The otherlands
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 Miroir, mon beau miroir [Abandon]

Black Hole
Nouvelle tête
Icône : Miroir, mon beau miroir [Abandon] K5OhCv3
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
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Black Hole
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Nouvelle tête
#1 | 11.01.22 16:18 | Miroir, mon beau miroir [Abandon]
je... code la fiche après, mais tout est là

Miroir
Ft. Hisoka

Nom civil : Miroir
Age apparent : la 30e
Arrivée/naissance dans les Otherlands : il y a fort, fort longtemps au point qu’il en ait oublié son nom.
Orientation sexuelle : Tout ceux qui peuvent succomber à son charme naturel
Groupe : Lostland
Race : Déjan’thé
Origine : Blanche neige / Aladin
Fonction : Il a été un miroir magique et maintenant un clown aux mille visages.
Âme :  il ne l’a plus avec toutes ces histoires. Offerte en pâture au Roi Noir.
Particularité : c’était un génie, maintenant, ses particularités… eh bien son sourire de fouine ?
Pouvoir : Il peut copier l’apparence d’une personne dont il a croisé le regard. En revanche, il ne copie ni sa voix, ni l’attitude de ses victimes. Mais il est assez doué pour s’apparenter à elles du moment qu’il n’a mot à dire.

Il n’y a qu’une personne qu’il ne peut pas refléter : Narcisse

Classe sociale : Aisée

Physique

Une fumée bleue sans matière dans laquelle on aperçoit les traits d’un visage. Voilà ce qu’était Miroir à l’origine. Un nuage volatile de particules fines et bleutées. Puis, il a voulu être un homme et s’est créé une enveloppe.

Il ressemble davantage à un lutin de grande taille qu’un être humain. Ses oreilles légèrement pointues n’arrangent pas ses affaires sur la nature magique de sa personne. Mais étrangement on ne lui cède pas confiance aisément tant la lueur malicieuse dans ses iris d’or ne l’inspire pas. La pâleur froide de sa peau contraste effroyablement avec la chaleur cuivrée du feu rougissant qui fait office de coiffure. Quitte à avoir l’air malin, autant se prêter au jeu, ainsi ses cheveux mi- longs sont dressés sur le sommet de sa tête en une pointe et quelques épis rebelles.

Sa grande taille impressionne, mais sa finesse plus encore. De son nez à sa bouche, la forme creusée de son visage en passant par sa taille de guêpe, rien ne va. Un mètre quatre-vingt-dix de muscles – il a eu tout son temps pour l’exercice – et quatre-vingt-sept kilos tenant dans du trente-six et des crop-tops qu’il affectionnent tant pour mettre en évidence un ventre plat. Oui, miroir est étrange dans ses proportions par ses épaules et ses hanches larges en désaccord avec la finesse et longueur de ses membres.

On devine que les travaux pratiques ne sont pas son fort à ses mains douces aux ongles soigneusement manucuré en ovales et à son style vestimentaire. S’il n’a pas de crop-top, c’est qu’il a un prêt du corps et un gilet plus court par-dessus qui ne dépasse généralement pas le milieu de son dos. Il lui arrive de porter des talons, bien qu’il déteste la taille de ses chaussures et ne prête à ses pieds d’attention que pour les rendre moins… désagréables. C’est un problème qu’il n’a su arranger, ne possédant plus once de ses dons. Une fois son corps crée, il ne pouvait plus s’en défaire. Du reste, il s’est accommodé, mais pas ces ignobles longueurs affublées de maigres appendices osseux.
Miroir ne se déteste pas, mais le concept de reflet oui. Il n’a pas souvent eu l’occasion de se contempler dans sa geôle en plus d’être au service des autres. Miroir montre-moi ci, Miroir, montre-moi ça et patati et patata. Il n’est plus personne et tous à la fois. Son visage il le montre volontiers, puisqu’il ne dit rien trop étrange et trop banal à la fois, ce n’est qu’un clown qui se complet dans le rôle et qui prend si souvent l’apparence de ses paires qu’on ne sait s’il bluffe.

