Le royaume du fun et de la joie. Étant issu d'une révolte, l'armée y est très développée, de peur des représailles de la part de Wonderland. Du moins, c'est ainsi que le dirigeant le présente. La guerre a éclaté avec l’intronisation de Red Queen, diabolisant (un peu) la nouvelle souveraine et la présentant comme une menace pour Memeland.

Les habitants de Mêmeland sont en guerre avec ceux de Wonderland en raison de leur histoire commune mais également des sobriquets qu'ils leurs attribuent. L'Ombre tente toujours d'agrandir le royaume en annexant des territoires, souvent indépendants, et de recruter de nouvelles têtes pour gonfler les rangs de son armée. Ils n'apprécient pas les déjan'thés pour la majorité en raison des persécutions à leur égard et ils leurs attribuent des petits surnoms à la hauteur de ceux qui leur ont été donnés par leurs aînés. Ils sont également en froid avec le Château Ambulant car ils se sont fait voler la thé-lévision.

Les Nouveau'thé insistent sur leur rôle d'oppresseurs et multiplient les noms avec "Tea" (Tea-rant, despo-tea-que [...]) et vont parfois ajouter la boisson ennemie : le café ("Ils sont cafétiques" (pour pathétiques) ou "rendez-vous dans le Coffee'n (pour les vieux croulant proche de la morts). On note aussi qu'ils vont jusqu'à utiliser du L33t ce qui donne par exemple "Pathé-t3a-que". Plus il y a de Leet, plus c'est insultant. (Mais moins les déjan'thés comprennent.) L'Ombre se refuse à ces petits jeux.

Alices : les alices n’ont pas de traitement particulier à Memeland, elles sont traitées comme n’importe quel autre citoyen.

Déjan’thés : on les considères comme dépassés, c’est l’ancienne génération, les nouveau’thés se plaisent à les tourner en bourrique, cependant, ils ne sont pas particulièrement persécutés en dehors de ça et peuvent vivre une vie agréable.

Nouveau’thés : elles constituent la majorité de la population de Memeland, elles sont traitées comme n’importe quel autre citoyen.

Passeurs : les passeurs étant essentiels à l'agrandissement du royaume et étant rares, ils sont traités avec tous les égards, bichonnés et choyés.