Tu étais là. Depuis tout ce temps et ça ne t’es pas venu à l’idée que j’étais seul aussi. Tu étais là et tu t’es passé de moi quand je cherchais de tout mon être à te réconforter. Simplement, tu n’en voulais pas, est-ce parce qu’il s’agit de moi ? Me détestes-tu à ce point quand de toute mon existence je n’ai souhaité que toi ? J’inspire profondément en observant les grains dorés de ton œuvre caresser la peau de ces rêveurs d’une nuit. D’un index, vexé, je défais tes miracles dans l’espoir que tu me vois. C’est encore mes supplices qui t’accableront, mais tu ne me laisses pas le choix.
Les portes de ton palais me sont fermées tout comme celles de tes songes. Si je pouvais par ailleurs savoir ce à quoi tu penses, tes désirs les plus chers, je voudrais y remédier. Au lieu de ça, je suis ainsi repoussé et chaque pas qui me rapprochait de toi ne fait que m’éloigner davantage. Pourquoi t’obstiner ? Ne suis-je pas le seul qui puisse te rassurer ? Tu ne peux craindre de m’endormir et quand bien même j’en serais comblé si j’étais destiné à n’être plus qu’illusion. Je ne te causerai plus de tort et serais façonné à l’image de tes désirs inavoués.
Ouvre-moi. Je sais que tu es là, à l’orée de ton palais d’or et de lumière où je n’ai pas ma place, trop habitué à l’obscurité glaciale du royaume noir. Les cauchemars ne me font guère envie en réalité, je n’en suis que l’instrument, ne le sais-tu pas ? Donne-moi cette chance de pouvoir me racheter. J’ai négocié cette petite mort qu’ils ont subie, au prix de mon âme contre leur survie. N’est-ce pas suffisant pour te prouver ma loyauté ? Je n’ai vocation à résister que pour te retrouver et tu m’as sciemment délaissé. Je ne t’en veux qu’un peu, ma passion bien plus forte. Toutefois si tu t’obstines, ma patience n’est pas d’or. Ouvre-moi cette porte.
HRP:
la version blanche est à recoder bfdhjgfg je le ferais plus tard
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Tu es las, perdu dans tes songes orageux, encore une fois en proie à tes démons. Tu t’es isolé, exilé du monde, lui refusant ta présence, laissant ses habitants en proie à l’Insomnie, l’espace d’un instant qui s’est étiré sur plusieurs nuits. Cela fait des jours que tu es plongé dans le brouillard de tes pensées noires, des souvenirs distants, rouvrant des plaies jamais cicatrisées, si bien que tu en as perdu le fil du temps. Tu t’éveilles mollement, à mi chemin entre rêve et réalité, un instant de flottement, le temps que tes rétines s’habituent à la lumière ambiante, quelques rais filtrant d’un plafond ébréché par le temps qui ne s’imprime plus sur ta peau de porcelaine.
Tu poses les pieds sur le carrelage gelé, un frisson te parcourant l’échine, bien peu en comparaison des nombreux tremblements l’ayant parcourue dans ton sommeil. Une faible exhalation, presque irréelle, franchit le seuil de tes lèvres tandis que tu te redresses, parcourant ton palais souterrain, vidé de toute vie. Tu n’es qu’un fantôme de plus hantant ces murs autrefois luxuriants où tes enfants ont vu le jour. Un soupçon de mélancolie vient voiler ton regard à cette pensée, un sillon transparent déchirant ta peau perlée. Ils sont si lointains les temps où leur présence égayait ton existence, désormais nulle vie ne se tient à tes côtés, même pas la sienne.
Tu l’as abandonné, enfermé, loin de toi et de tes songes tourmentés, lui, le seul que ta présence ne puisse détruire, celui qui défait tes miracles et dont les pas recouvrent toujours ton ombre. Cela fait longtemps, trop longtemps que tu n’as pas entendu cette voix familière résonner dans ces pièces aux murs richement ouvragés. Il te harasse, te tourmente et pourtant il est le seul qui puisse se tenir à tes côtés sans réveiller tes traumatismes. Tu peux sentir son souffle s’écraser sur cette porte qui vous sépare, celle contre laquelle tu poses ton dos humide, reprenant ton souffle et tentant de calmer ton palpitant agité avant de plier à ses caprices.
Tu passes une main sur ton front, soupires, avant de t’écarter pour ouvrir ce rempart que tu dresses entre vous. Ton regard nébuleux se pose sur sa silhouette d’ombre et un hausse faiblement les épaules avant d’esquisser un signe de tête pour l’inviter à te suivre. Pas un mot, pas un sourire, juste tes pas qui résonnent en chœur avec les siens et qui vous mènent jusqu’au jardin luxuriant au centre de ta demeure. Deux chaises, une table de marbre aux dorures travaillées, un petit coin de paradis à deux dissimulé entre les lys odorants et les chrysanthèmes en souvenir à tes amours perdus.
