GaliTick Tock the Croc Icône :  Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 26
Race : Déjan'thé
Métier : Animal domestique ;; Bénévole au Magasin des Suicides
Avatar : Amaimon (Blue Exorcist)
Origine : Peter Pan
Pouvoir : Transformation (croco/humain)
 Icône :
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 26
Race : Déjan'thé
Métier : Animal domestique ;; Bénévole au Magasin des Suicides
Avatar : Amaimon (Blue Exorcist)
Origine : Peter Pan
Pouvoir : Transformation (croco/humain)
| Gali Yes, you can get friendly with a crocodile Nom civil : Gali l'Alligator. Certains l’appellent parfois Tic Tac.
Age apparent : Ne paraît même pas vingt ans. Sauf quand les cernes commencent à lui manger le visage, là on peut facilement lui ajouter cinq ou six ans au compteur.
Naissance dans les Otherlands : Inconnue. Demandez à Troll.
Orientation sexuelle : Incertaine. Ses instincts ne l’ont pas spécialement démangé au cours des dernières années, alors qu’il n’était qu’un crocodile. Mais maintenant qu’il peut devenir un homme… Eh bien, il sent des choses bizarres, des choses qu’il ne comprend pas, qu’il ne contrôle pas, qui lui font peur parfois.
Groupe : Wonderland.
Race : Déjan’thé, pour le meilleur et pour le pire.
Origine : Peter Pan.
Fonction : Animal domestique la plupart du temps. Catcheur occasionnel selon les lubies de Troll. Bénévole au Magasin des suicides quand son apparence s’y prête.
me : Détenue par White Queen.
Particularité : Son apparence naturelle est celle d’un crocodile. Alors même sous forme humaine, il conserve des écailles, des crocs, des griffes (il a la fâcheuse tendance d’abîmer tout ce qui lui passe entre les mains, des objets aux gens) et une force supérieure à la normale.
Il a aussi accidentellement avalé un réveil un jour et son tic-tac constant ne l’a jamais lâché (d’où le surnom, évidemment). Vous pouvez le suivre en rythme. Le truc, c’est que ça a beau faire des années, ça l’empêche encore parfois de bien dormir.
Pouvoir : Métamorphe. Transformation. Tous les synonymes du genre pour expliquer qu’il passe du crocodile à l’humain (et inversement) avec facilité. Mais quelle que soit sa forme, il reste très (trop) sensible au froid, friand de chair fraîche (Hook, où es-tu ?) et surtout très pataud (à croire qu’il n’est vraiment à l’aise sous aucune de ses deux formes).
Pour obtenir ce pouvoir, il a signé un pacte avec le Diable.
Classe sociale : Vit aux crochets de Troll. Théoriquement riche, mais condamné à vivre comme un clochard selon le bon vouloir de son maître. |  |
 | | T’es un croco’, Gali. Un putain de crocodile marin, rien que ça. Un lézard géant au corps massif, long museau aplati, queue comme un fouet, oreilles et narines sur le sommet du crâne. T’as les écailles couleur de mousse pas fraîche à l’ombre, qui se parent d’éclats verts presque jolis quand la lumière les accroche. T’as le regard dangereux, sans profondeur, d’un prédateur. T’en as aussi les mâchoires, puissantes, ornées de beaucoup trop de dents pour les compter. Sous cette forme, y a rien qui te différencie d’un reptile lambda, si ce n’est le tic-tac incessant qui émane de toi. T’as les pattes palmées, les pupilles qui jouent à chat et la peau souvent trop sèche, qui parfois même pèle parce que Troll oublie que t’as besoin de passer plus de temps que ça immergé. T’es un croco’ jusqu’à ce que tu choisisses le contraire, jusqu’à ce que tes os changent, que tes muscles se tordent. La conservation de la masse ne fonctionne pas sur toi et quand la transformation s’achève, t’es vraiment pas bien grand ni bien épais, toisant le mètre soixante-cinq pour cinquante kilos tout mouillé. Une allure d’adolescent, une silhouette toute en bâtons, drôle de poupée poids plume, poids papillon. T’as l’air de rien comme ça, avec ta peau blafarde, presque malade, ton corps tout entier qui laisse saillir une ossature un peu trop marquée au niveau des épaules, des côtes, de la colonne et du bassin. Si tu t’y connaissais, tu pourrais dire que ça te rend attirant, avec tes clavicules saillantes, tes longs doigts fins, tes poignets minces, ton dos qui paraît presque féminin et tes hanches délicates. Et c’est vrai que t’es mignon, Gali, avec ta gueule d’ange échoué et ton petit nez retroussé. T’as les traits délicats, la peau lisse et imberbe d’un môme