The otherlands
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 Curiosity Killed The Cat || Chess

Chess
Déjan-thé
Icône : Curiosity Killed The Cat || Chess HXUkZP0
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
Messages : 2
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Déjan-thé
#1 | 01.06.22 17:11 | Curiosity Killed The Cat || Chess
Cheshire

Tu ne connais pas encore tout de cet endroit. Ton seul système de références lorsque tu parles de choses incroyables, c’est ta vie d’avant. Et ta vie d’avant n’a aucun sens, ici, aucune logique

Nom : Cheshire
Âge apparent : 24 ans
Âge réel : plusieurs siècles
Race : Passeur
Genre : Homme cis
Sexualité : Pansexuel
Groupe : Wonderland (oui, encore)
Âme : possédée par Red Queen
Métier : Vagabond, passeur à ses heures, ancien peintre et tueur à gages
Origine : Alice in Wonderland
Pouvoir : Don du passeur (se manifeste par des apparitions et disparitions)
Particularité physique : Transformation en chat noir et passages dans les Otherlands
Avatar : texte
Curiosity Killed The Cat || Chess 0nJszEi
excessif • distrait • curieux • rêveur • impulsif • manipulateur • instable • flegmatique • passionné • franc • direct • joueur • dévoué • observateur • obstiné • inconscient • émotif • intense • bavard • désinhibé • tactile • avenant • effronté • enthousiaste • extraverti • volontaire • affectueux

La couleur teinte tes doigts, tu la vis, la ressens jusqu'au plus profond de ton être. Elle te fait vibrer. Tu t'appropries les teintes du monde, elles font de toi ce qu'elles veulent et tu te laisses aller à leur envies. Te laissant modeler au fil des échanges et des découvertes. Elles te bouleversent, te possèdent; te tuent. Et ça te donne un peu de vie. Tu ne peux vivre sans elles; tu en as besoin. Ce besoin de te sentir vivre et exister au travers des expériences, les tiennes, celles des autres. Sans le rouge, tu te sens mort. Sans le jaune, tu te sens triste. Sans le bleu, tu te sens vide. L'absence de couleurs te blesse. Le blanc est si terrible, si vierge. Il ne dit rien, ne permet rien. Il n'existe que pour être souillé. Le blanc n'existe que pour devenir gris.

Tu es impulsif. Tes émotions se jouent de toi, tu ne peux leur échapper. Elles explosent et toi avec. Alors ta douceur habituelle laisse place à la violence. Tu ne cherches pas à blesser, juste à colorer. Que ça soit leurs âmes ou leurs peaux. Pour que le blanc se teinte de rouge. Pour que tu te sentes vivre un peu plus. Tu pleures et ris sans forcément savoir pourquoi. Tu le sens, c'est tout. La vie est là, au bout de tes doigts et tu en as peur. Ce que tu fais, tu ne le veux pas forcément, tu le regrettes parfois mais c'est tellement peu face à ce que tu ressentirais si tu ne faisais pas. Tu serais tellement vide et ça te tuerait, alors tu continues à te laisser guider par tes émois quelles qu'en soient les conséquences. Tu n'es rien de ce que tu subis. Le corps est si peu.

Il est de ces sentiments si forts qu'on ne peut les ignorer. Ils s'accrochent avec rage à chaque parcelles de votre être, s'insinuent pernicieusement dans chaque geste, courent sous l'épiderme à vous en faire frémir, d'extase et d'effroi. Cette noirceur tapie dans chaque cœur, elle gronde en toi. Il y a cette laideur que tu cherches chez les autres pour te sentir moins seul; pour te sentir moins sale. Quand tu laisses ta langue entamer une danse envoûtante, caresser leurs synapses pour remuer les monstres tapis sous les couvertures. Tu es mu par cette curiosité malsaine qui te pousse à repousser toujours plus les limites, te complaire dans la vision de leurs traits déformés par ton horreur. Tu les pousses dans leurs derniers retranchements pour observer leur masque se fissurer, c'est dans leur étrange laideur intérieure que tu dévoiles les plus beaux trésors, les couleurs les plus vibrantes rendant au monde un peu de sa saveur. Tu vois enfin l'autre comme humain, te retrouves davantage en eux.

