popular monster - lilith [Disparue]

Nom : Lilith
Âge apparent : 25 ans, il paraît.

Âge réel : 466 ans, pour de vrai.
Race : Une déjan'thée qui vous fait vibrer.

Genre : Une femme, la première. 

Sexualité : L'Homme déçoit, la Femme est une vautour. 

Groupe : Le Château Ambulant.

Âme : Vendue, offerte, donnée, que le conducteur du train s'en délecte, de toute manière elle n'a jamais compté remonter au Ciel.

Métier : Votre star préférée, la présentatrice du meilleur talk-show de la Thé'lévision. 

Origine : Là où tout supposément commence, la Bible. 

Pouvoir : Plus tu es crédule, plus tu es sensible. Plus tu es crédule moins tu lui résistes. La Séductrice séduit, la Succube s'infiltre dans tes pensées et t'empêche de l'oublier. Tu es à sa merci, désormais.

Particularité physique : Un ventre lacéré, entaillé, cicatrisé d'où se sont échappés tous ceux qui vous ont un jour hantés. Sans oublier les cornes ni la queue de Succube. 

Avatar : Fiammetta - Arknights 


Tw : violence sur enfants

Souvenirs fragmentés martelés dans un esprit gangréné, comment différencier fiction de réalité, comment savoir si les horreurs commises avaient réellement existés ? Lorsque l'astre lunaire est haut dans le ciel et que l'alcool peine à l'envoyer dans le pays des rêves, Elle repense à ce passé supposé, à cette sanglante vie dont elle se serait prétendument réchappée.

À l'aube de l'Humanité, ils n'étaient que deux. Et leur rôle était de procréer et de fonder une famille qui perdurerait à tout jamais. Mais les tensions furent grandissantes, l'égoïste désir de domination de l'un et le souhait d'indépendance de l'autre détruisirent l'Eden qui leur fut offert. Dieu refusa de répondre à ses prières, de prouver au Mâle qu'ils étaient nés égaux. Elle était seule. Incapable d'accepter une soumission éternelle, Elle décida de changer le cours de son destin et celui du reste de son espèce à tout jamais. Envol pris, Elle s'était jetée dans les profondeurs de l'abysse pour échapper à son Seigneur, son homme, son agresseur. Elle tomba sur le Malin. Points en communs, haine mutuelle, l'entente fut rapide et ensembles ils procréèrent une descendance démoniaque, descendance dont Elle serait à tout jamais la Mère. Mais le Créateur refusait de laisser l'une de ses choses le défier, de la laisser exister loin de son abominable contrôle et envoya trois Anges pour tenter de la récupérer. Elle résista, se débattu de toutes ses forces et fut maudite à tout jamais pour cela : chaque jour 100 de ses enfants devraient périr dans d'atroces souffrances jusqu'à ce qu'elle accepte de retourner dans ce Jardin maudit. Mais cette perspective ne suffisait pas à la faire renoncer, personne n'avait le droit de s'accaparer sa chère et tendre Liberté. Elle ne haïssait pas ses fils ni ses filles, mais revoyait en eux ses plus grandes faiblesses. Vanité, jalousie, cupidité, ils étaient l'incarnation physique de ses plus grandes erreurs et pour cela elle ne pouvait accepter de les cajoler, de les regarder dans les yeux, de les accepter.
Mais peu importe son dégoût, voir ainsi la chair de sa chair se désagréger jour après jour devant ses prunelles la rendit folle de rage, folle de jalousie. Pourquoi là-haut pouvaient-ils perdurer en toute sérénité, pourquoi cette Eve avait accepté de se soumettre telle une Chienne devant son Maître, pourquoi devrait-elle être célébrée en tant que Mère de l'Humanité et Elle oubliée ? Place volée, fierté dérobée, Elle décida de se venger. Si sa progéniture ne pouvait exister, celle de sa rivale n'aurait pas non plus ce doux privilège. Et les cris retentirent, les larmes coulèrent et les morts s'empilèrent. Nuits après nuits Elle était devenue la terreur des vivants. Nuits après nuits Elle arrachait aux familles leurs tendres enfants. Nuits après nuits Elle était devenue créature assoiffée de sang.
Mais cela ne suffisait pas. Leurs magnifiques souffrances n'égalaient jamais les siennes. Alors elle décida d'élargir ses horizons. L'Homme. L'Autre sexe. Ils subirait le courroux au nom d'Adam. Prédatrice sur son terrain de chasse, Elle connaissait les travers et les désirs les plus enfouis des pauvres malheureux qui tombaient sur cette abomination sur pattes. Elle jouait avec sa proie, les plaçait sur un piédestal pour mieux les faire tomber, pour mieux les achever. Succube irrésistible, le malheur de l'Humanité représentait son plaisir.

