![Panpan le lapin ~ [Reboot] K5OhCv3](https://i.imgur.com/k5OhCv3.png)
Panpanft. Lan WangJi
Nom civil : Panpan.
Age apparent : une trentaine d’années.
Arrivée/naissance dans les Otherlands : Tu ne comptes plus les années, pourtant tu es bien jeune pour faire partie des meubles. Prendre la poussière ne changera rien au fait que tu es une nouveau’thé pour les illustres noms se bousculant sur ta langue si réticente à prononcer les noms comme les mots.
Orientation sexuelle : une classification sans but précis, pourtant tu te l’es demandé toi aussi, ce qui te plait.
Groupe : Memeland
Race : Nouveau'thé ?
Origine : Bambi (bonjour Disney, bien que je me procurerais le roman).
Fonction : Teneur d'une boutique de babioles à réparer, de visage à remodeler, tu sers de vide grenier, tu rachètes et on t'achète.
Âme :Tu la possèdes toujours, mais qu'est-ce qu'une âme pour quelqu'un comme toi dont les états ne sont guères liés à elle ? Ton talisman est bien caché, même si tu n'y tiens pas.
Particularité : Aucune saleté ne peut t’atteindre, hormis celles que tu t’infliges.
Pouvoir : Tu modèles et remodèles à ta guise toute matière qu’elle soit vivante ou inanimée. Tu ne peux guérir ni les maux ni les plaies et cela vaut aussi pour les remises en fonction. Tu restaures, tu modifies, en rien cela n’est un succès garanti. Tes seules limites sont ton imagination, la surface atteignable par tes doigts et ton endurance. Aussi, tu ne peux toi-même te modifier à moins d’accepter quelques plaies là où tu ne peux les atteindre.
Classe sociale : Tu es si propre sur toi que l’on ne peut faire l’impasse sur tes origines. Pourtant tu es déchu, car plus personne n’entretient ton nom comme elle le faisait. Alors, tu vis selon tes propres moyens et ils ne sont pas conséquents, sans être dérisoire. Modeste, à peine au-dessus de la moyenne en dépit de tes tenues soyeuses, vestiges précieusement gardés de ces temps où l’opulence était ton berceau.
Tes cheveux ébène font des envieux à flotter au vent sans en être décoiffés. Quelques mèches se coincent dans un bijou le plus souvent argenté, assorti à ces tenues particulières que tu aimes tant porter. Elles s’accordent à merveille, du nacré à l’opalin à tes yeux oscillant entre l’or et l’azur.
Si tu n’étais pas si terne de ta peau laiteuse et que tes goûts se fondaient avec ceux de tes semblables, peut-être aurais-tu été la discrétion incarnée, car rien ne semble t’atteindre. La porcelaine ne se fissure que très rarement, contrastant alors de ton assurance avec la finesse de tes traits. Mais cette rudesse s’estompe au profit d’une réserve où l’on croit déceler une tristesse permanente faisant rougir la bordure de tes yeux. On devine que tu es peu causant et que ton calme olympien abrite des séquelles que tu voudrais oublier.
Toutefois, personne n’est enclin à percer ta bulle. Tu es grand, tes épaules sont larges et pourtant sous les nombreuses couches de vêtements ta taille se dessinerait fine. Rien n’est indice à ta carrure hormis peut-être la droiture de ton dos, encore leurre laissé aux jugements faciles. Il est couvert de ces stigmates, de ta nuque aux omoplates, longeant toute la surface jusqu’au creux de tes reins. Marques indélébiles plus pigmentées que le reste, difformités sensibles que tu te gardes de dévoiler, pourquoi le ferais-tu de toute façon ? Tu le protèges par réflexe, tes mains ne se baladent pas lorsque tu marches, elles demeurent croisées, logées contre lui. Seul un bras s’en échappe au besoin, gracieux comme le moindre de tes gestes dans une douceur redoutable par ton adresse.
Si tu n’étais pas si terne de ta peau laiteuse et que tes goûts se fondaient avec ceux de tes semblables, peut-être aurais-tu été la discrétion incarnée, car rien ne semble t’atteindre. La porcelaine ne se fissure que très rarement, contrastant alors de ton assurance avec la finesse de tes traits. Mais cette rudesse s’estompe au profit d’une réserve où l’on croit déceler une tristesse permanente faisant rougir la bordure de tes yeux. On devine que tu es peu causant et que ton calme olympien abrite des séquelles que tu voudrais oublier.