Tu es tour à tour idéaliste ou nihiliste. Tes notions sont faussées, dictées par les idées et non l'expérience. Ta famille ne t'a appris que des préceptes abstraits et trop stricts auxquels tu te refuses de te ranger, préférant te forger tes propres règles plutôt que de te les laisser dicter. Ta profonde méconnaissance du monde et de ses valeurs en est la résultante. Les choses les plus ordinaires peuvent parfois te laisser pantois, les plus brutales te sembler anodines. Tout cela fait de toi une personne capable du pire comme du meilleur. Tu es à l'image de ton esprit, instable et incomplet, un enfant qui se cherche encore. Tu te contentes de peu, tout en cherchant la complexité pour te divertir.
Démarche féline, pas feutré, un soupir et tu apparais, sorti de nulle-part, tu dévoiles ton minois taquin au regard des autres. La première chose qu'on remarque chez toi c'est ton regard emplit de malice. Des prunelles écarlates aux pupilles fendues qui se dilatent à la lumière. Tu as de longs cils qui surplombent deux grains de beauté aux coins de tes yeux. Se dévoile par la suite ton sourire dément aux dents perlées et aux canines acérées. Ton petit nez se retrousse pour dévoiler ces crocs dans une moue amusée et menaçante. Tu as les traits fins et harmonieux, encadrés par une longue chevelure ébène dont tu prends grand soin.

Tu as une silhouette élancée et musclée témoignant d'années d'entraînement et de vie sauvage. Une peau pâle aux teintes légèrement rosées lorsque tu t'emportes. Tu as toujours cet air nonchalant et détaché. On te retrouve souvent en train de dormir dans un coin ensoleillé, tu apprécies tout particulièrement la chaleur; sauf quand il s'agit de nourriture. Ton style vestimentaire est aussi changeant que ton humeur, tu portes tout ce que tu trouves - voles - ne te souciant pas de l'aspect du moment que c'est confortable et te permet une vaste amplitude de mouvements. Tu apprécies cependant les bijoux et accessoires, préférablement d'or et de pierres précieuses.

Bien que tu aies longtemps vécu à la rue et n'apprécie guère l'eau, tu fais tout particulièrement attention à ton hygiène corporelle, t'adonnant à de longues toilettes sous ta forme féline, que tu privilégies en général. Quelques tatouages, reliquats de ta vie de délinquant, se dessinent sur ta peau. Tu as des oreilles et une queue féline qui s'agitent en fonction de tes émois. Tes griffes acérées sont rarement départies d'une cigarette dont la fumée persiste toujours après ton passage, meilleur moyen de te repérer. En dehors de l'odeur de la nicotine, tu dégages une odeur de cèdre. T'as la voix basse et grave, toujours calme, parfois blasée malgré ton entrain apparent et une diction lente. Il n'y a que tes nombreux rires qui lui donnent vie.
ONCE UPON A TALE


phtalocianine égarée sur un chevalet ébréché
existences constellées d'ecchymoses, (c)rêveries éclatées

Nul ne naît blanc, vierge de toute histoire. On vient tous au monde sali des élans géniteurs. Le passé étend son ombre sur l'aube rougeoyante d'une vie qui éclos au chant strident de l'agonie. Des entrailles de ta mère, tu t'étires jusqu'à l'en faire crever; la mère. La mère amère; la mère morte. La mère sotte. Qui emportée par une fougue féroce lui a tout donné.

A cet élan de passion inconnu qui l'a abandonnée tout aussi vite qu'il l'a faite sienne, ne laissant que l'usure au bord des lèvres et le dos voûté par l'abandon. Même aux âmes-sœurs, l’amour ne suffit pas toujours. C'est le cœur tuméfié par ta naissance qu'elle te recueille, Nana. Grande mère de mère, l'enfant ayant suivit trop tôt les traces du père, lui ayant emboîté le pas sur le chemin de la divine absolution.

