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 Anywhere, I would've followed you

Parthenópe
Déjan-thé
Icône : Anywhere, I would've followed you 8sn9
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 34
Race : Déjan'thé
Métier : Eternelle soliste
Avatar : OC de ZA.RA_H
Origine : L'Odyssée // Mythes grecs
Pouvoir : Chant enchanteur
https://otherlands.forumactif.com/t364-and-i-can-t-forget-you-parthenope
Parthenópe
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Déjan-thé
#1 | 30.06.22 23:42 | Anywhere, I would've followed you
Parthenópe

And the siren come calling
In the night, till the light
Hello, it’s me
Nom : Parthenópē. Celle à la voix virginale. Aussi appelée Parthénos.
Age apparent : Jeunesse trompeuse d’une trentaine d’années.
Age réel : Elle n’a jamais compté, trop occupée à croquer les à pleines dents (née en 383 ap.A, actuellement 208 ans).
Genre :
Sexualité : Fluide comme l’eau qui l’a vue naître. Chaotique comme le chant des vagues contre les récifs. Elle aime les hommes, elle aime les femmes, elle aime les entre-deux, les tous-les-deux, mais elle aime surtout leur chair, celle qui est rouge et qui fond sous la dent. Pas vraiment mante-religieuse ou veuve noire, plutôt prédatrice incontestée, incontestable.
Race : Déjan’thé.
Groupe : Lostland.
Ame : Anciennement entre les mains du Roi Noir, l’Etranger. Aujourd’hui tous deux portés disparus, elle n’est plus qu’à l’état de songe, vieux souvenir englouti par les embruns marins.
Métier : Éternelle soliste riche des trésors de ses victimes.
Origine : Mythes grecs et légendes homériques. L’une des trois sirènes de l’Odyssée.
Pouvoir : Les accents magiques de son chant font perdre la tête à ses malheureux spectateurs (désorientation, troubles de la mémoire, de la concentration, certains côtoient la folie lorsqu’elle se perd dans les affres d’un refrain prenant, ils ne sont plus qu’une oreille, oubliant tout d’eux-mêmes et du monde - c’est passager, dure uniquement le temps de la chanson et les effets sont très faibles si elle ne fait que fredonner, type “où sont mes lunettes” alors qu’elles sont sur le nez de la personne).
Particularité physique : Chimère mi-femme mi-oiseau, sirène capable de voler.
Avatar : OC de za.ra_h.

Hello from the other side


Tu es belle, Parthenópe.
Étrange, mais belle.

D’une beauté tendre, esquissée sur la courbe de ton sein généreux et de tes hanches larges, reflétée par ton giron fait pour y poser la joue.
D’une beauté onirique, dessinée sur l’arête de ton nez mutin légèrement retroussé, gravée sur ton menton volontaire.
D’une beauté cruelle, tranchée sur tes traits féroces, inscrite dans tes sourires inachevés et tes regards gelés.

C’est la nuit dans tes cheveux, boucles en cascade que tu te plais à peigner et à décorer de perles nacrées, de plumes d’ébène, de phalanges dorées. Ils sont longs, tes cheveux, ils t’arrivent presque jusqu’à la taille, s’emmêlent parfois, souvent, avec le vent, mais qu’est-ce que tu les aimes. Tu ne le diras jamais à voix haute mais ils te rappellent un peu ta mère, la vision de son dos couvert de la même crinière alors qu’elle s’en allait, vous quittait. C’est la seule chose que tu tiens d’elle, tout le reste n’est qu’un drôle d’amalgame tiré des mythes grecs et légendes homériques.

