Nom : "Hawkins"
Age apparent : ”Heu… 18 ans ?”
Age réel : “18 ans, t’es sourd ?”
Race : “... Humain. Non, je suis pas “une Alice”, sérieux j’ai une gueule à m’appeler Alice ??”
Genre : “Ben… Je suis un homme.”
Sexualité : “C’est un interrogatoire c’est ca ?”
Groupe : “Je te dis DE PAS M’APPELER ALICE !”
Ame : "Bien sûr que j'ai une âme ! Et non personne me l'a prise ! Quelle drôle de question..."
Métier : “Je suis réparateur de tout et n’importe quoi/plongeur/pilote d’avion/ce que tu veux, donne-moi de l’argent ou juste de la nourriture ca le fait aussi (même du matériel, on peut négocier) et je fais tout ce que tu veux (presque tout éé)
Origine : “Terrien,de la planète Terre la troisième en partant du soleil (Sol pour les intimes) située dans le système solaire qui s’appelle le système solaire, le premier que les terriens ont découvert, proche d’Alpha Centauri, le système solaire le plus proche à qui ils ont dû donner un vrai nom faute de pouvoir les différencier autrement. Ah, t’es un Terrien ? J’suis de New-York, USA.”
Pouvoir : “... Je suis bon en escalade ?”
Particularité physique : “Je suis plutôt beau gosse en vrai ! Non ? Non j’ai pas de tatouage. Je me ferais pas planter une aiguille de mon plein grès dans la peau, ca doit faire mal !”
Avatar : Jim Hawkins - Fanart Disney
Jim
Jim est une tête brûlée au grand coeur. Il a des principes et tâche de les suivre au mieux. Il aime pas qu’on lui marche sur les bottes pour autant, et il n’est pas du genre à se laisser faire.
Bien qu’il aime les sensations fortes, il est aussi capable de passer des heures à tâcher de résoudre un casse-tête. Il aime tout ce qui est énigmatique et cherche toujours à comprendre, même si à Otherland, tout n’est pas forcément compréhensible. Il est très attaché à sa mère, qui est sans doute la personne qui compte le plus au monde à ses yeux. Etre séparé d’elle et savoir qu’il ne la reverra probablement jamais lui crève le cœur. Il ne peut supporter cette idée et cherchera coûte que coûte un moyen pour la retrouver.
Il est doué pour apprendre et retenir et il aime qu’on le mette au défi.
Il a un grain, Jim. Quand il a envie de faire un truc fou, comme sauter du haut d’un immeuble, y’a Jimmy le déglingo dans sa tête qui lui dit “T’es pas caaap” et Jim déteste qu’on lui dise ca alors… Il le fait ! Bien sûr qu’il est cap !
Il a un grain, Jim. C’est un peu la faute de son père, un peu la faute de sa mère et surtout la sienne.
Il pouvait pas parler de bagarre ou d’histoires de mecs avec sa mère. Ca lui paraissait trop bizzare. Elle était tout le temps là à le couver, à l'étouffer comme un petit poussin fragile qu’il n’était pas. Alors il essayait de faire en sorte qu’elle en sache le moins possible. Et parallèlement, avoir été autant livré à lui même enfant, sa mère travaillant beaucoup et étant trop pauvre pour le faire garder, il c’était aussi élevé tout seul. Le danger, ca lui plaisait c’est sûr. Ca ne lui faisait pas peur non plus. Alors il avait fait ce qui lui plaisait. Et il continue de le faire, d’ailleurs.
Bien qu’il aime les sensations fortes, il est aussi capable de passer des heures à tâcher de résoudre un casse-tête. Il aime tout ce qui est énigmatique et cherche toujours à comprendre, même si à Otherland, tout n’est pas forcément compréhensible. Il est très attaché à sa mère, qui est sans doute la personne qui compte le plus au monde à ses yeux. Etre séparé d’elle et savoir qu’il ne la reverra probablement jamais lui crève le cœur. Il ne peut supporter cette idée et cherchera coûte que coûte un moyen pour la retrouver.
Il est doué pour apprendre et retenir et il aime qu’on le mette au défi.