Elle n'existe qu'au travers de cette solitude comblée de tes premières larmes, tes premiers pas, tes premiers sourires. Des étoiles qui se nichent dans ton regard étranger alors que tu te retrouves pendu à ses lèvres creuses comme s'ils s'en écoulait toutes les merveilles du monde. Elle n'a que toi. Et tu n'as qu'elle. L'enfance dorée, sous verre.

Quand les rires des gosses de ton âge s'élèvent, les tiens restent étouffés dans l'ombre du passé. Dans les lignes trop serrées, comme des barreaux, de livres trop complexes, des dédales, et dans leurs histoires poussiéreuses, réminiscences de vies passées au travers desquelles tu existes.

Parce que Nana ne veut pas. Que tu t'envoles. Te voir quitter le nid comme ta mère l'a fait. Tu vois la terreur nichée au coin des sourires crispés lorsque tu te fonds dans les ombres. Elle te veux dans la lumière. Et tu ne veux pas voir son cœur meurtris s'écouler de ses yeux. Alors t'étouffes tes élans de vie pour que ses sourires s'adoucissent. Dans ta bulle, l'air vient à manquer.

hématite, écarlates gerbures d'hématomes
premiers éclats, premiers émois, étalés sur le canevas

Tes rêveries s'écoulent de ton coeur jusqu'au bout de tes doigts. Tu forme des lettres maladroites au trait tremblant, hésitant. Certaines s'évadent des lignes tracées sur le papier. Le son de la mine grattant le blanc résonne dans la maison vide. Tu t'appliques, réécris les noms des nuances que tu ne peux qu'imaginer, elles racontent les émotions comme tu l'as lu dans un livre sur les pigments. Dans ton petit monde de solitude et d'isolation, tu te raccroches à elles. Les autres enfants ne comprennent pas. Ne veulent pas comprendre.

Tout ce qui importe à leurs yeux paraît si éloigné de ta vie. Ta bulle se pare de couleurs imaginaires. Tu en rêves. Tu en crèves. Et la bulle éclate. Les premiers coups, les premiers frissons. Les sensations trop vives imprégnées sur les poings serrées au bout desquels pour la première fois, tu existes. La différence qui dérange qu'on étale sur les pavés de la cour de récré.

Le rouge qui s'écoule des doigts incertains aux corps, qui s'assombrissent d'écchymoses. Ta peau blanche et vierge d'histoire qui se pare des couleurs du monde. Tu les ressens. Elles éclatent. On te marque, te dénature. Tu n'es plus sien. Tu n'es plus tien. Tu n'es plus rien. Tu te fais un peu leur. Et ils se font tiens. Tous teintés de vos violents élans, unis sur une palette chaotique. Nana ne comprend pas. Les larmes tant redoutées cascadent de ses yeux usés. Et elles sont belles. Brillent comme des étoiles.

Et tu comprends. Que la couleur n'est pas souillure. Que le blanc n'est pas un idéal. Que pour raconter des histoires, le papier doit se noircir. Alors tu sombres, te pares d'ombres. Parce qu'une lumière trop éclatante aveugle. Efface le monde au profit du néant apathique. Alors que les ténèbres sont pleines. De monstres. D'existences trop nombreuses. De secrets inavoués. Et que toi tu veux savoir. Dévoiler les spectres qui se refusent aux regards.

orpiment, arsenic sulfuré, insinué dans ses sourires
poison mortel de l'addiction qui t'inspire toutes tes expirations

Nana s'en va. Nana ne reviendra pas. Comme ta mère autrefois. Comme ce père que tu ne connais pas. Les diathèses se dévoilent au fil des perles du chapelet sacré qui roulent entre ses doigts. C'est les métastases qui migrent dans les vaisseaux, voguent sur un tsunami de sanglots, qui t'as assassiné, toi aussi. Sa lumière s'efface. Elle s'est perdue dans son vide et rien ne reste d'elle. Il n'y a plus de livres à lire, plus d'histoires à découvrir. Juste l'attente, d'une nouvelle existence qui viendra élargir ta palette de sensations. Tu ne lis plus. Tu ne ris plus. Tu te contentes de peindre, donner corps aux histoires trop nombreuses qui se bousculent dans ton encéphale.