Quand on te regarde, on voit un monstre. Ni femme, ni oiseau, entre les deux ou les deux en même temps, toi-même tu ne sais pas, plus, mais te voilà. Avec tes yeux trop grands, trop jaunes, trop fixes. Avec ton cou un peu trop mobile. Avec tes dents qui tiennent plus des crocs, à peine cachés par une paire de lèvres purpurines. Avec tes pieds articulés comme des serres. Avec tes ailes. Oh oui, tes ailes. Les plumes sombres qui prennent racines un peu en-dessous des épaules, les os et les muscles qui se scindent au niveau des coudes, se déploient sur une envergure suffisante pour te porter par-delà les confins. Tu as des bras, bien sûr, confondus avec ces choses encombrantes que tu traînes partout, et des mains aux doigts longs, aux griffes acérées faites pour lacérer, écorcher, éventrer.

Oui, quand on te regarde, tu fais peur. Mais si on s’attarde ? Il y a plus, bien plus que juste la chimère conçue par Homère et son Odyssée. Car ce corps façonné pour chasser et tuer, tu lui fais porter des bijoux qui brillent comme autant d’étoiles, parures d’or qui accrochent le soleil et la lune, miroitent sur l’eau. Une couronne perchée sur ta tête, un collier plastron, de longues boucles d’oreille, des bracelets, tous constitués d’un assemblage compliqué d’ossements sculptés à la main et dorés à la feuille. Et ça te va bien, même si c’est curieux, un peu trop particulier au goût de certains, délicieusement décalés pour d’autres, oh oui qu’est-ce que ça te va bien. Comme tes robes, longs voilages perpétuellement noirs qui coulent sur ta peau, tombent jusqu’à tes pieds nus, couvrent ta peau lisse qui ment et cache toutes les cicatrices, là, à l’intérieur, réseau tentaculaire tapi sous la surface, creusé jusque dans ton cœur.

Tu es belle, oui, et ça te tue un peu au fond, parce que toute cette beauté ne sera jamais suffisante.
Hello from the outside


Parthenópe, ô Parthenópe. Quoique généralement on donne les Sirènes pour outrageuses tentatrices ou cruelles abominations, il est piquant de remarquer que, de ces rumeurs, tu te confonds et te distingues à la fois.

Ton plus profond intérêt, toi, bien loin de se révéler être les hommes, c’est la littérature, la poésie, les mots qui bercent et transpercent, les récits et légendes qui remuent quelque chose, là, à l’intérieur. Depuis toujours amoureuse des milliers d’histoires écoutées au gré des vagues, volées au souffle des marins mourants dans ton étreinte. Plus intéressée par les bardes, conteurs, ménestrels et scaldes que par les héros, guerriers et princes des Royaumes environnants, tu es bien la digne fille d’une Muse. Pourtant, de ta mère Calliope, tu ne retiens qu’un front pâle ceint d’une couronne d’or, le murmure des longs doigts sur sa lyre et le bruissement du volumen se déroulant le soir pour vous conter les poèmes épiques faisant sa fierté. Mais si tu la détestes pour vous avoir abandonnées, pour n’être plus qu’un vague souvenir vacillant à l’horizon, tu ne peux nier qu’elle t’a façonnée aussi sûrement qu’un peintre esquissant sa toile.

Tu as sa douceur jusqu’au bout des doigts, jusque dans la voix. Tu as sa sensibilité dans le regard, dans les actes, ça transpire dans tous tes gestes. Tu as son sourire de rêveuse déprimée, qui oublie d’ouvrir les yeux et de se rappeler que le monde, là-dehors, est constitué des mêmes personnages - ou presque - idolâtrés à travers les pages. Tu as sa fierté confinant l’arrogance, persuadée d’avoir la plus belle voix, d’être la meilleure chanteuse. Oh oui, tu tiens bien plus de Calliope la Muse de la Poésie Épique, que d’Achelous, le Dieu-Fleuve qui te sert de père. Encore plus absent, il ne t’a laissé que sa colère, de celle qui emporte tout sur son passage, comme les flots en furie lors d’un orage. Si ta rage peut être dévastatrice, sanglante même, elle ne s’exprime toutefois que rarement, surtout lorsque ta fierté, finalement, est froissée, piétinée, par les ignares qui prétendent pouvoir se passer de tes chants.