Tu ne prends pas la peine de lui indiquer où s’installer, de toute manière les mots resteront coincés dans ta gorge meurtrie par vos péchés. Calmement, tu te diriges vers la cuisine, préparant distraitement deux tasses de thé noir aux fleurs de violette cueillies dans ton jardin. C’est si naturel, de vous retrouver ainsi dans ces temps troublés que c’en est perturbant, comme si sa présence était la seule à pouvoir apaiser tes cauchemars alors qu’elle te ramène à une époque tristement révolue. La théière de verre s’échappe de tes mains venant s’écraser sur le sol, le bruit résonnant dans toute la pièce.
Tu te brûles et te coupes mais aucun cri ne quitte tes lippes. Tu te contentes d’observer, interdit, le verre brisé et les plantes éparses sur le sol de quartz rosé. C’est presque avec un pincement au cœur que tu fixes la nouvelle résultante catastrophique de vos rencontres. Ton regard azur glisse jusqu’au brun, tes cheveux virant du doré au noir ébène, navré. Nulle excuse, juste un regard désemparé avant de te pencher pour effacer les traces de ton étourderie.
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Un grincement fait place à l'écho et sans un mot, tu m'invites enfin. Je manque de ton souffle, de ta lumière et tu m'y autorises dans le plus grand des calmes me rendant muet. Tu es glacial, ton éclat terni par le temps, par les meurtrissures de ton âme que j'écorche et gratte lentement de mes doigts plus par désir d'enfin posséder ton attention que de te faire du mal. Mes satisfactions sont à l'opposé de tes envies, rien de mieux pour entailler le seul fragment candide n'ayant pas nécrosé sous ma cage thoracique. Lorsque je meurs de ton absence et me pare de mauvaise foi, ton esprit s'apaise, dominé par l'ivresse de ton état comateux pour oublier les vices. Quant au contraire, j'inspire, nourri par l'espoir d'une caresse et de ton réconfort, l'or qui te compose s'émiette et ton cœur, pour me punir, voit ses battements se ternir. Tu me blesses, tu es ma sanction, bien trop cruelle, même pour l'abomination que je suis.
Le verre se brise, les éclats, le liquide, tout me semble irréel dans ta grâce naturelle. La souffrance t'est devenue familière et tu ne la rejettes pas, voilà pourquoi je suis là, tu as cédé non pour guérir, mais pour me rendre plus coupable encore d'être ton bourreau. Mes dents serrées, je t'accompagne, sentant sur mes épaules le pelage d'argent s'allonger quand de noirceur tu te couvres.
"Nous en sommes là. Suis-je à ce point détestable ? Où l'échec simple d'un thé sublime-t-il tes névroses ?" Logée dans ma gorge, l'amertume m'étouffe. Je suis la nuit, toi le jour. Voici venue l'éclipse pour nous confronter.
"Pourquoi le silence de ces dernières décennies ?" Pourquoi m'avoir laissé en dehors de tes anémies ? Suis-je à ce point un fardeau pour ne pas avoir droit à tes mots ? Des raisons, tu n'en manque pas et tu pourrais passer une éternité à les énumérer, mais je ne veux qu'entendre celle qui t'a poussé à me tenir à l'écart, loin de toi. Dis-là moi, confies ces dilemmes qui te rongent, sombre un peu pour moi, bien plus pour toi de n'être pas l'incarnation parfaite du marchand de rêves. Personne ne peut prétendre être de pureté, pas même toi. Encore faut-il l’approuver.
Près de tes mains s'élancent les miennes. Au lieu de toiser ton déclin, je m'y abaisse et accepte le châtiment que tu me réserves. Pour l'instant. Jusqu'à ce que je ne puisse plus lutter, ma patience s'érodant contre ta volonté, mais surtout tes tourments.
"Laisse. Ce qui est fait est fait" et on ne peut le défaire, récupérer ce qui est déjà pris, néanmoins cela ne s'applique pas à tout. Tu m'en veux, n'est-ce pas ? Pourtant, ils sont juste endormis, là où tu peux les rejoindre, où tu peux m'échapper. Tu t'y refuses pour te faire mal quand tu n'es responsable que de leur sécurité. J'aimerais dire qu'il en va de même pour moi, mais je doute que tu me penses assez raisonnable pour avoir des remords ou des regrets.
Tu es fin et délicat, là où je te surplombe, comme une ombre grandissante à la recherche de ta chaleur. "Sandy, tu as tous les droits" de me narguer, m'éviter, me châtier. Mais n'oublie pas. Plus que tout, nulle ne vaut que tu te prives, prostré dans la passivité comme pour te repentir. Laisse-toi aller. Donne-moi une chance, une utilité.