Tu peins tes toiles. Et les autres aussi. De tendresse. De colère aussi. Tu en as besoin, pour exister. Pour respirer. Tu ne veux pas finir comme Nana. Les gens se souviendront que tu as a vécu, fait exploser ton âme sur les murs et sur les gens et que tu y a laissé des traces. Tu as peur d'être engloutis par le blanc. Les gens glissent sous tes doigts, fugaces ébauches inachevées. Les couleurs ne se fixent jamais sur ta toile. Tu erres de corps en corps, de famille en famille. Tu changes d’entourage plus souvent que de chemise, commence à hanter les squats, voler pour survivre. Ton existence est de cendres.

Jusqu'à Ophélie. Ses élans sont violents. Vibrants. Ophélie, elle se noiera dans ses couleurs. Tu t'imprègnes de ses teintes, te pares de sa noirceur. Celle qui écorche tes nuits de ses cris de détresse psychotique. Elle épouse tes élans de folie, les sublime des siens. C'est le réconfort d'une renaissance, d'un amour perdu pour les orphelins que vous êtes. Vous qui n'avez jamais eu votre place, vous vous sentez enfin exister. L'un contre l'être.

Contre la gravité du monde. C'est ta muse. Tu te damnerai pour l'enfer qui luit au fond de ses yeux. Tu l'aimes. A t'en faire cramer l'être. L'ipséité scarifiée sur l'autel de sa terrible beauté. Et elle te brise le cœur avec une tendresse telle que tu ne parviens pas à la quitter.

xanthène, glacis fragile, dénaturé d'un vif éclat
icare aux ailes brûlées, rose d'absences, silences mo(t)roses

Ophélie est brisée, cassée, ta moitié à jamais perdue dans cette soif d'existence qui résonne en toi. Elle n'est plus que l'ombre de ce qu'elle a été. Elle s'oublie. Dans les verres. Dans les larmes. Dans un mutisme résigné. Dans une folie sourde. Elle a aimé plus qu’elle ne t’a aimé, elle a prié pour un ciel plus radieux et s’y est brûlé les ailes.

On lui a brisé le cœur et tu as des horreurs qui se peignent le long de tes griffes. Enfant naïf auquel on n’a jamais inculqué de morale. Tu n’as pas compris, tu voulais juste que ses larmes s’arrêtent de couler, mais elles se sont faites torrent et c’est désormais de la haine que tu lis dans son regard.

Tes couleurs ne l'atteignent plus. Et aucun de tes sourires ne parvient à lui rendre un peu de cette chaleur qui lui fait tant défaut. Tes ténèbres sont froides. Stalactites qui te déchirent le palpitant. Tu veux l'aider, désespérément. Mais tu sais pas. Et tu ne comprends pas que tu es le seul coupable, que ses lèvres ne fendent plus de sourires mais se déchirent de ton horreur : m e u r t r i e r.

Mais tout le monde finit par mourir, tu n’as rien fait de plus qu’écraser un insecte, accélérer le processus… elle est folle Ophélie, avec ses principes hors de ce monde. Mais même comme ça, tu l’aimes.

Tu les aimes. Ses fêlures. Ses blessures. Cette Ophélie qui s'accroche à son verre comme une bouée. C'est aussi beau que laid. Mais tu ne veux pas qu'elle disparaisse. Alors tu caresses la démence qui étend ses voiles sur son esprit, tentes de la rassurer de ta main coupable. Diluer ses couleurs pour qu'elles ne la déchirent pas de leur trop vif éclat.