Qui était-Elle ?

La première femme d'Adam, celle dont on ne retient jamais le nom.
La traitresse de l'Eden, la Renégat.
Plus connue sous le nom de Lilith, Reine des Succubes, Mère des Démons et dévoreuse d'enfants.

Supposément la même qu'aujourd'hui. Mais ici, dans les Otherlands, tout était différent. Elle ne se souvenait pas de son arrivée, simplement de s'être réveillée un beau jour quelque part dans les rues du Royaume Blanc, futur Wonderland, aux alentours de l'année 134 après Alice. Là où la misère régnait, où le désespoir grimpait. Âme déchue réfractaire à l'idée de perpétuer les même atrocités qui l'avait mené en ces terres, goût métallique toujours entre les lèvres, elle refusa de participer à leurs guerres. Sous ses phalanges parfois revenait le fourmillement si familier de ces os broyés, de ces tripes arrachées sous ses excès de rage, sous sa violence bestiale. Hantée par son soi-disant passé, le traumatisme persistait. Alors elle laissa les combats à ceux qui ne connaissaient pas la mort et la politique à ceux incapable du moindre sacrifice pour atteindre leurs objectifs. Ses années de terreur étaient achevées, les nouveaux-nés méritaient de se reposer et les familles de se créer malgré les sanglants affrontements qui s'enchainaient.
Présence fantomatique au creux de son coeur vide, seuls les regrets lui tenaient encore compagnie. Isolée du monde, isolée des autres par peur de blesser autrui, les choses empirèrent lorsque la Créatrice se retira. Désormais, leur univers tout entier menaçait de s'écrouler. La jungle et ses règles prient le dessus sur celles de cette folle société et le monde se revêtit de pourpre. Les plus forts dévoraient les plus faibles, les plus faibles coopéraient pour abattre les plus forts. Au milieu de ce carnage anarchique où la survit était le plus grand prix, la mortelle Démone remonta sur son trône fait de crânes et de suie. Mais ses mains restèrent immaculées, une décision qui la suivrait à vie. Sublime Succube, délicieuse Succube, elle exploita sans scrupules les faibles et charma les forts pour s'assurer une place dans la future société qui renaîtrait des germes semées par le chaos. Mais outre la nécessité de bien s'entourer, sentir ces regards la dévorer et ces corps la quémander satisfaisait le vide que ni le premier Homme ni ses enfants n'avaient jamais pu combler. Elle se sentait aimée, appréciée. Autrefois reniée par Celui qui l'avait créé, ceux qui l'entouraient lui offrait une affection et attention jusque là inégalée. Et elle adorait ça. Leurs yeux embués de désir valaient bien plus que le pain qu'ils pouvaient lui apporter. Ces personnes furent renommés les Chat'rmés.
Mais cet univers incompréhensible était en perpétuel changement, les Alices entrèrent dans la partie. Autrefois bâillonnés, maltraités, destitués de la moindre once de dignité, Lilith se retrouvait dans cette détresse collective innacceptable. Les flammes de la colère se déclenchèrent au sein de son coeur de pierre, la douleur des autres ne lui passait plus au-dessus des cornes. Alors, elle profita de son auditoire subjugué pour élever la voix; elle fut dans les premières à s'insurger et à militer. Petit à petit cette vague prit de l'ampleur et se transforma en véritable tsunami; déferlante sur le Royaume Blanc, ce fut le premier royaume à octroyer des droits à ces pauvres âmes maltraitées. Peu importe s'ils appartenaient à la lignée du Maître et sa Chienne et non de la sienne, c'était la seule chose à faire. D'autres royaumes suivirent mais l'ennemi de guerre refusa de ployer. Mais il était trop tard, l'étincelle de la rébellion était déjà née. Et le Royaume Noir se mit à brûler. Quelle délicieuse vision, elle pouvait imaginer son propre Créateur à la place de du Roi assassiné.
