The otherlands
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
RSS
RSS
AccueilDiscordRechercherMembresGroupesS'enregistrerConnexion



 
-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

4 participants

 A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant

Fletje Ynd Utschmence
Déjan-thé
Icône : A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant GUrD1Fh
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 4
Âge : 179 ans
Race : Déjan'thé
Métier : Navigatrice
Avatar : Naiad - Identity V
Origine : La légende du Hollandais Volant
Pouvoir : Brumadaptation et Hydrofluctuare
https://otherlands.forumactif.com/
Fletje Ynd Utschmence
Icône : A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant GUrD1Fh
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 4
Âge : 179 ans
Race : Déjan'thé
Métier : Navigatrice
Avatar : Naiad - Identity V
Origine : La légende du Hollandais Volant
Pouvoir : Brumadaptation et Hydrofluctuare
Déjan-thé
“I never wanted to lose myself, my only wish was to discover the world”
Nom : Fletje Ynd Utschmence
Âge apparent : 20 ans
Âge réel : 179 ans
Race : Déjan’thé
Genre : Féminin
Sexualité : Asexuelle
Groupe : Wonderland
Âme : Mon âme n’est plus mienne, elle appartient à la reine blanche. Je me souviens précisément à quel instant elle a été cédée, un soir où le croissant de lune naissait tout juste et où les étoiles s’acharnaient à éclairer, de bien faibles lueurs, le ciel. Parfois, il m’arrive de l’imaginer, dans cette petite caravelle embouteillée, il m’arrive de me demander si elle aurait pu naviguer n’eut été de ce contenant pour la protéger. Je me demande si elle s’ennuie de cette chose qu'elle ne connait pas, de naviguer çà et là..
Métier : Navigatrice
Origine : La légende du Hollandais Volant
Pouvoir : Brumadaptation (création et maîtrise de la brume et fusion avec elle).
Particularité physique : Peau grise qui ne peut pas bronzer, des algues qui poussent ça et là qu’elle dissimule, des parcelles de peaux écailleuses, des cheveux longs, très longs, verdâtres qui ne peuvent pas être teints, Hydrofluctuare (capacité de flotter sur l’eau).
Avatar : Naiad d'Identity V
Fletje Ynd Utschmence
Once upon a time...
« Avoir une femme sur son navire, ça porte malheur. »
C’était une superstition que je n’avais jamais considéré comme un conseil ou comme un ordre. J’avais toujours rêvé de naviguer et sillonner les mers. J’avais toujours rêvé de saisir la barre, d’hisser les voiles et me laisser dériver où que le vent me mène. Je le fis. Il n’existait, de mon vivant, aucun rêve que je ne puisse outrepasser. Ce que je voulais, je l’obtenais. Riche héritière d’une grande beauté, il n’y avait rien en ce monde qui soit hors d’atteinte.

Rien, sauf la mer.
Je la défiai quand même. Étourdie ou courageuse, rien ne me faisait peur. Je fonçais dans les obstacles que l’on mettait sur mon chemin comme s’ils n’avaient jamais existé. Je les repoussais de la main comme s’ils n’en avaient pas été. Et quand on m’interdit de prendre le large avec un équipage de marchand, je m’octroyai le droit moi-même. Le temps de l’embarquement, je devins un homme, dérobant quelques vêtements et des postiches à mon père. J’embarquai, je me fis passer pour un matelot. À l’époque, le temps manquait rapidement. On profitait de chaque instant où il faisait beau pour espérer braver les tempêtes. On ne savait jamais quand elles décideraient de nous couler. Ni elles ni la mer. Et si dans les forces de la nature nous avions une ennemie, celle en qui nous avions le plus confiance, la mer, fut celle que nous aurions le plus dû redouter. Imprévisible justicière et ravisseuse. Nul ne savait quand elle s’éprendrait de la voix de l’un des marins et qu’elle déciderait de le faire sombrer avec elle et tout le reste de son équipage.

Ô mer, douce rivale. Vois-tu, c’est l’équipage que j’ai voulu flouée. Je me suis cachée parmi les hommes, ai prétendu en être un jusqu’à ce qu’à l’horizon nous ne discernions plus la terre. Les masques tombèrent dès que je ne vis plus les montagnes continentales et aussitôt les hommes étaient tombés sous mon joug. Nous écoutais-tu quand nous célébrions tard le soir ? Il m’arrivait de te regarder entre deux choppes et tu semblais si calme. Quand c’est mon reflet que je regardai dans ton corps, c’est là que tu t’envenimas. N’y avait-il à bord aucun chant qui te plaisait ? Ou alors attendais-tu que l’on soit assez loin pour appeler vers toi le convive que tu aimais ? Le fait que tu me vois enfin était-il simplement une coïncidence corrélée à ta soudaine agitation ?