Il a un grain, Jim. Quand il a envie de faire un truc fou, comme sauter du haut d’un immeuble, y’a Jimmy le déglingo dans sa tête qui lui dit “T’es pas caaap” et Jim déteste qu’on lui dise ca alors… Il le fait ! Bien sûr qu’il est cap !
Il a un grain, Jim. C’est un peu la faute de son père, un peu la faute de sa mère et surtout la sienne.
Il pouvait pas parler de bagarre ou d’histoires de mecs avec sa mère. Ca lui paraissait trop bizzare. Elle était tout le temps là à le couver, à l'étouffer comme un petit poussin fragile qu’il n’était pas. Alors il essayait de faire en sorte qu’elle en sache le moins possible. Et parallèlement, avoir été autant livré à lui même enfant, sa mère travaillant beaucoup et étant trop pauvre pour le faire garder, il c’était aussi élevé tout seul. Le danger, ca lui plaisait c’est sûr. Ca ne lui faisait pas peur non plus. Alors il avait fait ce qui lui plaisait. Et il continue de le faire, d’ailleurs.
Jim doit faire 1m 70 pour 60 kilos environ. Il est plutôt athlétique. Jim est blanc de peau, il est brun et il a les yeux bleu. Il est souvent cerné. Il a du mal à trouver le sommeil, et en général dort peu. Il est expressif, et si ce que vous dites lui paraît sans intérêt vous le saurez en voyant la tête qu’il fait. ces cheveux sont mi long à l’avant, rasés sur les côtés et longs derrière. Il les porte en général en queue de cheval. Il a une boucle d’oreille en or à l’oreille gauche et porte les mêmes vêtements qu’il avait lorsqu’il est arrivé, à savoir un pantalon de l’armée de terre tirant entre le beige et le vert/gris, un peu trop grand pour lui qu’il a serré à la taille d’une ceinture et très pratique car plein de grandes poches, une chemise plus grise qu’autre chose à force malgré les lavages qu’il porte la plupart du temps retroussé sur ses avants bras et une grosse veste en cuir marron foncée doublée de d’une fourrure synthétique beige.
How to be a pirate
Au commencement
Nous sommes aux états-unis, à New-York, la ville où tout est possible. C’est là que les parents de Jim, tous deux natifs de la ville, se rencontrèrent. Elle était étudiante en histoire à la fac et lui, marin. Elle abandonna ses études pour se marier avec lui. Ils vivaient ensemble depuis deux ans avant qu’elle ne tombe enceinte. Les premières années de la vie de Jim furent très heureuses. Mais la mémoire enregistre plus facilement les mauvais souvenirs que les bons. Jim avait vu partir son père alors qu'il avait environ 5 ans. C’était son plus vieux souvenir, et celui-ci le hante encore. Sa mère l'avait élevé seule. Cette femme courageuse avait vendu tout ce qu'elle possédait pour s'acheter son commerce et élever son fils au mieux. Ils vivaient au-dessus de la salle de restaurant, dans un petit appartement. L'Auberge, située près d'un port, recevait les dockers et les marins de passage. Le père de Jim était l'un d'eux. Il avait pris la mer un jour pour ne plus jamais revenir.
Petit génie de l'ingénierie, Jim fabriqua ses premiers robots à l'âge de 10 ans. Il aurait pu être un bon élève, s'il n'avait pas été une telle tête brûlée. Ses notes étaient excellentes et les commentaires de ses professeurs sur son attitude, désastreux. Si bien qu’il fut renvoyé du collège après une expérience de chimie improvisée qui tourna mal. Il poursuivit l’école à la maison à partir de ce moment. Jim adorait tout ce qui touche à la science, à la chimie et aux mathématiques, mais il aimait encore plus faire de vilaines farces. Il fut forcé de se calmer, jusqu’à son entrée au lycée, ou il rejoignit enfin une école.