Tu veux comprendre. Cherches des obscurités similaires à la sienne, dans les rues sombres et les réunions d'âmes perdues. Ton monde se remplit des tourments des autres et t'apprends qu'ils n'y a que dans la lumière qu'ils s'apaisent. Que tu ne peux rien pour elle.

glauconite, (a)vert(sions) crues ailes
rageant ouragan de la fin des temp(ête)s, en (a)pesanteur

Impuissant, tu regardes sa couleur lui échapper. Elle s'écoule de ses poignets, sur ta peau, sur ton âme. Sur le parquet usé. Elle ne se contrôle plus. Se recolore de camaïeux de bleus quand ses démons la font danser contre les murs. Tu ne suffis plus. Ophélie. Ophélie. Au fond du gouffre. Elle finit par partir, noyée dans son désespoir, la larme de trop. Et tu as erré, longtemps, à sa recherche. Finissant par comprendre qu’elle ne voulait pas être retrouvée; qu’elle ne pouvait pas être retrouvée.

Tu as arrêté de peindre, repris les larcins et les courses à perte d’haleine dans les ruelles et la crasse. Tu as retrouvé la solitude, seule la chaleur de quelques étreintes passagères et maintenant en vie. Tu n’as pas pleuré Ophélie. Tu as juste compris qu’elle était différente, plus fragile, plus humaine. T’es toujours ce chat des rues, perdu, qui observe le monde sans y prendre part, qui se contente de se repaître du spectacle de la vie en savourant les plaisirs hédonistes.

De temps à autres tu ramènes une alice, la regardant se débattre dans ce monde, comprendre le leur aussi. Tu as la curiosité insatiable, parfois sadique.

aniline, annihile les pernicieuses clartés, embrume
ombres chatoyantes aux milles couleurs de ceux qui vivent en toi

Suite à la suggestion d'un proche, tu deviens un venin irisé de plus sur les crocs acérés d'une bande de malfrats sévissant dans l'Underland. Le rouge fend l'air pour éclabousser le monde, les gens se colorent et tu t'enivres des effluves toxiques de peinture. Tes épaules s'allègent alors que ta bourse s'alourdit. C'est pas comme avec Ophélie.

Tu ne trouves pas une famille dans cette association, mais tu vois en eux l'écho de cette rage de vie qui gronde en toi. Ils t'inspirent et de tes doigts s'écoule toute ta noirceur sur les toiles qui te sont offertes. Le crâne extasié par ces teintes nouvelles, tu plonges dans ce théâtre animé des plus vifs élans.

Tu passes quelques décennies dans ce milieu pour finalement te rendre compte que tu veux explorer de nouveaux horizons, te trouver un foyer plus stable; peut-être retenter d'exister. Tu vogues de rencontre en rencontre sans jamais t’attarder, usant de ton pouvoir pour laisser les cœurs que tu as capturés comme on t’a laissé avant d’y croire à nouveau, avant que les couleurs débordent et que tu n'éprouves le besoin de les figer sur la toile.

C'est dur de refaire confiance, de retrouver l'envie. Il y en a pourtant certains chez qui tu t'arrêtes. Chez qui tu laisses trainer ta carcasse jusqu'à prendre racine et parfois, tu hésites à troquer ta liberté.
Curiosity Killed The Cat || Chess HXUkZP0

o/

Mad Hatter
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FIRST
😭 Cheshire, ou quand de base, tu prévois pas de faire un personnage et qu'à 3h du mat en cherchant un tout autre avatar tu tombes sur un chat... blblblblblbl

et quel chat éwè ❤ j'ai hâte !

Notamment qu'il saute de tout son poids sur un Mad endormi xD

❤ ❤ ❤ ❤ ❤
Chess
Déjan-thé
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Déjan-thé
Je ne vois absolument pas de quoi vous voulez parler monsieur, on se connaît ? 👁

*saute sur le bidou en ronronnant et fait pat pat*
White Rabbit
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Attrape-moi si tu peux
Aaaah, Cheeeeess ! Je t'ai déjà exprimé tout mon amour pour se perso, mais laisse moi t'en dire un peu plus : Je l'aime. Sa maman d'adoption arrive. Il va l'aimer tendrement aussi.
Une fiche parfaite pour un perso parfait, je valide !

ET J'EN AI LE POUVOIR, HAHAHA !!!

Tu es validé !


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Félicitations !

Te voilà officiellement des notres ! \o/

Tu peux dès à présent recenser ton avatar , ton pouvoir, créer ta fiche de liens, et surtout lancer une recherche de RP !

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