Toutefois, personne n’est enclin à percer ta bulle. Tu es grand, tes épaules sont larges et pourtant sous les nombreuses couches de vêtements ta taille se dessinerait fine. Rien n’est indice à ta carrure hormis peut-être la droiture de ton dos, encore leurre laissé aux jugements faciles. Il est couvert de ces stigmates, de ta nuque aux omoplates, longeant toute la surface jusqu’au creux de tes reins. Marques indélébiles plus pigmentées que le reste, difformités sensibles que tu te gardes de dévoiler, pourquoi le ferais-tu de toute façon ? Tu le protèges par réflexe, tes mains ne se baladent pas lorsque tu marches, elles demeurent croisées, logées contre lui. Seul un bras s’en échappe au besoin, gracieux comme le moindre de tes gestes dans une douceur redoutable par ton adresse.
Calme / Asocial / Taciturne (voire muet pour certains) / Délicat / Capricieux / Naif / Attentif / Lunatique / Maniaque / Patient / Artistique
De tes mauvais côtés, on ne voit que l’ombre, car tu rayonnes par ton calme et l’absence de paroles. Tu en es pourtant doté, mais rares sont les mots à sortir de ta bouche. Tu es muet pour qui n’a pas eu la chance de te connaître insouciant. Il n’est point sujet à débattre, tu as appris à te taire quand tu as saisi ne pas savoir les manier avec autant d’habileté que tes paires et les tiens sont blessants, plus qu’ils ne rassurent, c’est ta malédiction.
Sur tes traits, on remarque aisément les brefs sourires, les tourments, tu es un livre ouvert lorsque tu souhaites transmettre et un modèle d’indifférence si la discrétion de tes émotions s’impose. Tu les comprends chez les autres, mais ne les exprimes pas toujours comme escompté.
Ton cœur est pur, il est facile d’en abuser, candide petite chose aux espoirs multiples. Brisé comme un miroir à force d’y croire, peut-être parce que tu te laisses porter par tes caprices, même lorsque tu n’oses les réclamer. Ils sont peu et originaux, mais ce n’est pas le sujet. Tu n’aimes guère parler ou faire parler de toi car ton nom indélicat ne rend pas justice à la patience et l’attention que tu portes tant aux autres qu’à tes œuvres. Les considères-tu comme telles, lorsqu’ils te remercient tout sourire d’avoir été modulé selon leurs souhaits par tes caresses ?
Non, tu n’aimes pas être remercié, comme tu désapprouves de changer ce qui a été fait, mais tu l’exécutes sans médire et t’en abreuves tant d’argent que de ta propre existence. Si tu pouvais t’appeler autrement, aurais-tu le cran d’accepter ? Tu es capable de refuser, sur un coup de tête, impulsivité fréquente lorsque ton intérêt se porte sur plus captivant.
Devrions-nous parler de ce qu’il en est ? Dessiner des heures durant pour entendre le bruit du crayon frotter le papier jusqu’à satisfaction du croquis fait partie de tes petits plaisirs où la patience est maîtresse du moindre geste. La simplicité de contenter ton estomac de quelques fruits et de prendre un bain-de-soleil t’apaise au point d’en somnoler. La chaleur ne t’incommode pas, tu préfères cependant voir les extrémités de tes doigts, ton nez ou tes oreilles rougis par le froid qu’être soumis aux températures trop hautes, non pour toi, mais pour l’incapacité des autres à se montrer aussi vif. Nul doute que ton esprit l’est selon ton degré d’écoute, car il se peut que tu te laisses porter par tes sautes d’humeur, tu es assez lunatique au fond.
Quant à ce que tu n’aimes pas, c’est être humilié, blessé dans ta fierté et pourtant tu n’en laisses rien remarquer, tu as même tendance à oublier avec le temps, peu rancunier. Si tu l’avais été, peut-être que ça te tuerait plus vite, tu sais ? Tu ne veux pas, bien sûr, parce que tu t’inquiètes et qu’il serait livré à lui-même. Trop de choses t’échappent et ça te contrarie. Tu n’y remédies pas, tu restes passif et toujours dans le chemin que l’on a tracé pour toi où le respect en devient absurde, mais tu ne t’en rends compte que plus tard, même si ça te soulage sur le coup d’être aussi droit que l’on t’a éduqué.