Et là, les choses n'allaient pas du tout en s’arrangeant. Il devint ami avec les dealers du lycée, et grâce à deux d’entre eux devint ami avec des gars qui faisaient du Parkours, un sport qui consiste à sauter de toit en toit et a escalader les murs ou ou la les descendre dans la ville. Il faisait les 400 coups avec eux, taggait dans la ville et s’amusait à faire des courses poursuites avec la police. Sa mère alla le chercher au poste à plusieurs reprises, et on obligea Jim à aller consulter un psychologue auquel il refusa obstinément de parler. Finalement, celui-ci obtint de lui qu’il s’engage à mieux se comporter pour mettre fin à leurs séances.
Comme il ne pouvait plus fréquenter ses anciens amis, Jim dû trouver de nouvelles occupations. Il revint à ses premières amours. Il faisait du skate depuis son plus jeune âge, et n'avait pas froid aux yeux. Un exemple ? S'accrocher un pare choc arrière d'une voiture qui démarre et changer de véhicule en cours de route. Vous l'aurez compris, il était perpétuellement à la recherche du frisson, de l'aventure... Et d'une bonne dose d'adrénaline.
Il n’était pas vraiment accroc à son téléphone portable cependant et le laissait souvent derrière lui, soit dans sa chambre. Certes, sa mère n’allait plus le chercher au poste, mais il n’était pas rare qu’il revienne couvert de bleus.
Un jour,alors qu’il se promenait sur les quais, il aperçut une silhouette prostrée entre deux conteneurs.
L'homme était grièvement blessé et marmonna "Cette vieille enflure de Billy Bones..." Jim parvint à capter son attention et s'apprêtait à prévenir les pompiers, mais le vieux marin lui saisit le bras pour l’en empêcher et lui tendit une clé usb. "Cette clé renferme la carte du trésor. Ne les laisse pas la trouver !" lui dit-il, avant de mourir. Jim ne comprit pas d’abord ce qui se passait, pensant que l’homme avait perdu conscience et appelait les secours. Il avait peur et ne resta pas sur place pour les attendre. Jim glissa la clé dans sa poche. Il observa, caché, les pompiers venir, puis la police, et enfin les regarda enlever le corps. Jim rentra tard ce jour-là et se trouva privé de sortie pour les prochains jours. Il ne se rebella pas et monta dans sa chambre, à la grande surprise de sa mère. La clé contenait un code qu'il ne parvint pas immédiatement à déchiffrer. Il y passa des heures, sans résultat probant. Il se coucha et rêva de trésors, et du vieux marin qu’il avait vu mourir.
Les jours suivants, Jim ne fit pas la moindre vague. Il rentra juste après les cours et s’attella aussitôt à déchiffrer le code. Finalement, une fois qu’il fut sûr de lui, il demanda à sa mère s’il pouvait rendre visite au professeur, un vieil ami de la famille, prétextant avoir besoin d’aide pour un devoir. Elle lui donna son accord et il s’y rendit sans attendre.
Jim raconta toute l’histoire au professeur. Celui-ci l’écouta attentivement et lui conseilla de contacter la police et de lui remettre la clé. Jim argua que s’il faisait ca, sa mère n’aurait jamais une autre vie que celle qu’elle avait actuellement. Il voulait trouver le trésor, et ainsi lui permettre de ne plus travailler. L'idée de trouver un trésor plaisait énormément au professeur. Celui-ci prit le temps de réfléchir, et indiqua à Jim qu’ils ne feraient rien avant qu’il ait terminé son année scolaire et qu’il ait fêté ses 18 ans.
Les semaines passaient, interminables. Jim pour la première fois de sa vie prit sur lui pour ne pas se faire remarquer. Si bien que les commentaires de ses professeurs n’avaient jamais été aussi positifs sur son bulletin de notes, bien qu’une légère baisse de celle-ci soit notable. Sa mère était tout de même ravie. Et finalement son anniversaire arriva. Le professeur en profita pour offrir a Jim un voyage en mer d’une durée d’un mois. Sa mère était réfractaire, mais devant l’enthousiasme de son fils, elle finit par céder. La date du voyage était fixée, et le professeur et Jim échangèrent un sourire de connivence : eux deux savaient bien qu’ils ne partaient pas vraiment en voyage d’agrément.