Mental

On dirait que rien ne peut l’atteindre, que ce sourire énervant scotché constamment à ses lèvres est impossible à effacer. Pourtant, Miroir est une bouilloire qu’il ne vaut mieux pas faire siffler. Il garde tout dans cette rancune exagérée et la renvoie de sa sournoiserie devenue naturelle. Il ment toujours autant pour sa survie et pour faire plonger ses désormais semblables.  De leçons il n’a tiré profit que sa capacité à la fermer et à ne pas mentir à n’importe qui. Il s’est assagi sans que son amertume ne se soit amoindrie, elle.

C’est un électron libre qui ne veut avoir affaire à personne et renvoie les indésirables à coup de sourires mielleux à en provoquer des frissons. Bien loin de l’image du petit elfe candide on lui prête cette aura machiavélique dont il se couvre volontiers. Ce n’est qu’une infime partie. Ni bon ni mauvais, on ne l’y prendra pas à se mettre en travers des injustices.

Miroir, c’est un condensé de calme apparent et qui l’est un peu au fond. On ne le surprendra pas éclater de rire ni se morfondre en larmes si ça n’est pour jouer comédie ou drame selon exigence de sa prestation. Il n’a de cœur pour rien d’autre au monde que lui-même, n’est motivé que par le gain et l’admiration que les autres suscitent pour mieux détruire dans son esprit l’illusion et mettre à nu le caractère décharné de toute plaisance.

Il n’est jaloux que de cette façade enviée de tous et adulée dont l’ombre est un loup gigantesque aux péchés parfois plus sanglants que les siens.  Il déteste les faux semblants et les monstres déguisés en pieux. Lui s’assume, c’est bien là une qualité qu’on ne lui enlèvera pas. S’il n’est pas toujours d’une franchise aiguisée, il ne dément pas être ce qu’il est.

En vrac : il déteste les pieds et ne leur trouve aucun charme, ça le répugne et le révulse – il déteste encore plus l’hypocrisie doucereuse sujette à l’adoration et les imbéciles qui n’y voient que du feu – Il ne se regarde pas tant dans le miroir et change souvent d’apparence en prenant celle d’autrui pour passer inaperçu – non, il a beau être tape-à-l’œil il n’est pas m’as-tu vu et ne cherches pas à l’être – il aime les baignades et n’est d’aucune pudeur.

Histoire

De son passé, il ne se souvient que les crimes. Un en particulier qui lui a valu des siècles d’emprisonnement. Son nom, il l’a oublié au profit de Miroir, comme on aimait tant l’appeler. Bien que ses services en tant que tels ne soient jamais récompensés que par un drap recouvrant la seule fenêtre de laquelle il pouvait apercevoir l’autre côté.

Miroir, mon beau miroir, qui est le plus beau ? Qui est le plus riche de tous ? Qui est le plus chanceux ? Tant de questions dont son omniscience surestimée et son désir de liberté plus que de repentance avaient eu raison de ses mensonges. Il avait bel et bien se savoir affluant comme par magie seulement pour répondre aux questions posées et il ne disait pas toujours la vérité. Réminiscence de cette vie de mauvais génie à tromper les rêves de ses maîtres pour défaire les chaînes à ses chevilles.

Miroir n’était qu’une fumée bleutée en laquelle les traits fins de son visage se reflétaient. Une magie indomptée qui n’avait besoin de rien pour subsister qu’un corps humain pour en découvrir le monde. Quelle aubaine d’être capable de s’en créer un. Il n’a pas toujours été malicieux, son cœur a noirci à force d’être abusé. D’une candeur espiègle, les guerres et les âges lui ont appris la survie et les coups bas.

Avant d’être une petite frappe des bas-fonds, l’homme a été victime de sa propre curiosité. Il regrette amèrement ce choix. Cependant, il reconnaîtra – avec beaucoup de peine – qu’il est allé trop loin. Lui en a payé le prix trop longtemps quand d’autres fomentent encore sans châtiment reçu.

Il était bleu et intangible, jusqu’à ce qu’on le prive de liberté pour l’asservir. Des menottes dont on lui promettait la délivrance si on lui en exprimait le vœu. Il ne l’a obtenu que par la ruse et s’est aussitôt volatilisé pour ne plus être soumis à la volonté de quiconque. Curieux de comprendre pourquoi ce comportement, le génie s’est donné un corps pour être lui-même humain. Brillante idée puisqu’en vivant comme tel il avait entravé son pouvoir, incapable de se rendre génie à nouveau tant il avait bien fait son travail. Il saignait, souffrait, ressentait la faim et ces émotions qui lui étaient inconnues l’avaient submergée. Le temps d’adaptation fut long, assez pour que des guerres n’éclatent.

Ses habitudes se bousculaient, si certains étaient dans la charité d’autres n’hésitez pas à voler le pain qu’il venait de récupérer. La faim, la soif et la cupidité tout particulièrement les rendaient fous. Certains baignaient dans l’opulence et d’autres mouraient comme des malpropres, amaigris et l’estomac troué.

Il en a eu marre.

C’était à son tour de se jouer des autres en piétinant la culpabilité qui ne lui servait pas à gravir les montagnes tant espérées. Il ne s’en est jamais caché. La seule fois où il s’est dédouané d’une de ses ruses fut celle de trop. On appelle ça le retour de bâton. Il a laissé de très profondes cicatrices que Miroir ne peut oublier pour en avoir été victime jusqu’à très récemment.

Par ses manières et ses tours, il était apprécié comme amuseur, quelques nobles louant parfois ses services contre une chambre douillette, des repas exubérants et quelques sommes rondelettes. C’est un autre qui l’avait remplacé et la porte claquée au nez il s’en souvient encore. La suite, plus vive dans son esprit c’est qu’il s’est payé la tête de son employeur. Faisant des galipettes avec sa très chère femme sous l’apparence de son remplaçant. De quoi faire d’une pierre deux coups. Mais les mensonges ne sont pas récompensés. Le fils de l’amuseur avait frappé à sa porte en désir de vengeance. On lui avait coupé la tête, son père n’était plus pour les crimes d’un autre. Celui qui fut trompé, non en plus de ne punir que lui avait prononcé son châtiment le plus terrible : puisqu’il était menteur, il devait se racheter. C’est ainsi que Miroir devint Miroir. Condamné à être aimable et servir la stupidité humaine au travers d’un pupitre ridicule tant que le fils de son concurrent était en vie.

Il aurait pu y passer tant de vies qu’il n’en a jamais compté les jours. Mais le garçon avait une âme et connut bien une fin. Il ne se souvient plus si c’était naturel ou d’un accident. Lui avait été oublié depuis assez longtemps pour en avoir les articulations rouillées et vivre à présent, non dans la piété, mais dans le calme d’une vie qu’il regrette amèrement. Un homme, quand on est un génie, ce n’est qu’une poussière sur laquelle on aurait dû souffler au lieu d’y voir un diamant brut. Simple poudre aux yeux pour donner envie d’être comme eux. Il faut bien vivre cela dit, alors vivons.

Derrière l'écran

Pseudo HRP? : Mad, Frost, Somnie, Renard, comme vous le sentez
Parles nous de toi : Vous savez déjà tout ~
Comment es-tu arrivé ici? : En me multipliant encore et toujours
Rang désiré : J'aime vous laissez le choix ~
Quelque chose à nous dire? :  Miroir, mon beau miroir [Abandon] 323142394  

Mephistopheles {Ao no exorcist} feat ~ Mad Hatter

Avatar :
Code:
  <a class="imginfo">[b]Hisoka[/b]<span><img src="https://i.imgur.com/vnLhPuj.jpg" width="100px" /></span></a> {Hunter x Hunter} [i]feat ~[/i] [b]Miroir[/b]

Personnage venant d'une oeuvre :
Code:
[color=#A03D3D][b]le Miroir de la méchante reine[/b][/color] {Blanche neige et les septs nains} [i]feat ~[/i] [b]Miroir[/b]

Code:
[color=#A03D3D][b]Génie[/b][/color] {Aladin} [i]feat ~[/i] [b]Miroir[/b]

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jtm déjà ♥
jvais me dépêcher de finir ma fiche pour pouvoir te haïr autant que je vais t'aimer
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