Enfin, tu n’aimes pas être touché, toi qui façonnes la matière de tes phalanges, tu as tendance à désapprouver catégoriquement qui franchit le seuil de ton espace personnel sans y avoir été invité. Le contact t’irrite, t’agace, jusqu’à ce que tu l’interdises, tu es maniaque à ce point.
De tes mauvais côtés, on ne voit que l’ombre, car tu rayonnes par ton calme et l’absence de paroles. Tu en es pourtant doté, mais rares sont les mots à sortir de ta bouche. Tu es muet pour qui n’a pas eu la chance de te connaître insouciant. Il n’est point sujet à débattre, tu as appris à te taire quand tu as saisi ne pas savoir les manier avec autant d’habileté que tes paires et les tiens sont blessants, plus qu’ils ne rassurent, c’est ta malédiction.
Sur tes traits, on remarque aisément les brefs sourires, les tourments, tu es un livre ouvert lorsque tu souhaites transmettre et un modèle d’indifférence si la discrétion de tes émotions s’impose. Tu les comprends chez les autres, mais ne les exprimes pas toujours comme escompté.
Ton cœur est pur, il est facile d’en abuser, candide petite chose aux espoirs multiples. Brisé comme un miroir à force d’y croire, peut-être parce que tu te laisses porter par tes caprices, même lorsque tu n’oses les réclamer. Ils sont peu et originaux, mais ce n’est pas le sujet. Tu n’aimes guère parler ou faire parler de toi car ton nom indélicat ne rend pas justice à la patience et l’attention que tu portes tant aux autres qu’à tes œuvres. Les considères-tu comme telles, lorsqu’ils te remercient tout sourire d’avoir été modulé selon leurs souhaits par tes caresses ?
Non, tu n’aimes pas être remercié, comme tu désapprouves de changer ce qui a été fait, mais tu l’exécutes sans médire et t’en abreuves tant d’argent que de ta propre existence. Si tu pouvais t’appeler autrement, aurais-tu le cran d’accepter ? Tu es capable de refuser, sur un coup de tête, impulsivité fréquente lorsque ton intérêt se porte sur plus captivant.
Devrions-nous parler de ce qu’il en est ? Dessiner des heures durant pour entendre le bruit du crayon frotter le papier jusqu’à satisfaction du croquis fait partie de tes petits plaisirs où la patience est maîtresse du moindre geste. La simplicité de contenter ton estomac de quelques fruits et de prendre un bain-de-soleil t’apaise au point d’en somnoler. La chaleur ne t’incommode pas, tu préfères cependant voir les extrémités de tes doigts, ton nez ou tes oreilles rougis par le froid qu’être soumis aux températures trop hautes, non pour toi, mais pour l’incapacité des autres à se montrer aussi vif. Nul doute que ton esprit l’est selon ton degré d’écoute, car il se peut que tu te laisses porter par tes sautes d’humeur, tu es assez lunatique au fond.
Quant à ce que tu n’aimes pas, c’est être humilié, blessé dans ta fierté et pourtant tu n’en laisses rien remarquer, tu as même tendance à oublier avec le temps, peu rancunier. Si tu l’avais été, peut-être que ça te tuerait plus vite, tu sais ? Tu ne veux pas, bien sûr, parce que tu t’inquiètes et qu’il serait livré à lui-même. Trop de choses t’échappent et ça te contrarie. Tu n’y remédies pas, tu restes passif et toujours dans le chemin que l’on a tracé pour toi où le respect en devient absurde, mais tu ne t’en rends compte que plus tard, même si ça te soulage sur le coup d’être aussi droit que l’on t’a éduqué.
Enfin, tu n’aimes pas être touché, toi qui façonnes la matière de tes phalanges, tu as tendance à désapprouver catégoriquement qui franchit le seuil de ton espace personnel sans y avoir été invité. Le contact t’irrite, t’agace, jusqu’à ce que tu l’interdises, tu es maniaque à ce point.
Ta vie aurait été plus facile s’il n’était pas là, si tu ne te mêlais pas sans cesse de ses affaires. C’est plus fort que toi, peu importe ce qu’il fait, les coups te reviennent et tu ne dis rien parce que tu crois les mériter, lui soustraire ses souffrances dans l’espoir qu’un jour il te sourit comme autrefois.
Tu te souviens de lorsque vous l’avez recueilli en pensant bien agir et qu’il a fait de la vie des tiens un enfer. De tous, il n’y a que toi qui l’acceptes encore. Même lorsque tu ne le cherches pas, vos chemins se croisent et s’entremêlent pour quelques maux supplémentaires et tu ne t’en plaindras pas, comme toujours. Tu ne sais pourquoi son regard une fois posé sur toi le change. Il devient un autre, incontrôlable, désireux de pousser le vice toujours plus loin, mais rien ne te salit et lorsqu’il s’y essayait c’est lui qui en était éclaboussé. Alors, il a trouvé une parade et celle-ci fonctionne si bien… pourquoi étais-tu si réceptif ? Ou du moins tu l’as laissé faire et il s’en satisfait encore aujourd’hui.
Un frisson dévale ta colonne lentement, tu n’aimes pas mal penser de lui parce que tu sais ce qu’il a traversé. Ta mère t’a bien appris les bonnes manières et tu as hérité d’une gentillesse plus cruelle que la sienne pour tolérer bien des menaces, là où elle a échoué. Si ton cœur tient encore, le sien n’a pas su être guidé et son esprit s’est envolé, si désolée de ne pouvoir t’aider à le raisonner qu’elle l’a perdu à tout jamais. Tu t’es senti responsable à ton tour d’avoir fait peser sur ses frêles épaules cette charge trop importante. Aucun de vous ne l’a demandé, simple courtoisie devenue pureté de sentiments qui vous consument lentement. Si lentement que toi, tu ne sais encore quand il t’emportera, peut-être bien de la même façon.
Ta rédemption, c’est cette boutique modeste, où tu répares tant les gens que les objets, te déplaçant parfois lorsqu’on ne peut venir à toi. Souvent, tu en profites pour trouver des pièces sans valeur aucune que tu pourras modeler et intégrer à d’autres mécanismes et donner une seconde chance à quelques babioles ou trésors. Tu ne cherches ni gloire ni faveur à obtenir et refuses d’être complice de mensonges quand bien même tu en as toi-même usé. Tu ne sais que trop bien ce qu’il en coute de sortir des sentiers. Créer le tien dans la légalité t’a été bénéfique pour avoir côtoyé les chemins brumeux.
Pourquoi es-tu si seul ? Ils auraient voulu croire que ta culpabilité te poussait à le suivre et que tu leur reviendrais. Mais tu leur as prouvé le contraire en te dissociant d’eux, à commencer par ton apparence une fois suffisamment exercé sur de petits objets. Un croquis, un miroir et tes mains, ces grandes oreilles argentées ont disparu. Tes yeux sont passés de l’or au jade, puis à l’azur. Tu aurais pu perdre la vue parmi tant de choses et tu as récidivé pour quelques moments de liberté à ne plus être Panpan.
Tu y as pris goût et t’es laissé tenter, jusqu’à manquer des bras de ta mère et de ses tendres baisers, puis des ennuis que Bambi t’apportait. Tu les avais tous abandonnés et ta peau s’en était à jamais vue marquée, comme si cette faculté qui était tienne se jouait de toi. Tous pouvaient en profiter sans conséquence sinon leur conscience et toi, tu écopais de nouvelles cicatrices là où il t’était impossible de les atteindre. Alors tu as arrêté de te faire du mal en redevenant toi-même et en cessant de fuir ce qui t’était si cher. Ils ne t’ont pas rejeté, non par compassion, mais par pitié. Voilà ce qu’est ta vie et tu l’apprécies comme elle est désormais, embrassant chaque chaos que tu as engendré.