Ah, Parthenópe, Parthenópe… Qui es-tu vraiment, au fond ?

Il n’y a pas eu d’éducation, pas vraiment. Pas de valeurs, d’opinions, de principes inculquées. Rien que trois enfants laissées à la dérive et qui se sont élevées seules, petits oisillons devenus rapaces. Car même ton amour des arts et de la littérature ne peut dissimuler ta nature profonde. Créature née des mythes et légendes, chimère mi-femme mi-oiseau, prédatrice innée, tu ne t’es jamais regardée dans un miroir en te disant que ce que tu fais aux marins, c’est mal. Il n’y a pas l’ombre d’un regret, aucune nuance de culpabilité, quand tu te rappelles les chairs séchées, le sang qui coule, les cris qui transpercent. Pourquoi y en aurait-il ? C’est dans l’ordre des choses. C’est ce que tu es. C’est ce que tu fais. Et c’est un drôle de contraste, un drôle de mélange, incohérence brutale de l’esthète carnassière. Oui, tu es un paradoxe tout entier, Parthenópe. Sirène sanguinaire capable de trancher une gorge sans l’ombre d’une hésitation, créature territoriale prête à éventrer quiconque s’aventurera dans son nid sans autorisation. Jeune femme facilement effrayée par l’ombre d’un récif sur les flots, que tu prends pour un monstre venu vous croquer. Animal froid et imperméable, qui ne bronche pas devant la mort, considère les jeunes, les vieux, les blessés et les malades comme de potentielles proies, d’éternelles victimes. Demoiselle sensible qui ne peut s’empêcher de sauver les oisillons tombés du nid dans un drôle de caprice. Rapace cruel se délectant de séduire les navigateurs et maintenant les simples passants pour les attirer dans ta couche puis dans ton estomac. Coquette collectionneuse de bijoux et autres trésors dérobés à tes victimes, qui aime se parer d’or et de soie. Si tu conserves précieusement les ossements de tes repas, c’est pour y fondre ce métal si précieux que tu arbores, ou pour les sculpter délicatement. Peignes, colifichets, parures gracieuses naissent entre tes mains, aussi splendides que les sons qui s’échappent de tes lèvres.

D’ailleurs n’est-il pas ironique que cette voix que tu aimes tant, dont tu es si fière, flanche et te trahit dès lors que tu cesses de chanter ? Les mots qui trébuchent, les syllabes qui s’emmêlent, le son qui faiblit… Il t’arrive bien plus souvent qu’à ton tour de bégayer et tu en as honte. C’est ta timidité, celle cultivée par des années perdues entre les pages d’un livre, celle entretenue par un cœur brisé, des hommes et des femmes jamais côtoyés pour discuter, plutôt pour chasser. Pauvre maladroite qui, chaque fois que ça se produit, aimerait pouvoir se cacher dans un petit trou de souris. A défaut, tu parles le moins possible. Peut-être est-ce pour ça, finalement, que tu restes une éternelle solitaire, mal à l’aise devant les inconnus pour lesquels tu ne chantes pas, que tu n’as pas l’intention de séduire ou l’envie de croquer au détour du dîner.

C’est amusant de savoir que si tu fredonnes aussi souvent, ce n’est pas tant que tu aimes faire perdre la tête aux gens - bien que ce soit prenant -, mais surtout parce qu’au moins tu es sûre que comme ça, tu ne failliras pas.

En vrac :
We’re all mad here

Midi est proche.

Le vent est tombé, soudain.

C’est un calme plat, sans le moindre souffle, qui s’abat sur les flots. Le soleil brille de sa lumière tragique, au plus haut dans le ciel, tout mouvement se fige et les Sirènes se révèlent.

La torpeur n’est que le prélude à la mort des marins inconscients.