« Soon may the Wellerman com… » et ce mot se perdit dans la panique qui s’en suivit. Tu nous appelais à toi. On m’avait parlé du chant de la mer, je ne l’avais pourtant jamais cru. J’avais longtemps pensé que c’était un mythe. C’est ta voix cristalline qui s’éleva partout autour de nous et qui força le changement de ton. Ta chanson macabre faisant vibrer notre oreille. « Venez avec moi sous l’écume, je vous ferai voyager. Venez avec moi jeunes hommes et vieux marins, je vous ferai voyager. J’ai en mon sein mille-et-un trésors, je vous les troquerai contre un baiser… » Nous nous accrochâmes aux rampes et aux mâts, cela ne suffit pas. Bientôt tous furent emportés par tes bras. J’étais la dernière sur le pont. Et quand tu vins me saisir, tu te réprimas, tu me rejetas. Ton long bras devint le corps d’une femme. Je me souviens de chacun de tes mots.

« Qu’est-ce qu’une femme fait ici ? Tu tentes de me voler mes hommes ? Ne t’a-t-on jamais dit qu’une femme sur un navire apportait le malheur de tous ? » Je n’eus jamais le temps de répliquer. Tu étais ainsi, tu ne laissais jamais la chance aux coureurs. « Tu t’es amouraché desquels, qui as-tu souillé ? » Tu criais maintenant. Ta voix n’avait plus rien de charmant. « Les marins sont miens. » Je tentai de t’expliquer que je voulais voir la mer, voir ce qu’avait à offrir le monde, et peut-être trouver l’amour. « Si tu y tiens temps alors voici pour toi mon cadeau. Pour toujours tu sillonneras les mers, sans jamais pouvoir mettre pied à terre plus de deux heures. Si tu le fais, tu te pétrifieras. Ta vie sera éternelle. C’est ce qu’en coûte de dérober à la nature de ce qui lui est dû. » En une fraction de seconde tu t’en allas et ma peau se ternit. Commença ainsi ma non-vie.

Tu emportas avec toi le navire et je devins cet être qui errait sur les mers et que tous souhaitaient fuir. Partout où je passais, tu me suivis. Si l’on m’adressait la parole, si l’on me recueillait, tu coulais les équipages, tu emportais les hommes. Tu les voulais tous pour toi. Je ne pouvais en avoir aucun. Chaque fois, je te maudissais, mais je n’avais pas ta puissance. Mes longues jupes fendaient les vents comme une voile qui me guidait, je marchais sur l’eau, me cachait dans les brumes avec l’espoir qu’un jour, je puisse me dérober à ton courroux. Toi, Esprit de la Mer, Dame du Lac, toi que je méprise tant.

Si j’erre aujourd’hui, sans foyer et sans attache, c’est parce que tu m’as attaché à ce mat qui est le tiens. Aussi vaste soit-il, je suis prisonnière, constamment appelée à revenir sans jamais pouvoir toucher pied à terre. J’eus cru m’enfuir souvent, mais tu me retrouvas chaque fois. Encore et encore. Même après que j’eus donné mon âme.

Pour une envie puérile, tu m'eus dérobé ma vie. Alors que je ne voulais réellement qu'emprunter ton passage. Me voilà maintenant contrainte à une éternité en ta seule non-compagnie et ma seule issue serait ta mort. Puisque je ne peux te semer où que j'aille.
Mental
J’ai toujours été têtue, toujours été du genre à me laisser gagner par quelque envie spontanée qui me gagne et à les suivre jusqu’au bout. Ça m’a bien servi tiens. Avant que je ne sois plus que ce corps défiguré, j’étais jolie, voire ravissante, j’avais une forte confiance en moins. Je ne suis plus que l’ombre de cela. La triste figure qui demeure d’une malédiction, qui ne sait ni s’en aller ni venir, qui se doit de rester là où on lui a dit de rester. On me régit, on me contrôle, et je ne trouve plus en moi la sincérité qui autrefois s’imposait. Je ne suis plus que le voile nacre de la caravelle à bord de laquelle je naviguais autrefois. Je suis son effigie. Une peau terne que le sel marin a ravagée, ni blanche ni normale, un esprit déchiré par les vents trop fort, une âme noircie par les orages qui m’ont dérobé ceux avec qui j’avais fait le choix de naviguer. Je n’ai pourtant jamais voulu qu’une seule chose : aimer.