Tu te souviens de lorsque vous l’avez recueilli en pensant bien agir et qu’il a fait de la vie des tiens un enfer. De tous, il n’y a que toi qui l’acceptes encore. Même lorsque tu ne le cherches pas, vos chemins se croisent et s’entremêlent pour quelques maux supplémentaires et tu ne t’en plaindras pas, comme toujours. Tu ne sais pourquoi son regard une fois posé sur toi le change. Il devient un autre, incontrôlable, désireux de pousser le vice toujours plus loin, mais rien ne te salit et lorsqu’il s’y essayait c’est lui qui en était éclaboussé. Alors, il a trouvé une parade et celle-ci fonctionne si bien… pourquoi étais-tu si réceptif ? Ou du moins tu l’as laissé faire et il s’en satisfait encore aujourd’hui.
Un frisson dévale ta colonne lentement, tu n’aimes pas mal penser de lui parce que tu sais ce qu’il a traversé. Ta mère t’a bien appris les bonnes manières et tu as hérité d’une gentillesse plus cruelle que la sienne pour tolérer bien des menaces, là où elle a échoué. Si ton cœur tient encore, le sien n’a pas su être guidé et son esprit s’est envolé, si désolée de ne pouvoir t’aider à le raisonner qu’elle l’a perdu à tout jamais. Tu t’es senti responsable à ton tour d’avoir fait peser sur ses frêles épaules cette charge trop importante. Aucun de vous ne l’a demandé, simple courtoisie devenue pureté de sentiments qui vous consument lentement. Si lentement que toi, tu ne sais encore quand il t’emportera, peut-être bien de la même façon.
Ta rédemption, c’est cette boutique modeste, où tu répares tant les gens que les objets, te déplaçant parfois lorsqu’on ne peut venir à toi. Souvent, tu en profites pour trouver des pièces sans valeur aucune que tu pourras modeler et intégrer à d’autres mécanismes et donner une seconde chance à quelques babioles ou trésors. Tu ne cherches ni gloire ni faveur à obtenir et refuses d’être complice de mensonges quand bien même tu en as toi-même usé. Tu ne sais que trop bien ce qu’il en coute de sortir des sentiers. Créer le tien dans la légalité t’a été bénéfique pour avoir côtoyé les chemins brumeux.
Pourquoi es-tu si seul ? Ils auraient voulu croire que ta culpabilité te poussait à le suivre et que tu leur reviendrais. Mais tu leur as prouvé le contraire en te dissociant d’eux, à commencer par ton apparence une fois suffisamment exercé sur de petits objets. Un croquis, un miroir et tes mains, ces grandes oreilles argentées ont disparu. Tes yeux sont passés de l’or au jade, puis à l’azur. Tu aurais pu perdre la vue parmi tant de choses et tu as récidivé pour quelques moments de liberté à ne plus être Panpan.
Tu y as pris goût et t’es laissé tenter, jusqu’à manquer des bras de ta mère et de ses tendres baisers, puis des ennuis que Bambi t’apportait. Tu les avais tous abandonnés et ta peau s’en était à jamais vue marquée, comme si cette faculté qui était tienne se jouait de toi. Tous pouvaient en profiter sans conséquence sinon leur conscience et toi, tu écopais de nouvelles cicatrices là où il t’était impossible de les atteindre. Alors tu as arrêté de te faire du mal en redevenant toi-même et en cessant de fuir ce qui t’était si cher. Ils ne t’ont pas rejeté, non par compassion, mais par pitié. Voilà ce qu’est ta vie et tu l’apprécies comme elle est désormais, embrassant chaque chaos que tu as engendré.
![Panpan le lapin ~ [Reboot] 2mBAsYY](https://i.imgur.com/2mBAsYY.gif)
![Panpan le lapin ~ [Reboot] 885569349](/users/4212/13/04/40/smiles/885569349.gif)
Tu vas voir, on y est bien.![Panpan le lapin ~ [Reboot] 1519894569](/users/4212/13/04/40/smiles/1519894569.gif)
Félicitations, tu es validé! ![Panpan le lapin ~ [Reboot] 3019434634](/users/4212/13/04/40/smiles/3019434634.gif)
contente que le personnage te plaise et très hâte aussi que Bambi arrive ~ il est ultra cool aussi uwu et je compte bien avoir des amis avec Panpan, même s'il est particulier (je crois que les lapins sur Otherlands sont maudits, pas toi ? xD) 