Midi est proche.
L’heure des dieux de la mort.


Leucosie, Ligie et Parthenópē.

Elles sont trois, soeurs nées des amours momentanés d’un père et d’une mère absents, quelque part au milieu des vagues s’échouant sur les rivages de Lostland. Le récif de leur naissance prit le nom de l’Île des Sirènes.

Les légendes racontent tout un tas de choses à leur sujet. Qu’elles chantaient la vérité et le présent, des récits prophétiques et une connaissance totale. Qu’elles attiraient les marins, les charmaient et qu’aucun, jamais, ne dépassait leur île. Qu’elles furent vaincues, dépossédées par Ulysse, et que, de dépit, elles se seraient précipitées dans la mer pour mettre fin à leurs jours.

Mais la mort est aussi facile à tordre que la vérité, dans les Otherlands.


Parthenópē est jeune, heureuse, naïve.

Dans son inconscience, elle s’est éprise d’Ulysse.

Du récit de ses aventures, qui parcourent la mer et chevauchent les vagues, se murmurent chez les marins s’échouant sur le récif. Des poésies qui lui sont érigées, vantant sa sagesse et son courage, sa droiture et sa loyauté.

Elle est tombée amoureuse de lui comme une petite fille du Prince Charmant.

Et elle jalouse Pénélope, Circé et Calypso, rêve de les voir s’aventurer sur les eaux pour les tourmenter de ses chants, déguster leurs entrailles avec ses sœurs.
Et elle se languit de lui, allongée sur son nid d’ossements et de trésors, rêvant de leur rencontre, idéalisant leur avenir.

Elle se dédie toute entière à cette obsession, oublie tout d’elle-même et du monde qui l’entoure, ne mange pas, ne boit pas, laisse sa vie s’écouler sans vraiment le remarquer. Leucosie et Ligie ont beau supplier, gronder, tempéter, pleurer, secouer, rien n’y fait, Parthenópē est comme une tragédie grecque ambulante et elle se laisse mourir d’amour.

Jusqu’à l’arrivée, enfin, du fameux Ulysse.

Midi est proche.

Il est tout ce qu’elle a imaginé et plus encore alors elle lui promet tout. Viens. Viens, arrête ta nef et écoute ma voix. Viens et ne t’éloigne plus, tu sauras tout ce que je sais, tu possèderas tout ce que je possède. Viens car aucun homme n’a dépassé notre île sans s’arrêter. Et elle chante, fait résonner sa voix jusqu’aux rives de Lostland.

Dans la torpeur funèbre, se révèlent les démons de midi.

Elle réussit à l’attirer un temps, au prix du sang de son équipage, croit pouvoir le garder à ses côtés, que tout sera comme elle l’a imaginé. Elle se voit déjà lui conter ses meilleurs poèmes, lui entonner ses meilleures balades, propager le récit de ses aventures au reste des Otherlands. Elle rêve, trop peut-être, car la chute est brutale quand il réussit à se défaire de l’ensorcellement et à fuir avant même qu’ils aient partagé une couche ou une étreinte. Oh, qu’est-ce que ça fait mal.

Si mal, qu’elle se jette du haut de la falaise, droit dans la mer qui a bercé sa vie jusqu’à présent.


Lorsque l’on revient à la vie, dans les Otherlands, on y laisse toujours quelque chose.

Parthenópē ne le savait pas à ce moment précis, ne l’a découvert que bien des années plus tard, mais ce qu’elle a perdu, ce jour-là, en plus de ce qu’elle croyait être l’amour, c’est sa capacité à enfanter. Peut-être est-ce pour ça, que la jalousie s’est nichée dans son cœur, à côté de son amie la rancœur, et qu’elle n’arrive plus à regarder Ligie dans les yeux ? Peut-être est-ce pour ça qu'elle aime si profondément, si tendrement, chacun de ses neveux et nièces, et tout particulièrement la petite Melipheme ? Ils représentent tout ce qu’elle n’aura jamais, tout ce qu’elle ne pensait jamais vouloir à ce point, ce vide dans son ventre, ce néant dans son cœur.