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Les éclats de verre scintillent à la lumière blafarde qui enrobe ta forteresse de solitude. Ils t’aveuglent et tu ne le sens pas se rapprocher, sursautant en entendant sa voix bien plus proche que tu ne l’aurais pensé. Tes billes d’azur se posent sur sa silhouette d’ombre alors que tu écoutes ses paroles. Froides, grinçantes, désagréables… et pourtant il est si bon d’entendre à nouveau ce ton amer. Un fin sourire vient mourir aux commissures de tes lèvres, bien vite ravalé par son acidité. Ton regard s’abaisse en soumission, tu n’as aucune réponse à donner à ses questions, même si tu avais pu parler tu ne saurais lui en donner une seule qui serait valable, qui justifierait ce châtiment infligé à tous deux.
Il s’abaisse, se joint à toi dans ta quête de rédemption où tu tentes vainement de dissimuler tes torts. Ses paroles se frayent un chemin jusqu’à ton palpitant, le percent, transpercent, y laissent des échardes. Parce qu’elles ne sont que vérités que tu ne peux nier. Oui, tu lui en veux, mais tu n’as pas besoin de l’exprimer pour qu’il le sache, tel Atlas il porte sur ses épaules le poids de tes erreurs présentes et passées. Tu te redresses, dos à lui, son souffle sur ta nuque te faisant frémir, réalisant à quel point son absence t’avait éprouvé.
Tu relèves la tête, le regardant du coin de l'œil avant de soupirer, laisser ton dos se poser contre son torse et fermant les yeux pour imprégner tout cet être en constante froidure de sa chaleur enfin retrouvée. Tes mots restent coincés, mais tes doigts meurtris viennent rejoindre sa paume pour y coucher tes émois.
P A R D O N
Pour ta maladresse, pour cette torture, de ne pouvoir lui répondre… et bien plus de choses que tu refuses de t’avouer. Un soupir quitte tes lippes avec le poids de la culpabilité alors que tu ouvres tes écumes sur sa figure blanchie par tes tourments. Un sourire maladroit vient étirer tes lèvres alors que tu t’accordes un caprice, te laissant bercer dans ses bras, savourant la chaleur de ta peau sur sa paume. Tes amours sont à jamais perdus dans tes songes, mais c’est paradoxalement dans l’insomnie que tu trouves le repos. C’est la seule raison qui t’a poussé à l’écarter, tu ne mérites nulle rédemption.
Ton corps s’éloigne du sien et tu te retournes pour lui faire face, droit dans ta noirceur, tes iris luisant de détermination. Tes mains s’agitent, signent avec la délicatesse qui t’es propre les mots qui refusent de quitter ta trachée.
P A S E N C O R E
Et probablement jamais.
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Tes sourires sont las et n'ont pas la saveur escomptée de ta joie. Tu ne rayonnes plus comme dans mes souvenirs, tu t'es fait de plomb à mon contact. Navrant, je suis la noirceur et toi la bonté, pourquoi donc voudrais-tu échanger ? Laisse-moi porter ce fardeau au lieu de m'épargner. Bien que ton absence soit un châtiment mérité, je le trouve bien sévère. Il te ronge aussi et ce n'est pas acceptable. Ce n'est pas à toi d'être tenu pour responsable.
J'inspire, suis tes pas en retenant mon souffle. Ouvre-toi à moi, je suis là. Ton poids plume prend appui sur moi, enfin. Une main posée sur ta hanche, l'autre tendue que tu récupères, je t'observe en me délectant de ta présence qui n'est en aucune façon le fruit de mon imagination. Je n'en possède pas tant, dépourvu de ce monde où les rêves naissent. Pourtant, je nourris bien quelques passions. Je suis seulement limité, peut-être que c'est heureux, nous ne le saurons jamais. Je ne peux t'en vouloir trop longtemps, malgré le temps que j'ai passé, errant à ta recherche. Malgré ton silence. J'ai compris, enfin, que j'étais ta punition et je ne te laisserais pas si facilement te repentir au prix de mon amour.
Tu t'éloignes dans un sourire, une caresse, signant que le moment n'était pas encore venu. Je sais très bien que tu ne voudras te délester de ces responsabilités qui ne sont pourtant pas tiennes.
"N'y pense même pas…" à te défaire de moi. Je sens la fraîcheur se glisser sous ma peau, je frissonne et papillonne de mes cils pour calmer l'ambre sous mes paupières. Lorsque je ne dévore à nouveau d'un regard, il n'y a plus cette once de pouvoir affluant sous mes veines.
"Je ne te quitterais pas, il va falloir t'y faire. Trouvons une solution" il est venu le temps de s'éveiller, tu as assez pleuré leur perte quand bien même ils souriaient toujours. Tes enfants respirent tous, ne les enterre pas.