Parmi les nombreux nom qui l'avaient servi, l'un des plus problématiques fut celui d'une certaine Robin Hood. Demoiselle qui s'était entêtée de la Succube, cette dernière avait en retour apprécié les idéaux égalitaires et libéraux de la jeune déjan'thée. Elle représentait une lueur d'espoir chez les nouveaux arrivé. Lorsque la rébellion éclata dans le Royaume Noir, Robin implora l'aide de Lilith pour l'aider à protéger les victimes de la guerre, demande que la Démone considéra longuement avant d'accepter pour la faire taire. Lorsque la paix revint en cette contrée, les liens entre les deux femmes se défèrent tout en restant positifs; cette déjan'thée était montée dans son estime. Mais la guerre ne changeait jamais et les conflits refirent flamber ce Royaume en ruine. Et quand les faibles avaient besoin d'aide, Robin était toujours là pour servir. Lilith eut la surprise de revoir cette créature lui quémander son aide pour cette fois monter sur le trône à la place des incapables qui se le disputaient, de façon à enfin faire régner la paix et l'égalité. Une fois encore la requête fut examinée avec soin. Il ne s'agissait plus d'uniquement protéger les innocents mais bel et bien d'attaquer ceux qui menaçaient cette bancale société. Elle accepta avec un sourire aux lèvres. L'idée d'avoir une chat'rmée sur un trône lui plaisait. La guerre de sa chère fonctionna et au sommet elle grimpa. Lilith cessa de zieuter cet endroit pour se focaliser sur d'autres affaires.
Quelle fut sa surprise lorsqu'elle comprit que la marionette avec la couronne étouffait la population qu'elle avait juré de protéger. Une rage, une colère, Lilith se sentait trompée. Elle ne les massacrait pas, mais les priver de certaines libertés pour de stupides prétextes était ahurissant. Alors, pour la première fois, elle se déplaça jusqu'au Royaume Noir et exigea une audience avec l'Architecte. Ses mots simples, concis, précis. "Abandonne le pouvoir et disparaît avant qu'une jeune demoiselle ne vienne me demander de l'aide pour t'égorger au nom de la Liberté." Robin abdiqua alors et disparue du pouvoir pour laisser sa place, comme demandé.
Leur petit univers continuait de tourner mais d'autres malheureux commencèrent à trinquer à la place des Alices désormais en en pleine santé. Les Nouveau'thés, les bouc-émissaires, les derniers arrivés. Inutile de rappeler ses sentiments vis-à-vis de l'exploitation d'autrui, de la privation de la moindre liberté. Inutile d'expliquer que ce nouveau combat fut le sien, mais contrairement à plus tôt les esprits restèrent hermétiques et les mentalités demeurèrent plus ou moins ainsi. Néanmoins, sa popularité chez eux ne cessa de croître depuis.
Plus tard, la surpopulation devint un rapide problème pour le Royaume Blanc, si bien qu'un nouveau territoire fut créé pour faire face à cette crise : l'Underland. Endroit où les miséreux étaient entassés, où les nouveau'thés étaient exploités, Lilith sut qu'elle devait faire quelque chose. Alors, elle relocalisa son chez-elle dans l'Atlantide où la survie était difficile et reprit son business à l'usuel. Protéger les plus faibles en échange d'un peu d'amour était magnifique.
L'annexion lui passa au-dessus des cornes. Ce type de politique ne l'intéressait guère et elle préférait la laisser aux incapables, elle avait bien trop à faire avec ces chères Nouveau'thés qui apparaissaient constamment dans les rues de son cher Underland, endroit délabré qu'elle n'avait jamais quitté malgré en avoir largement les capacités financières. Les plus malchanceux furent réduits à l'esclavage, les plus chanceux eurent la protection de la Succube et de ses Chat'rmés.
Mais lorsque la vie sembla s'affadir et le quotidien devenir routine, le train apparut et avec à ses côtés une vieille connaissance qu'elle ne reconnut pas de prime abord. Quelle fut sa réaction lorsqu'elle se rendit compte de la réelle identité de ce Vilain personnage qu'elle croyait disparu à tout jamais. Avec sa beauté légendaire, un beau diable dirait-on même. Seule condition pour la rejoindre : une poignée de main et l'âme qui ne lui servait à rien en échange d'un travail sur-mesure, la promesse de rester dans ses petits papiers et un accès illimité au mini-bar.
Depuis ce jour les choses furent bien plus intéressantes. Sphère d'influence étendue aux quatre coins de l'Otherlands grâce à son talk-show endiablé, le nombre de Chat'rmés s'est multipliés à vitesse fulgurante. Autrefois reniée par le Seigneur, sa plus douce vengeance était d'avoir assujetti ses Créations.
"La suite, au prochain épisode mes petits Chats."