*
L'île au trésor partie 1
Ils embarquèrent à bord de L’Agathe, un bateau dirigé par un ancien capitaine de la marine, le capitaine Amélia, secondé par monsieur Arrow. Ils avaient fait l'armée ensemble et semblaient très soudés. L'équipage avait été recruté par le professeur, et Amélia ne semblait pas ravie par son choix. Celle-ci refusa de laisser Jim vagabonder et l'envoya seconder le maître coq, un homme étrange équipé d'une prothèse mécanique nue et apparemment très efficace, même un peu inquiétante et couvert de cicatrices. Jim se méfia de cet homme à l'instant même où il le vit, bien qu’il ne se souvienne pas d’avoir déjà entendu son prénom. Au début, les rapports étaient tendus et le maître coq donna à Jim beaucoup de travail. Au fur et à mesure des jours, le jeune homme se rendit compte de la multitude de choses que pouvait lui apprendre Billy Bones et il devint plus attentif. Le vieux marin quant à lui fit preuve de bienveillance et lui apprit beaucoup, de la façon de préparer un plat aux nœuds marins en passant par la navigation d'un hors bord. Un lien se créa entre eux deux. Jim aimait dormir dans un hamac. Il appréciait la vie sur l’eau et envisageait sérieusement de devenir marin plutôt qu’ingénieur, ce qui était son premier choix. Monsieur Bones lui apparut comme un modèle possible. Il se voyait en lui. Le voyage se passa sans anicroche et au bout de presque deux semaines, l'île était en vue.
C'est là que les choses se corsèrent. Le matin du jour où ils étaient en passe d'accoster sur l'île, Monsieur Arrow fut découvert assassiné dans sa cabine. L'équipage se mutina, et prit possession du bateau. Comprenant que le vent était en train de tourner, Amélia, avec l’aide de Jim, saborda les embarcations de sauvetage, sauf une. Se faisant, elle fut blessée par balle. Le professeur, Amélia et Jim eurent tout juste le temps de fuir à bord d'un hors-bord en emportant avec eux la clé usb et un ordinateur portable.
Ils filèrent sur l'île et alors que le professeur faisait son possible pour aider Amélia, Jim partit à la recherche d'un endroit où se cacher. L'île était recouverte d'une jungle luxuriante, et il avait peur de se perdre. Il tomba sur un sentier. Il décida de le suivre et celui-ci l’emmèna à une véritable base équipée d'une technologie avancée et d’eau potable. Jim y conduisit le capitaine et Amélia. Là bas, il termina de déchiffrer le code de la clé usb.
Le lendemain, il parti à la recherche de nourriture. L'état d'Amélia se dégradait rapidement, et la base n’était pas équipée en vivres. En regardant dans la base de données, il avait pu prendre nombre d’informations concernant l'île, et ce qui pouvait s’y trouver de mangeable. Il lui fallut plusieurs heures pour découvrir des plantes comestibles. Il revint sur ses pas et rentra à la base. Une fois sur place, il fut capturé par les hommes de Billy Jones, qui avaient pris l'endroit pendant qu'il n'était pas là. Il fut forcé de leur donner la clé, mais l'expert de l'équipe du malfrat avoua assez vite qu'il lui faudrait beaucoup de temps pour percer le code.
Billy Jones menaçait d'abréger les souffrances d'Amélia si Jim ne leur donnait pas la solution. Celui-ci marchanda pour faire partie du voyage, acceptant de les conduire au trésor, mais pas d'en révéler l'emplacement, craignant que s'il le faisait, il les tue tous les trois sur le champ. Billy Jones accepta, et embarqua Amélia et le docteur également. La marche fut longue et pénible. Amélia déclencha une forte fièvre en cours de route et le professeur fut obligé de la porter sur son dos pour continuer.
Ils marchèrent ainsi de longues heures, et finalement parvinrent au pied de la montagne. Il leur fallut en faire le tour plusieurs fois, avant de trouver l'entrée de la grotte. Billy Jones poussa Jim à l'intérieur, suivi de la plupart de ses hommes. Il en laissa un à l'entrée pour surveiller le professeur et Amélia, qui délirait, prise par la fièvre.