J’identifie aujourd’hui deux périodes à mon existence : ma vie, cette époque où j’étais d’une grâce et d’une jeune enjouée, et ma non-vie qui commença le jour où cette malédiction s’enroula autour de moi sans ne plus jamais manifester le moindre signe de vouloir partir. Avant, je voulais aimer. Aujourd’hui, je ne veux plus que retrouver cet avant. Cette époque où je n’étais pas tourmentée par les âmes que j’ai amenées avec moi en mer. J’ai été cette femme séductrice qui tournait autour des hommes, j’ai maintenant aussi peur d’eux qu’ils pourraient avoir peur de moi. Aujourd’hui, je suis cette chose qui erre en mer. Je suis cette chose qui parfois accoste, mais ne peut jamais se poser. Je suis cette chose qui souffre de cette malédiction et qui le laisse voir par ce ton constamment démoralisant et ce pessimisme qui me caractérise. Je ne suis pas d’agréable compagnie, à vos mots doux je maugréerai sûrement que je ne les mérite pas. Vos encouragements, je soufflerai qu’ils sont vaincs. Et votre espoir, je le fuirai. Il y a longtemps que le mien m’a quitté et que je n’imagine même plus qu’il puisse un jour revenir.

Je suis pessimiste, morne, dépitée par ce que la vie a eu à m’offrir. J’ai longtemps cru qu’elle m’apporterait ce que tous espéraient : bonheur, amour et prospérité, or aujourd’hui, toute cette croyance s’en est allée et j’ai compris qu’il n’y aurait jamais de telles choses pour éclairer ma vie. Je suis un monstre. Un monstre des abysses que tous craignent d’un jour rencontrer. Partout où je vais, il y a ce chant de terreur, cette envie que ce ne soit pas moi qui, à l’horizon, fait poindre son nez. Ma figure de proue est redoutée, mon pavillon est méprisé, ma coque est crainte. Les jours sont pour moi des nuits éternelles. Si j’aime les gens, si j’aime les rencontrer, je ne me permets plus que de rares instants où ces rencontres sont possibles. Tel est mon fardeau. Si je touche terre, mes heures sont comptées. Hélas, autant puis-je détester ma non-vie, je souhaite qu’un jour de mon existence soit heureux, ponctué de ce bonheur que j’ai cherché toute ma vie.

Je suis une aventurière, une femme qui n’a pas froid aux yeux. Je mords dans ce qui m’est présenté avec l’envie de découvrir chaque saveur que l’on a à m’offrir. Je suis fade. Le monde ne l’est pas pour autant. Si ma condition est un fardeau, je ne crois pas que tout ce qui m’entoure soit aussi lourd à porter. Je veux vivre le bonheur. Je ne crois pas qu’il me soit destiné. Elles sont là toutes les nuances qui me hantent et me tourmentent. J’ai envie de découvrir ce que le monde a à offrir, mais j’en suis incapable, ainsi, je me laisse dériver à son bon vouloir, sans conviction, alors que j’aime tant voir ce qui m’entoure. Les mers sont devenues un décor usuel qui n’a plus rien de surprenant. À les arpenter des années durant, j’ai fini m’y faire et si demain on me redonnait ce droit de sillonner la terre comme je le souhaite, probablement que je ne retournerais plus jamais sur l’eau.

Ironique, puisque c’est la raison précise pour laquelle j’y suis condamnée, parce que c’était tout ce que je n’avais jamais désiré : être en mer, entourée de marins aussi passionnés que moi. S’il y a de ces choses qui ont persisté dans les deux cycles de mon existence, c’est cette passion. Comme si elle m’avait marquée d’une encre indélébile qui ne pouvait ni s’effacer ni se corrompre. Or, il s’avère que j’ai ce don de me passionner pour les choses que je ne peux pas avoir, pour les richesses que le monde s’évertue à me dérober et placer loin de moi. Je suis cette enfant, bien que désillusionnée aujourd’hui, qui cherche à atteindre la jarre de cookies que l’on a si soigneusement placée en haut du réfrigérateur précisément pour que je ne l’atteigne jamais. Mais je suis intelligente, je trouve des ruses pour obtenir ce que je souhaite, je tâche de ne pas être démasquée. J’ai échoué une fois. Une seule. Et ça m’a valu cette condition. On ne peut pas défier la mer et espérer gagner. C’est là une leçon importante que j’ai apprise.