Elle est la pureté dévastée par les flammes infernales. Corruptrice fatale, de sa carcasse les regards ne peuvent se détacher et à son charmes les esprits ne réussissent à résister. Longtemps ignorée, longtemps délaissée, elle rayonne sous la lumière des projecteurs comme si elle y était née. Au premier plan depuis si longtemps, elle est l'un des visages phare du Château Ambulant. Vous la connaissez forcément, vous la voyez régulièrement. Comment la décrire simplement lorsque les mots sont incapables de faire honneur à ses traits diablement divins ?
Sur son crâne se complaisent parmi ses mèches autrefois immaculées les résidus de son passé démoniaque : les cendres rougeâtres d'un sang évaporé, tandis que ses prunelles illuminées brûlent d'une soif de reconnaissance inassouvissable que personne ne peut combler. Une taille correcte, identique à celle de son homologue masculin, avoisinant le mètre soixante-quinze pour un poids proche du soixante et quelques. Elle ressemble à toutes les femmes et aucune à la fois, une base sur laquelle repose la création de tout être partageant son sexe. Mais elle n'est pas leur Mère, ne sera jamais considérée comme telle. Parenté dérobée et coeur arraché, son sourire satisfait que nombreux souhaiteraient dévorer ne s'efface jamais lorsque le public l'acclame, lorsque l'audimat s'enflamme. Mais lorsque le rideau s'abaisse, que les ténèbres l'engloutissent, sa joie contagieuse redevient simple artifice. Amertume qui la consume, détresse qui l'habite. Une facette de sa personnalité que ses fans ne pourront jamais observer. Aux côtés de ses mèches enflammées et à la base de sa colonne vertébrale se trouvent les preuves de sa condamnation éternelle, l'image inaltérable de la monstruosité dissimulée derrière cette exquise beauté : ses cornes et sa queue. Excroissances démoniaques, impossible de dissimuler son appartenance au Mal, il s'agissait là de sa cruelle punition pour ses actes immoraux remontant à des temps immémoriaux.
Une voix mielleuse s'échappe de ses lippes, ses cordes vocales vibrent pour votre plus grand plaisir tandis que ses prunelles rouges sang écarlate vous fixent avec malice. Succube habillée en Prada, l'art du paraître n'a aucun secret pour elle. Vêtements, bijoux, maquillage, tout y passe. Bagues et colliers, boucles d'oreilles et bracelets, chaque parcelle de peau est accompagnée d'or et d'argent, de bronze et de diamant. Et pourtant derrière la soie, le cuir et la dentelle se trouve les conséquences de son horrible existence, forte aversion pour son corps l'observer en tenue d'Eve est le plus beau cadeau qu'elle pourrait offrir. Épiderme ventral atrophié, chair nécrotique maltraitée depuis des millénaires, cette pourriture de progéniture l'a massacrée. Amalgame barbare recousu à la va-vite, chaque trace, chaque cicatrice, chaque douleur fut causée par un nom damné qu'elle ne peut prononcer..