*
L'île au trésor partie 2
A l'intérieur, il leur fallut sinuer dans un véritable labyrinthe pour parvenir à la porte du coffre fort. Jim entra le code, mais celui-ci ne marcha pas. Billy Jones et ses hommes le menacèrent, et Jim dut connecter la clé à l'ordinateur portable qu'il a emmené. Les minutes que prit l’ordinateur pour s’allumer lui parurent une éternité. Il comprit son erreur et entra de nouveau le code, qui cette fois ci, fonctionna. La porte s'ouvrit, révélant une vaste cavité naturelle entourée tout autour à l'exception de l'entrée par un gouffre insondable. Personne ne prit garde au *bip* qui résonna quand ils entrèrent. La pièce regorgeait d'argent liquide, de bijoux et d'autres joyeusetés. Les hommes s'empressèrent de s'en mettre plein les poches. Jim, lui, fut attiré par un espace électronique. Il découvrit rapidement en naviguant sur l’interface que l'endroit était piégé. Aussi, cet espace informatique disposait d'une connexion internet. Jim envoya un message avec les coordonnées de l'île aux navires les plus proches capables de capter le signal, précisant la précarité de leur situation. Il prit ensuite ses jambes à son cou alors que les premières détonations retentissaient, mais trop tard: le sol s'ouvrit sous ses pieds. Il s'agrippa comme il put à la paroi et vit un des pirates disparaître dans le gouffre. Son regard croisa celui de Billy Jones, qui voyait impuissant ses hommes mourir les uns après les autres, et hésitait clairement à continuer à s'en mettre plein les poches avant de s'enfuir.
Finalement, il revint sur ses pas et sauva Jim. Ils sortirent ensemble de la caverne, accompagnés d'une poignée d'hommes seulement. Dehors, la tendance s'était inversée et le professeur les attendait : il prit Billy Jones par surprise et lui colla le pistolet qu'il avait volé à leur gardien sur la tempe. Il désarma les pirates et le plus fort d'entre eux chargea Amélia sur son dos.
Ils retournèrent au navire. Ils quittèrent l'île alors que celle-ci était prise de ses premières secousses. Une fois à bord, Amélia allongée dans son lit et les pirates enfermés à la cale séparément de Billy Jones, Jim parvint à capter un message d'un des navires qu'il avait contacté. C'était la police internationale, et ils arrivaient. Il leur fit un compte rendu de la situation, puis pris d'un pressentiment, alla voir le capitaine des pirates.
Bien lui en pris : il eut le temps de le voir partir à bord du dernier hors bord en état.
Amélia ne survécu pas au trajet du retour. Le professeur et Jim, profondément affligés par ce deuil, rentrèrent changés. Jim ne voyait plus la vie de la même façon. Sa mère travaillait pour gagner sa vie et il avait voulu changer cet état de fait en partant. Désormais il était simplement heureux de la savoir en vie et en pleine santé. Il n’avait plus aucune envie de commettre des délits. Il savait ce qu’il voulait faire, désormais. Jim fut recommandé pour entrer dans la marine, et accepté à l'école.
Il se rendait à la gare pour prendre le train qui l'emmenait à la caserne quand c’était arrivé.
C'est là qu’il avait décidé de suivre un individu au comportement vraiment louche. Il l’avait vu s’engager dans un tunnel. Un tunnel dans une gare, désert. Il n’avait pas fait attention sur le coup et il l’avait suivi. Et puis tout était devenu étrange. Vraiment étrange. Le tunnel débouchait en pleine nature. C’était impossible. A ni rien comprendre. Comme si... Il avait changé d'univers ? Ou s’il était devenu fou ? Quand il s’était retourné, le tunnel avait disparu. Ne parvenant pas à faire demi-tour, Jim erra plusieurs jours dans les bois à la recherche du chemin qu'il avait emprunté pour arriver ici, tout en se demandant s'il n'avait pas pris un sérieux coup sur la tête, puisqu'il était passé de la gare de New York à une forêt dense et inconnue, quand il tomba nez à nez avec… Un TRES GROS lézard avec des ailes. Il n’eut pas le temps de se demander s’il était vraiment fou ou non et sauta dans un buisson. Là, il eut le temps de se le demander. Un dragon ?? Il regarda à travers les fourrés pour voir que la créature le regardait aussi. Glups.
