. Tu ne pouvais t’empêcher d’aimer ta famille malgré tout.
Alors, quand tu as entendu parler de ce plan d’endormir Phobétor, tu n’as pu l’accepter. Tu as solliciter ton autre frère et par songe, vous êtes aller prévenir le cadet : ne laisse pas père d’emporter !
Mais ce fut trop tard.
Comme toujours, tu as été en retard.

Tu t’es retrouvé coincé dans un grand vide. Ta faculté à rêver, confronté à celle de cauchemarder de Phobétor s’est annulé et il n’y eut aucune image dans votre coma qui s’annonçait pour durer une éternité.
Tant qu’un roi noir reignera, d’un songe profond le rêveur dormira.
Toi et tes deux frères vous étiez coincé, dans un sommeil d’injuste dont même l’Insomnie ne pouvait vous tirer. Et aucun rêve pour embellir le cauchemar.
Juste… Rien.

✦✦✦

Tu ne sais pas depuis combien de temps tu dors.
Tu ne sais pas si tu dors encore ou si tu es morte.

T’es tu réveillé ?
Combien de temps a passé ?

Un jour, à ta vision, se sont offertes de nouvelles images. Tu as vu tes deux frères, encore endormi, mais commençant à s’agiter comme ceux qui s’éveillent. Tu as vu une chambre où tu étais allongée, comme un temple à votre honneur.
Ou une tombe.
Tu vois, tout simplement, de la lumière et ça te coupe le souffle. Car ça faisait si longtemps que tu vivais dans le noir qu’une chose aussi simple t’as tout simplement époustoufflé. Tu avais toujours cru que les rêves et leurs visions enchanteresses t'étaient acquises. Tu avais tort, encore une fois. A en avoir été dépourvue pendant si longtemps, plongée dans un grand rien, tu réalises combien tu as été sotte. Du bout des doigts, tu caresses les cheveux de tes frères encore rêveur. Tu te sens fatiguée. Tu as tant fait d'erreurs et tu as entraîné tous ceux que tu aimes avec toi. Tu étais aveugle aux autres, au monde, les yeux rivés sur tes rêves, sur tes espoirs. Tu veux t’amender de tout ça. Tu veux les protéger. De toi, de ta sottise.

Alors tu les quittes sans un bruit avant que la lumière ne vous voit et tu voyages.
Tes pas te portent là où ils peuvent, tes jambes engourdies par trop de temps à dormir sont faibles et fragiles. Toi même tu te sens perdue dans ce nouveau monde. Il est cruel, déchiré par les guerres. Il est si différent, il n’a plus rien à voir avec tes rêves d'antan. Tu essayes de rattraper le temps perdu, de t’instruire. Mais il y a trop d’informations, deux ans ne te permettent que de tout mélanger. Tu apprends à la dure, aussi, te frottant à une population souvent revêche et peu patiente face à tes interrogations. Face à une population qui voit trop de changement, qui voit une nouvelle guerre déclarée, tu comprends qu’ils ne sont pas en bonne disposition pour bien accueillir l’autre mauvaise nouvelle que tu es.
Tes pouvoirs créatifs sont partis. Tu as essayé, rien n’a bougé. Tout ce que tu peux faire, c’est te glisser dans les songes, mais cette fois, tout ce qui était dedans y reste.
Tu voyages aussi en rêve, retrouvant un peu de familiarité dans cet autre monde là qui est tiens. Tu rends ces mondes là plus beaux rien que par ta présence. Mais tu as peur d’y rester coincée alors, tu fuis et te réveilles chaque jour en sueur, fiévreuse, tremblante comme un oiseau qui vient de naître. Et tu avances de nouveau, et tu cherches et tu apprends.
Les journées sont dures et cruelles.

Tu ne sais pas si tu vis ou si tu cauchemardes.

 
HRP
Toujours Lapin, Deuxième repêchage ! Car j'aime ma petite Morphée d'amour. Finalement j'ai établi son réveil en 590 et ai ajouté une petite phrase en gras pour dire qu'elle voit bien que... c'est la merde :T
Mr. Sandman
bring me a dream ♪
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#2 | 16.02.23 20:40 | Re: Broken Sleep [Morphée]
Tu es validé !


Ma Morphine !!! ♥♥♥ Toujours aussi parfaite, j'ai adoré la relire 😌

Félicitations !

Te voilà officiellement des notres ! \o/

Tu peux dès à présent recenser ton avatar , ton pouvoir, créer ta fiche de liens, et surtout lancer une recherche de RP !

Si tu le souhaites, tu peux aussi créer un profil sur les réseaux sociaux pour ton personnage et rejoindre le discord du forum !
Morphée
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Déjan-thé
#3 | 16.02.23 21:20 | Re: Broken Sleep [Morphée]
SANDADDY ! Merciiii !! Broken Sleep [Morphée] 4148058454
J'arrive te retrouver !
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