Son pouvoir, sa force. Son regard vous enivre, ses lippes vous attirent, impossible pour vous d'oublier ce beau visage, cette magnifique femme. Valse du coeur qu'elle initie, le brasier de votre passion s'enflamme, elle mène la danse et vous ne vous arrêtez pas. Que ce soit pure dévotion ou simple affection, les réactions varient d'un sujet à l'autre mais ses Chat'rmés sont tous influencés : d'une bonne impression au dévouement complet, le spectrum entier est à portée. Les esprits suffisamment forts et malins résistent néanmoins à son charme magique, mais quant à celui physique c'est une tout autre histoire.

Belle Succube, l'attention que lui procure autrui est aujourd'hui source de bonheur. À l'épicentre de ce microcosme offert par la lumière des projecteurs, avoir son nom damné pendu aux lèvres de la société lui procure une joie que rien ne saurait imiter. Ce n'est pas la reconnaissance en elle-même qui lui plaît, mais plutôt cette impression de réellement exister, de vraiment compter.

Chagrin qui afflige la chose qui lui sert de coeur, contrairement aux fans, ses véritables proches la connaissent sous un jour plus saturnien. Comédie qu'elle joue au nom de la renommée, l'amertume de sa réalité fait des ravages sur sa psyché; regrets qui l'habitent, les noms de sa progéniture sacrifiée sur l'autel de la Liberté refusent de s'en aller. Et face au fardeau de la souvenance, le nectar éthylique est son seul allié.

Belle parleuse aux manières impeccables, ses mots sont ses armes. Et elle est une tireuse d'élite. Paroles recherchées, vocabulaire développé, son assurance et sa prestance rassure les méfiants et convainc les réfractaires. Rarement silencieuse, pipelette à mourir, la lancer sur certains sujets de société est un risque; sa langue est capable de montrer l'étendue de ses capacités des heures durant. Et personne n'aime assister à ce supplice, peu importe son taux d'attraction pour la Succube.

La jalousie, l'un de ses plus grands vices. Voir les autres atteindre le sommet ne lui donne qu'une envie : les pousser. La concurrence est le fléau de son existence. Dans certains domaines, ceux dans lesquels son intérêt est généralement minime, elle la considère et peut l'accepter en serrant les poings. Mais dans d'autres, l'audimat ou les traitements de faveur par exemple, ne pas être sur le trône la transforme en furie. Difficile d'accepter d'être deuxième après avoir toujours été la Première …

…  Pour la bonne et simple raison qu'elle se croit au centre de l'univers. Capable du pire pour conserver ce ou ceux à quoi ou qui elle tient, la brutalité de son passé supposé ne s'est jamais dissipé malgré ses efforts et cette viscérale haine s'injecte dans ses veines à la moindre menace. Ecraser les autres pour son propre succès ne lui fait pas peur. Son égoïsme n'a jamais eu de limites et n'en aura jamais.

Alors pourquoi continue-t-elle de protéger à travers ses Chat'rmés les Nouveau'thés de l'Underland ? Puisque la prospérité des uns n'est pas forcément une entrave à son succès, avoir atteint les étoiles lui donne la force pour octroyer une chance à d'autres d'atteindre les nuages; une adepte de la théorie du ruissellement. Mais ce n'est pas tout. Sa soi-disant bonté, comme elle aime l'appeler, est évidemment intéressée. Grâce à cet acte, sa popularité grimpe chez les plus démunis et en retour, ces derniers deviennent plus réceptifs à son charme magique. Et plus de Chat'rmés égale plus d'influence et plus d'influence égale plus de pouvoir. Un véritable cercle vertueux. En résumé … Elle d'abord, vous après.

Et puis il y a la dernière raison. Son profond dégoût pour l'exploitation des autres contre leur gré. Elle sait ce que ça fait. Elle sait parfaitement ce que c'est. Alors elle lutte contre cette abomination qu'une monstruosité comme elle arrive à mépriser. L'esclavagisme est son pire ennemi. Et un jour, elle arrivera à l'éradiquer. Et grâce à ça, elle montera enfin au Panthéon de la renommée.