D'une main à ton cou, je t'intime à revenir, caressant de mon pouce les vestiges de ton sourire, de tes mots prisonniers. Je ne suis pas médecin, mais je voudrais t'en guérir. Autorise-moi à te soutenir.
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Pourquoi faut-il que ta malédiction soit la seule personne à t’apporter du réconfort ? Un peu de chaleur dans ce cœur en hibernation. Pourquoi cherche-t-il à réparer vos erreurs quand toi tu ne fais que te morfondre ? Il est le mouvement quand tu n’es que léthargie.
Les morceaux de verre et de plantes encore en main, tu tressailles à son contact alors qu’il te dit qu’il ne te laissera plus. Plutôt que de souffrir en silence de trouver une solution à deux. Tu déglutis lorsque sa main se pose sur ton cou, il pourrait le briser que ça te soulagerait, mais tu ne mérites nul soulagement.
Ses doigts effleurent les commissures de tes lèvres figées qui frémissent, comme si son contact te rendait doucement vie. Tu lèves vers lui un regard humide, refermant tes mains sur le verre comme pour t’empêcher de céder.
Ca fait mal, c’est poisseux, c’est moche cet entêtement alors qu’il t’offre l’une des rares choses que tu es encore capable de vouloir; lui.
Tu passes ta langue sur tes dents, mords l’intérieur de ta lèvre avant de te détourner de lui, les mains tremblantes. Tu jettes ce joli gâchis de verre et de sang dans la poubelle, retirant les morceaux aussi implantés dans ta chair que ta culpabilité.
Comme si de rien n’était tu répètes l’opération, prépares un thé aux fleurs du jardin, notamment du lamier exprimant le reproche à défaut de pouvoir le faire verbalement.
Tu lui tends la théière la main tremblante, le sang recouvrant la hanse, tu es pathétique dans ton refus ténu. Tu signes de ta main libre.
J e n a i q u e d e l h o s p i t a l i t é à o f f r i r
Pas de rêves, pas de rédemption. Tu pinces les lèvres, l’observant avec détermination. Tu voudrais qu’il cherche ailleurs ce qu’il veut histoire de te faire encore plus mal. Le briser tant de fois que tu partirais en miettes avec. Mais Insomnie est bien plus coriace que toi et c’est ta carapace qui s’étiole chaque fois un peu plus. C’est pour ça que tu le fuis, que tu le chasses comme la pire des vermines, car chacune de ses expirations est une nouvelle inspiration pour toi.
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Pas de répit pour les cauchemars, n'est-ce pas ? Tu te prives de lumière, celle nimbant tes iris et volant autour du marbre dans lequel est sculpté ton visage. Me faire face est douloureux, je le conçois, j'en suis témoin. Blé devenant charbon de ton côté, ébène devenant immaculé du mien. Tes mains blessées, ma langue claque tandis que je récupère sur ma tenue de quoi faire cesser l'écoulement carmin.
"Bien sûr, pourquoi m'épargner après tout" triste scène d'un acte non révolu, tes tourments bien présents qui déteignent sur mon humeur, rendant cette tragédie plus âpre que le moindre fruit gâté. D'une caresse à ton cou, à tes lèvres, je sens cette aura fébrile appelant la faucheuse. Elle ne viendra pas, quand bien même tu l'implores, je l'en empêcherais. Nul besoin, tu t'en charge déjà, préférant l'éternelle punition en me rejetant ainsi, prêchant que tu n'as rien d'autre pour moi que ton hospitalité.
Je récupère la théière, baignant ma chair dans le sang frais, délaissant cette dernière encore fumante au soin du plateau d'argent sur la table.
"Très bien, j'irais les retrouver, te prouver que tu t'infliges injustement cette peine, voilà ma proposition"
Tu ne peux t'échapper, mains sur tes hanches, tu es mon prisonnier désormais. "Lorsque vous serez tous réunis, tu n'auras plus d'autre option, tu devras admettre ta candeur dans ces évènements. Tu n'en savais rien et je le leur dirais. J'embrasserais mes torts. Quant à toi…" que puis-je exiger ? Je n'en ai aucun droit, mais je suis l'ombre et toi la clarté. Je ne fais partie d'aucun de ces mondes, je paye depuis ma création. "Ni blessure ni mort, rien qui ne te fasse plus de mal encore. Il suffit"
Plus de larmes, plus de drames, ça ne peut plus durer. Panique, appréhende ces prochaines retrouvailles, mais tu ne pourras la fuir. Je te l'ai juré. Déteste-moi de vouloir crever l'abcès, ce qui est fait est fait, qu'on me blâme pour ces erreurs, leurs années volées, je ne nierais rien.
"Pouvons-nous boire ce thé, maintenant ? Peu importe si ce n'est pas ce que tu voulais, il est temps que les lamentations silencieuses prennent fin"