qu’a pas encore connu la vie. Avec tes gestes un peu patauds, tes longues jambes qui s’emmêlent facilement et tes pieds qu’accrochent tout ce qu’ils trouvent, tu as ce côté adorablement maladroit qui donne envie de te protéger. Oui, t’es vraiment mignon. Mais malgré tout, tu restes un croco’ à l’intérieur. Du coup, tu sais pas prendre soin de tes cheveux désordonnés, de cette frange si irrégulière qu’elle ressemble même plus à une frange, de cet épi récalcitrant qui pointe au sommet comme une corne. Ils sont verts, un peu comme tes écailles à la lumière tiens. Celles que t’as sous ta forme animale. Celles que tu traînes jusque sur ton déguisement d’homme. Là, le long de ta colonne vertébrale. Là, autour de ton biceps droit et puis en bandes épaisses autour de tes deux cuisses. Là, sur ton bas-ventre, comme un écrin rugueux à ta masculinité. Là, sous tes yeux, tellement petites et foncées qu’on dirait des cernes - ah, mais en fait, t’as aussi des cernes, souvent d’ailleurs, à force d’essayer de suivre le rythme survolté de Troll. Des cernes si prononcés qu’on dirait presque qu’ils te tirent les yeux vers le bas. Et ça, ça te donne l’air perpétuellement triste, c’est con. Sinon, t’as les oreilles pointues, avec une implantation un peu trop basse mais qu’est-ce que tu t’en fous. Et puis tu gardes tes crocs même derrière tes lèvres humaines. Les pauvres, tu les mords si souvent qu’elles sont perpétuellement abîmées, déchirées, parfois même ensanglantées. Faut dire que ce genre de dents n’a pas sa place dans une bouche humaine, hein. Idem pour les ongles longs, longs, longs et durs, durs, durs, qui te font plus des griffes qu’autre chose. Résultat, quand t’essaies d’attraper un truc, ça tourne au drame. Ne parlons pas des piaillements outrés des personnes que t’accroches sans faire exprès. T’as peut-être bien l’air de rien comme ça, à peine d’un adolescent à l’innocence décalée, aux vêtements toujours débraillés et aux genoux couverts de bleus et de pansements, mais finalement, il y a toujours des rappels silencieux de ta véritable nature - de la chose tapie derrière tes yeux trop grands, trop verts. |
Hello from the other side — Rends-moi humain.Tu n’en as jamais assez. C’est sa chaleur, d’abord, qui t’attire comme un aimant. Puis tout le reste, ensuite, de son regard sans fond à son odeur réconfortante. Tu te nourris de ça - de lui, de Troll - et tu n’en as jamais assez, non. Un peu comme une tique au dard bien enfoncé, impossible à déloger. Un parasite de près d’une tonne. Une mauvaise herbe qui prend toute la place. Mais tu ne t’en rends pas vraiment compte, en vérité. Oui, c’est ça le pire, tu ne le sais pas. Peut-être bien parce que tu ne connais que ça. Parce que tu as été élevé comme ça. Maintenant, t’es incapable de vivre sans lui, d’exister pour toi-même. Tu as besoin de son regard sur toi. Tu as besoin de son accord, de sa présence. De son approbation, de son attention. Tu les veux pour toi, rien que pour toi. T’es du genre envahissant quand même, à prendre toute la place et à t’accrocher comme une moule à son rocher, à t’étaler sans réaliser que personne veut de toi au milieu, que tu déranges. Heureusement pour toi, t’es aussi du genre à attirer la compassion. Parce qu’en fait, si on y regarde à deux fois, t’as cette capacité à transpirer la tristesse et l’injustice par tous les pores de ta peau, par tes yeux larmoyants et un peu trop grands, ta voix chuintante de jérémiades, ton attitude collante. Ah, Gali, en fait, tu ressembles un peu à un gosse trop vite grandi, qu’a pas appris la notion d’espace personnel et qu’est incapable de gérer la solitude et sa peur de l’abandon. — Rends-moi humain pour que je puisse rester avec lui.Tout ça pour ça. Tout ça pour lui. Tu n’en as jamais assez, Gali, on l’a déjà dit. T’es avide de plus, de sa présence, de son regard, de sa chaleur. C’en est presque mignon, la façon que tu as de centrer ton monde autour du sien. C’en est surtout dérangeant, en fait. Parce que chaque fois qu’il fixe, touche, goûte un autre, tu te sens vide, comme essoré, asséché et ça te frustre fort, fort, fort. Ah, tu as un petit côté possessif bien caché, enterré sous des années de voyeurisme et de silence forcé. Mais ça, ça risque de changer maintenant que tu peux parler, pas vrai ? Parce que que tu restes un