Mais c’est bien la seule.
Je suis indomptable, caractérielle, prête à tout pour arriver à mes fins et, d’une certaine façon, je suis rongée par un égoïsme que j’aurais préféré ne jamais avoir à m’avouer. Hélas, les choses sont ce qu’elles sont. D’une fatalité sans bon sens qui est prête à t’en faire découdre si d’un sourire narquois et condescendant si tant est que tu tentes de l’affronter. Et j’ai cette audace. J’ai cette tendance à croire que jamais la vie ne m’adressera les mêmes conséquences qu’elle a adressé à autrui. Je suis indomptable. Aussi indomptable que la mer. Elle l’est plus simplement que moi et c’est pour cette raison qu’elle a su me faire ça, c’est pour cette raison qu’elle a su me retirer tous mes atours et me donner cette apparence. C’est pour cette raison qu’elle m’a maudit.
Et qu’à mon tour, chaque jour qui m’est donné de vivre, je la maudis, lui dérobant ce qu’elle a de plus précieux. Je sais où sont tous ses trésors. Il ne me reste qu'à les prendre.
Physique
Regardez-moi. Regardez-moi une seule seconde. Vous comprendrez alors que me décrire ne sert à rien. J’ai cette apparence de laquelle on se souvient, qui se grave dans les esprits parce qu’elle est différente, voire unique. Je suis aussi humaine que poisson. Aussi moche qu’indésirable. Et s’il n’en a pas toujours été ainsi, c’est ainsi aujourd’hui. D’une taille avoisinant le mètre soixante-quinze, je suis mémorable. Et j’aurais pourtant préféré le contraire. J’aurais préféré savoir m’astreindre à la mémoire des uns et me faire oublier tant aujourd’hui je n’assume plus ce dont j’ai l’air.  C’est la malédiction. Le prix à payer pour avoir espéré tromper la mer.

Il ne vous faudrait pas de biens grandes capacités perceptuelles pour vous rendre compte combien je ne corresponds pas à ce que l’on s’attend d’un humain. J’en suis pourtant une. Du moins, je l’étais. Il serait plus exact d’ainsi le dire. Ma peau est aujourd’hui grise. Certaines zones sont toujours caractérisées par cet épiderme humain d’antan, bien qu’il soit aujourd’hui terni, d’autres sont recouvertes d’écailles tout aussi fades. Elle aurait pu m’accorder au moins quelques couleurs, mais alors j’aurais été d’un bien trop grand intérêt pour eux tous. Ceux que je convoitais. Mes iris autrefois d’un bleu azur sont aujourd’hui recouverts d’une membrane à la couleur de l’encre chinoise et ne peuvent plus êtres distingués. Tout mon œil est noir, même si mes capacités optiques demeurent inchangées par rapport à quand je vivais. Maintenant que je non-vis, j’ai tressé mes cheveux à la couleur d’algue, j’ai apprivoisé ces membranes fines et diaphanes qui ont poussé à certains endroits stratégiques sur mes membres, des nageoires. Des nageoires qui ne servent à rien puisque je refuse d’entrer dans l’eau, préférant y flotter.

C’est ainsi, j’ai cette apparence d’une espèce inconnue des abysses, de ce que certains mythes appellent une naïade. Mon apparence est caractéristique, voire unique, elle suit quiconque me croise puisqu’elle fait peur. C’est là tout le but de cette malédiction : être repoussante. J’ai pourtant conservé ces traits fins et grâcieux que je portais autrefois. J’ai pourtant conservé l’entièreté de ces bijoux dorés que je m’amuse à porter de temps à autre quand je me sens plus coquette. Mais je ne suis plus qu’une immonde bête des profondeurs à la taille fine, habillée d’une robe qui partage les mêmes caractéristiques que le pavillon de l’épave qui m’a portée jusque dans les bras de ce celle que je méprise aujourd’hui.