Au début, elle ne s’est aperçue de rien, s’est seulement contentée de se plaindre, encore et encore, de se languir, encore et encore. Leucosie l’a secouée, fort. Ligie l’a pleurée, longtemps. Et Parthenópē a fini par essayer de fonder une famille, à défaut de trouver l’amour, pour tromper sa solitude et son cœur vide. Pas le meilleur des choix, mais le seul qui lui est venu en tête. Sauf que ça n’a pas marché, bien sûr.

C’est , qu’elle a compris.

Elle a bien failli se jeter à nouveau de la falaise.

Mais Leucosie l’a retenue, lui a promis de lui ramener Ulysse, et s’en est allée en guerre. Alors la culpabilité s’est substituée aux lamentations.


Le temps a coulé, s’en est allé.

Leucosie n’est pas revenue. Melipheme a quitté le nid.

Parthenópē tend l’oreille pour essayer d’attraper de leurs nouvelles au gré du vent, en vain.

En attendant, elle aussi s’est éloignée du récif, a rejoint les rives. Soliste éternelle, elle erre à droite à gauche, se bâtit un nid pour une journée, une semaine, un mois, disparaît lorsque l’envie l’en prend. Elle ramasse les oisillons tombés du nid, soigne les oiseaux blessés, les berce et les aime comme les enfants qu’elle n’aura jamais. Elle fredonne perpétuellement, chante pour ceux qui s’approchent un peu, continue de séduire et dévorer ses proies même s’ils ne sont plus seulement marins. Il lui arrive de distribuer les babioles qu’elle fabrique. Parfois, elle vole jusqu’à sa cousine, Nicothoé la Harpie, bien seule dans son château, et l’entraîne pour quelques heures de solitude partagée, là, dans les nuages. D’autres fois encore, elle cherche à rejoindre Melipheme, se rappelle qu’il vaut mieux éviter de quitter le Royaume et abandonne.

Elle est perdue, Parthenópē. Elle est seule, aussi. Pas malheureuse, pas vraiment, mais pas heureuse pour autant. Elle ne sait pas trop ce qu’elle veut faire de sa vie et ça, c’est bien embêtant.
Behind the screen
Pseudo HRP ? : Uta. Gali sur le Discord d’Otherlands.
Parles nous de toi : Je suis gentille ?
Comment es-tu arrivé ici? : On m’a traînée, chef. Le coupable, c’est une fée.
Quelque chose à nous dire? : Vous êtes beaux.
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Bienvenue à toi pour ce deuxième compte ! Le premier d'une loooongue lignée...
Melipheme
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Nouveau-thé
ooh coucou tantine ~
très hâte de lire la suite :huhu:
Parthenópe
Déjan-thé
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Déjan-thé
merci White Anywhere, I would've followed you 1f60d (oui, je coule lentement mais sûrement dans la fosse aux multicomptes...)

coucou ma chère nièce  Anywhere, I would've followed you 1f618
j'espère que la fichette va te plaire Anywhere, I would've followed you 1f648 (et que je ne me suis pas emmêlée les pinceaux avec les chronos et le contexte)
Mad Hatter
Maître des Fufufu~
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Mad Hatter
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Maître des Fufufu~
Coucou tantine ~ une histoire touchante, une maman de substitution, allons chasser l'humain ensemble ? Bonne validation ~ :3

Anywhere, I would've followed you 1519894569 Félicitations, tu es validé! Anywhere, I would've followed you 3019434634
Hell'come petit fou, tout me semble correct donc te voilà validé! Tu peux filer recenser ton avatar et ton personnage et ton pouvoir! Tu peux aussi créer ton logement, fiche de personnage et même un Fakebook pour ton personnage!

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