animal au fond, une bête simple d’esprit, t’y connais rien aux ronds de jambes et aux simagrées, pas plus qu’à la politesse des gens bien élevés. L’honnêteté crade et sans filtre, brute de décoffrage, c’est ta marque de fabrique. D’ailleurs, tu ne comprends pas toujours pourquoi les gens s’offusquent quand tu leur dis qu’ils sentent la morue ou qu’ils doivent être délicieux puisqu’ils sont plein de gras débordant de partout. Mais tant pis pour eux. Tu hausses les épaules et tu poursuis ta route. Y a qu’un seul avis, une seule opinion qui importe vraiment, et c’est loin d’être la leur. ▼ En vrac : Gamin capricieux ;; déteste que Troll l’ignore ou favorise quelqu’un d’autre ;; très expressif ;; on peut lire la moindre de ses émotions sur son visage ;; déteste le froid, adore se prélasser et se dorer la pilule ;; pas méchant au fond ;; a juste été un crocodile à part entière pendant très longtemps ;; honnête, sûrement trop ;; impulsif, agit toujours à l’instant, par spontanéité ;; reste un prédateur, capable de mordre si on s’approche trop près, du genre à retrousser les lèvres et montrer les dents quand il est énervé ;; adore les chats et les humains dans son assiette, les lapins aussi ;; ne comprend pas l’ironie ou les propos trop subtils ;; loin d’être matériel ;; n’a pas besoin de grand-chose pour vivre, à part Troll ;; mais du coup, vite jaloux ;; égoïste et possessif à temps plein. ’Cause we're all mad here — Rends-moi humain.Les mots tournent dans ta tête, tu ne peux pas t’en empêcher. C’est vrai que tes prières, tes supplications pour devenir autre chose ont fonctionné mais tu te demandes si Elle ne s’est pas un peu foutue de toi dans l’histoire, quand même. — Rends-moi humain, s’il te plaît. C’est tout ce que je veux.La vérité, c’est que si tu réfléchissais deux secondes, tu te rendrais compte que tu les as entendus, les bruits de couloir et les rumeurs qui vont bon train - puis ce n’est pas comme si Elle s’en cachait. Que le prix à payer pour que ton vœu soit exaucé serait élevé. Tu as demandé à Lucifer de te rendre humain. Et en dépit de tes incertitudes et de ton désespoir brisé, tu ne peux pas nier qu’elle a réussi. Alors arrête de pleurer et souris. Tâche d’être heureux.
Tu as enfin ce que tu veux. Elle réclame juste une faveur, une toute petite faveur de rien du tout. C’est plutôt correct, non ? Balaie ton angoisse sous le tapis, verrouille la porte, jette la clef et n’y pense plus - ça arrivera bien assez tôt de toute façon. ▼ Tu en as marre, Gali. D’être un animal de compagnie, un crocodile domestique. Celui de Troll. Ce n’est pas que tu regrettes d’être à ses côtés, non, bien au contraire. C’est un drôle de personnage, tu ne le comprends pas toujours, honnêtement, mais tant qu’il te laisse rester avec lui et qu’il te regarde comme il te regarde, le reste n’a que bien peu d’importance. Généralement, les choses sont simples entre vous. Tu le suis partout, ne le quittes pas d’une semelle tant que faire se peut, manques souvent de te vautrer parce qu’il va trop vite pour tes pattes courtaudes, te plies volontiers à ses simagrées de catch ou de va-chercher-la-balle-Gali. Il te nourrit, te prépare des bains - parfois un peu trop savonneux mais tu lui pardonnes -, te gratte sous le menton et même le dos. Vous passez vos journées entre les ruelles plus ou moins sordides de la ville et les allées encombrées du Magasin des suicides. Généralement, les choses sont simples, oui. Mais parfois - plus souvent que tu ne veux bien l’admettre -, tout dérape et tu te retrouves à regarder l’irregardable. Comme cette fois. Et puis celle-ci. Et l’autre, là encore. Oh, Gali. Tu en as bien trop vu, condamné à rester dans un coin et à épier les allées et venues de ton maître, ses lubies volatiles, ses humeurs versatiles, son attrait décadent pour l'innocence. Pourtant, ça n’a pas toujours été comme ça. Non, loin de là. Au début, tout début, quand Troll était encore Tinkerbell, les choses étaient encore plus simples qu’aujourd’hui. Tu pouvais te cacher dans son cou, sous son t-shirt. Profiter de sa chaleur, de sa présence sans craindre de l’écraser ou de lui briser quelques côtes au passage. Sans te demander perpétuellement de quoi le lendemain serait fait, de quel spectacle tu serais spectateur. La vie était effrénée sur le Jolly Roger, rythmée