Sur mon corps, certaines algues ont même commencé à pousser. Chaque jour, elles décident où elles apparaîtront ou si elles apparaîtront. Parfois, elles cernent mon visage, d’autres fois, elles entourent mes jambes… elles sont un parasite destiné à me rendre indésirable que je cache au mieux de ma compétence, hélas il y a de ces choses qui sont indomptables de mon non-vivant et qui me rappelle sans cesse que je ne suis que le fantôme hantant les mers. Et si certains jours je me convaincs du contraire, alors ceux que je croise me le rappelle. « C’est Fletje Ynd Utschmence » ou devenu Flying Deutschman avec le temps. On a oublié mon nom. On m’avait prévenu que ce serait la dernière étape de cette malédiction qui a attaqué ma peau.
Coucou ! Moi c’est Gelos ! J’ai eu l’occasion au dernier interforum de vous découvrir et j’ai adoré l’imaginaire de vos membres, leur façon d’écrire et j’avais presque succombé, à ce moment, à l’envie de m’inscrire. Comme j’avais un projet en branle, j’avais conclu que la meilleure décision pour moi était de ne pas m’inscrire. Mais récemment, j’ai eu la magnifique opportunité de RP avec Mad Hatter dans le contexte de l’interforum… et j’ai cédé. L’envie de vous découvrir, vous tous, et le contact que j’ai eu par messager a été superbe donc… voilà, j’ai cédé. IRL, je suis étudiant en linguistique, responsable en logistique des transports et improvisateur. Je fais de l’improvisation théâtrale presque au quotidien. Je suis canadien, donc parfois je dis des choses bizarres, mais chuuuut. Voilà ! Hâte de vous découvrir :pliiiz:
Mad Hatter
Maître des Fufufu~
Icône : A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant K5OhCv3
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 119
Âge : 26 ans / des siècles
Race : Déjan'thé
Métier : Producteur de thé
Avatar : Mephisto [Blue exorcist]
Origine : Alice au pays des merveilles
Pouvoir : 3 chapeaux magiques ~
https://docs.google.com/document/d/1rkHGXtkZGdVvW2fszP8dbZFEeHLbT_4MA7YFh5J9E_s/edit#heading=h.a3x69q32ocg5
Mad Hatter
Icône : A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant K5OhCv3
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 119
Âge : 26 ans / des siècles
Race : Déjan'thé
Métier : Producteur de thé
Avatar : Mephisto [Blue exorcist]
Origine : Alice au pays des merveilles
Pouvoir : 3 chapeaux magiques ~
Maître des Fufufu~
Gelos 😭 adorable petit chou, en plus avec le Hollandais Volant, j'ai si hâte de pouvoir te lire et te chourrer des rps ❤ elle a l'air si douce, puis ton avatar ❤ bref, très très hâte !
Parthenópe
Déjan-thé
Icône : A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant 8sn9
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 34
Race : Déjan'thé
Métier : Eternelle soliste
Avatar : OC de ZA.RA_H
Origine : L'Odyssée // Mythes grecs
Pouvoir : Chant enchanteur
https://otherlands.forumactif.com/t364-and-i-can-t-forget-you-parthenope
Parthenópe
Icône : A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant 8sn9
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 34
Race : Déjan'thé
Métier : Eternelle soliste
Avatar : OC de ZA.RA_H
Origine : L'Odyssée // Mythes grecs
Pouvoir : Chant enchanteur
Déjan-thé
Cette fiche ✨
J'ai adoré chaque phrase, c'était un vrai plaisir. Et cette histoire 😭 😭 😭
J'ai hâte de la voir évoluer et de lire tes RP's !
White Rabbit
Attrape-moi si tu peux
Icône : A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant 2mBAsYY
Citation : Follow the white rabbit
Messages : 308
Âge : 24 ans (~150 ans)
Race : Passeur
Métier : Passeur
Avatar : Heiwajima Shizuo
Origine : Alice au pays des Merveilles
Pouvoir : Terrier Express
https://otherlands.forumactif.com/t93-copain-comme-lapin
White Rabbit
Icône : A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant 2mBAsYY
Citation : Follow the white rabbit
Messages : 308
Âge : 24 ans (~150 ans)
Race : Passeur
Métier : Passeur
Avatar : Heiwajima Shizuo
Origine : Alice au pays des Merveilles
Pouvoir : Terrier Express
Attrape-moi si tu peux
Et je te souhaite la bienvenue également !

Un très beau personnage, j'espère que tu te plaira parmi nous !
Pauvre Fletje, on espère qu'elle trouvera un peu de joie dans les otherlands !

A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant 1519894569 Félicitations, tu es validé! A curse shouldn't make me feel that way | Fletje - Le Hollandais Volant 3019434634
Hell'come petit fou, tout me semble correct donc te voilà validé! Tu peux filer recenser ton avatar et ton personnage et ton pouvoir! Tu peux aussi créer ton logement, fiche de personnage et même un Fakebook pour ton personnage!

Si tu veux directement te lancer dans le RP et trouver des petits copains c'est par ici!

J'espère que tu te plairas parmi nous, n'hésites pas à voter sur les top-sites et à faire de la pub autour de toi!
Page 1 sur 1
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

Sauter vers: