The otherlands
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 And falling's just another way to fly ● Betty Moth

Apple Jack
Baron du Crin
Icône : And falling's just another way to fly ● Betty Moth C4b6397d55a91e88fac9d9dce8e4dc9e48e5919c
Citation : “I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours.”
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Apple Jack
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And falling's just another way to fly
Y a des personnes amicales, d'autres non. Et puis y a toi, Jack, le mec pour qui les inconnus ne sont que des amis à rencontrer. Ce même mec qui traîne des caisses d'alcool de contrebande à travers les contrées ravagées des Lostlands. Ce type au sourire trop niais qui compatis avec les existences hantant le Chateau Noir. Des âmes coincées dans un royaume à l'abandon, des chevaliers restés sans guerres à mener, sans ennemis vers qui pointer leur lame. Contraints à observer le monde continuer de ne plus tourner rond sans eux. Tu te dis que les plaisirs doivent être rares en ces terres désolées, alors tu leur ramène un peu de chaleur, les paradis artificiels que tu offres aux habitants de l'Underland. Le réconfort d'un jour qui se meurt dans un verre de liqueur amère, et ton putain de sourire de poney trop joyeux. Tu abandonnes ta cariole à l'essieux crinçant à l'entrée du labyrinthe absurde d'échelles et d'escaliers où le haut et le bas se confondent.

Tu t'y repères étrangement aisément pour quelqu'un qui n'est pas d'ici. Mais toi t'es un peu de partout et de nulle-part, chez toi c'est là où tes pas te mènent. Ou le colis. C'est comme ça que t'as atterris à Wonderland, tu t'souviens ? T'as même pas bronché. T'avais tout perdu mais tu t'es reconstruit avec insouciance. Nulle guerre ni frontière ne saurait empêcher ton cœur d'en toucher d'autres. Ce dédale tu l'as si souvent parcouru que tu le connais désormais aussi bien que l'Underland ou Poneyville. Les premières fois tu t'y étais échoué par erreur et des locaux t'avaient aidé. T'es resté un temps, on a fini par se prendre d'affection pour toi, se faire un sang d'encre à chaque fois que t'entreprenais de t'aventurer dans le labyrinthe. Si bien qu'on t'avais attribué un guide. A force d'errances, t'as fini par retenir la configuration de l'endroit. T'as fini par rentrer chez toi, mais tu reviens chaque mois pour tes livraisons.

On t'accueille toujours à bras ouverts. Enfin, c'est surtout l'alcool et les pommes qui sont les bienvenus. Tu t'en fous, du moment que tu peux apporter quelques sourires, ça en vaut la peine. Les serviteurs du palais sont attablés autour de la table du maître qui n'est plus, s'enivrant de bière fraîche ou de rhum de ta confection. L'odeur de la tarte aux pommes et de la cannelle embaume la pièce alors que les rires s'élèvent et les esprits s'échauffent. Tu retrouves l'atmosphère familière de ta taverne de l'Underland entre ces murs froids, figés dans le temps. Tes yeux qui se parent des couleurs de l'infini, rais de lumières bariolées qui filtrent au travers des vitraux des anciens rois ornant la salle à manger royale. Des épitaphes qui observent la déchéance d'un royaume autrefois prospère dont la domination s'étendait sur le monde.

T'as rien contre le royaume noir. C'est pas la guerre qui t'as pris ta famille de naissance, tout au plus, elle t'as offert ta famille de cœur. T'aimes pas la guerre, mais t'as rien contre les meurtriers qui t'entourent. Tu te dis qu'c'est juste l'époque qui veut ça. Chacun à sa propre misère sur les épaules, pas besoin de les accabler de celle du monde. Tu observes la fine remontée des bulles dans ta bière ambrée quelques instants avant de te l'enfiler d'une traite. Ta chope vient percuter brutalement la table de bois finement ouvragée alors que tu laisses échapper un soupir satisfait. Tu te relèves, grimpes sur la table, t'empares d'une bouteille, remplis les verres vides en faisant le pitre. Tu chantes à tue-tête les chansons des mineurs de l'Underland, ta voix d'ange rendue rauque par l'enivrement, personne ne chante comme toi, Jack. Avec ton accent campagnard et des sonorités improbables venues d'on ne sais où.

Tu chantes pas juste, mais il y a quelque chose de fascinant dans le cœur que tu mets à mettre l'ambiance. Tu t'empares d'une main tendue et l'entraîne à ta suite sur la table, tu fais tourner ce corps à l'équilibre incertain, prenant soin de dégager les verres sous ses pas d'un habille coup de botte crasseuse. Les joues de la demoiselle s'empourprent lorsqu'elles rencontrent la peau éternellement nue de ton torse. Faut dire qu't'es bien gaulé dans l'genre bouseux. Tu t'empares d'autres mains, les attire à toi, s'entame alors une ronde irrévérencieuse sous les regards accusateurs des anciens rois. Les voix s'élèvent à la suite de la tienne, entamant des chants de ce pays. En profonde méconnaissance des paroles tu te mets à balancer ce qui te passe par la tête sur la mélodie entonnée par les autochtones. C'est un joyeux bordel dont tu t'ennivres.

Toujours ton verre à la main, dont le contenu s'est amplement déversé sur le meuble, tu finis par trébucher et t'écraser par terre dans un rire tonitruant. T'es pas bourré, il t'en faut plus, bien plus, mais faut dire que c'est pas évident d'esquiver les carcasses éméchées de plus en plus nombreuses des serviteurs. Tu décides de t'éclipser de la fête, emportant une bouteille de rhum à ta suite. Tu te perds dans les couloirs de la bâtisse, finis par traverser la première porte qui s'offre à toi et t'engouffrer dans la pièce où le silence règne en maître. La bibliothèque. 

Autour de toi, les grands esprits te dardent du haut de leurs étagères. Des pages jaunies où les chevaliers affrontent probablement des dragons pour sauver une quelconque princesse, les étranges fantasmagories des esprits savants. Toi, t'en sais rien. Tu sais pas lire. Alors pour toi, ces puits de connaissance ne sont rien de plus que des pavés poussiéreux. Tu t'en empares, fait dégringoler les couvertures aux couleurs plus ou moins vives dans tes bras. Tu entasses le papier comme une pie amasse les objets qui brillent dans son nid. Par ennui, par tu sais pas trop quelle pulsion bizarre te pousse à faire des tours de livres, mais le résultat est là.

Tu construis un nouveau palais, érigé à la gloire de ton esprit embrumé. Certains sont bien en train de se rouler par terre, alors tu vois pas en quoi vider les étagères pour t'en faire une maison précaire pourrait être considéré comme répréhensible. Tu t'allonges dans un tombeau de connaissances qui te seront toujours étrangères, ta bouteille de vieux rhum artisanal pour seule compagne dans l'obscurité. Tu te remets à fredonner une quelconque chanson de piraterie, humant l'odeur de la cellulose en décomposition se mêlant à celle de ton haleine ambrée. Tu agites tes bras, fais un ange dans la marée de livres tel un enfant dans la neige. Tu laisses échapper un ricanement. T'es bien là.
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And falling's just another way to fly
Nouvelle nuit, nouveau jour.

Nouveau contrat, nouvelle paye.

Nouveau passage devant le Noir Château du Roi disparu.

C’était un rituel à chaque retour dans ses belles landes grisâtres perdues au fin fond des Otherlands. Les murs d’enceintes titanesque de la forteresse abandonnée trouvaient leur paroxysme sous la forme de deux portes onyx complètement inviolables. Cette mission s’était bien passée, Betty rentrait avec un sac empli d’importantes ressources pour survivre dans ces terres hostiles : des vêtements, des parfums, un nouveau lit et quelques objets un peu moins gracieux. La hotte qu’elle transportait par-dessus son épaule pleine à craqué était faite d’une toile à la résistance surprenante. Un accessoire nécessaire au vu de la finesse de celle qui l’employait.