par les rapines et l’ombre menaçante de Hook, mais vous étiez tous les deux, tu pouvais manger du poisson à volonté et profiter du sourire heureux, humain, de Tinkerbell, alors tout allait bien. Mais bien sûr, tout doit s’achever un jour. Le contraire serait étonnant, n’est-ce pas ? Même au pays des rêves et des contes devenus réalités. Les années passant, rien n’a changé, enfin presque rien, tu es juste devenu plus grand, plus gros, plus imposant, plus dangereux aussi. Comme avant, Hook ne t’aimait pas. Comment avant, Tu n’aimais pas Hook. Et un jour c’est arrivé. Promis juré que t’as juste suivi le courant, que tu ne voulais pas vraiment. C’était rien qu’un accident. Une erreur de parcours. Mais t’as quand même fini avec les mâchoires autour de son bras, sa main jusque dans ta gorge et le sang chaud qui coule, les os qui craquent, les muscles qui se déchirent. Hmm. Qu’est-ce qu’il avait bon goût, le vieux Hook quand même. T’en gardes un bon souvenir, malgré les cris des gamins, les coups dans tes côtes et sur ton dos, les disputes crescendo entre Tinkerbell et le capitaine. Heureusement pour toi qu’il avait des arguments. Sinon tu serais passé par-dessus bord. Comme Wendy, encore des années plus tard. C’est vrai qu’elle était jolie, Wendy. Très jolie. Tu ne comprends toujours pas pourquoi Troll était tout le temps collé à elle, ni pourquoi il la regardait avec ces yeux-là, mais tu sais qu’elle était vraiment très jolie. Et beaucoup plus gentille que Pétra. Alors ça ne t’a pas dérangé quand vous avez quitté le navire pour partir à sa recherche. Vous ne l’avez jamais retrouvée. A la place, Tinkerbell est devenu Troll, vous a installé à Wonderland et a ouvert le Magasin des suicides, y accueillant un drôle de chapelier triste au nom de Sad Hatter. Tu ne comptes plus le nombre de fois où tu as eu envie de le manger. Là encore, les choses étaient simples. Tu ne t’en es pas rendu compte tout de suite. T’aurais dû prévoir pourtant, parce que ça puait à des kilomètres et que tu le connais bien, ton Troll. Mais quand sonnent trois heures du matin et que tu le vois étreindre le corps glacé d’un gamin contusionné, tu te demandes ce qui a bien pu déraper, ce qui a bien pu se passer pour que vous en arriviez là. Puis tu te rappelles Wendy, la jolie Wendy, et Pétra, vilaine, vilaine Pétra, et Hook aussi, et tu te dis que si toi aussi t’avais été comme eux, peut-être que t’aurais pu aider Troll autrement. Mais t’es un croco’, Gali, rien qu’un putain de croco’ et c’est peut-être ça le problème. ▼ Peut-être que c’est Elle qui t’a trouvé. Peut-être que c’est toi qui L’as cherchée. L’important c’est que te voilà à ses pieds, à la supplier. Heureusement, pas besoin de savoir parler pour qu’elle te comprenne, pour qu’elle t’entende. — Je veux pouvoir devenir humain. S’ il te plaît. S’il te plaît, rends-moi humain pour que je puisse rester avec lui. | Behind the screen Pseudo HRP ? : Uta. Parles nous de toi : Je suis gentille et je ne mords pas, contrairement à Gali, promis.  Comment es-tu arrivé ici? : J’ai suivi le chemin pailleté d’une fée aux allures de dépravée (cc troll). Quelque chose à nous dire? : Le forum est sublime (j’aime bcp trop le d4rk donc je ne suis pas une référence en fait), le contexte super prenant et bien développé (Alice in Wonderland c’est bien, Alice Madness Returns, encore mieux), puis en plus vous avez l’air soyeux. Que demande le peuple ? Rang désiré : Tick Tock the Croc • Code avatar : - Code:
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<a class="imginfo">[b]Amaimon[/b]<span><img src="URL DE VOTRE AVATAR" width="100px" /></span></a> {Ao no Exorcist} [i]feat ~[/i] [b]Gali[/b] • Code personnage (s'il vient d'une œuvre) : - Code:
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[color=#A03D3D][b]Tick-Tock Croc[/b][/color] {Peter Pan} [i]feat ~[/i] [b]Gali[/b] • Particularité (si magique) : - Code:
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<i>Plus fort que la norme</i> : Gali • Pouvoir : - Code:
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<b>Transformation en humain</b> : Gali |
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mon Gali d'amour !!! 
J'ai super hâte de le voir joué, de RP avec toi et d'enfin pouvoir faire évoluer cette fée de malheur 
Félicitations, tu es validé! 