D’un geste ample elle laissa tomber son sac sur le pavé de la rue avant de s’approche des monolithes noirs d’un pas menaçant. Aujourd’hui. Aujourd’hui elle pouvait le sentir elle parviendrait à pénétrer dans ce château. Cela faisait des années, non, des décennies qu’elle mettait ces portes à l’épreuve et aujourd’hui serait le jour où elles céderaient.

Le contact de sa main, presque frêle, sur la pierre la fit frissonner. Pas de froid, non, loin de là. Elle frissonnait de nostalgie, des souvenirs qui la submergeait à chaque quoi qu’elle entrait en contact avec les gardiennes de son passé si chéri et si lointain. Elle soupira en fermant les yeux, visionnant les batailles et le sang, les guerres et les flammes. Douces visions d’une époque révolue, aujourd’hui seul la paix factice et amère s’étendait sur ce monde de moins en moins déjanté.

« Mh… »

Lentement Betty posa sa deuxième main sur la deuxième porte avant de prendre une grande inspiration. En position pour se mettre à pousser de toutes ses forces la mercenaire ne se retint pas plus longtemps.

On aurait pu croire à un mouvement subtil, un mollet qui se replace, un pied qui prend un meilleur appui, les hanches qui s’oriente dans un angle plus aigu. Betty ne semblait pas bouger d’un millimètre. Après tout qu’aurait-on pu attendre d’une simple Déjan’thé face à ces titans sombres ? Douce ironie.

Car avec un peu de curiosité, en tendant l’œil et l’oreille on pouvait voir la poussière tomber des murailles qui fébrilement, légèrement, tremblaient. Car si les portes étaient des titans d’onyx, Betty serait l’archiviste de leur inexorable chute. Le simple frémissement des murailles se transforma en vrombissement alors que des légères fissures commençaient à se dessinait ça et là dans les pierres qui la composaient.

Encore quelques petits efforts… juste un peu…

Les secondes, pourtant peu nombreuses, semblaient interminables alors que ses bras la faisaient souffrir tellement elle leur demandait un effort surhu… sur-… surthé ? Sureté ? A cette pensée volatile sa détermination s’effondra et sa poussée sur les portes du palais prit fin… Dans la sueur et la déception.

« Saleté ! »

L’injonction accompagnée d’un coup de poing s’écrasa sur les portes silencieuse, résonnant comme un gong à travers l’immensité des ruines…


Nouvelle nuit, nouveau jour.
Nouveau passage devant le Noir Château du Ro---

« C’est pas bientôt fini ce boucan ! »

. . .

Huh ?

A droite ? Rien. A gauche ? Rien. Lentement, très, très lentement, Betty leva les yeux vers le ciel sombre et les sommets de la muraille.

« Tu crois pas qu’on en a marre de t’entendre taper sur cette porte toutes les semaines un jour ?! »

Un Déjan’thé se trouvait là, tout en haut de ces murailles qui lui étaient depuis si longtemps inaccessible. Comment ? Pourquoi ? Betty ne comprenait pas.

« Et puis si t’as tellement envie de rentrer dans ce château, passe par le trou ! »

Le… trou ?

« Le… trou ?
- Bah oui le trou ! Tu penses qu’on rentre comment sinon ? Un peu plus loin y’a un trou dans la muraille, y’a même une cariole qui est arrivé avec des pommes et du bon alcool ! »

Bouche bée Betty béate longea le mur et après seulement quelques dizaines de secondes elle arriva devant une béante bouche prête à l’avaler.



Le monde de Betty venait de s’effondrer.

Penaude, dans le chaos de l’incompréhension elle s’aventura dans le labyrinthe de son cher palais simplement guidé par sa lointaine et enfouie mémoire des jours meilleurs. Peut être qu’elle passa devant des fêtards, peut être qu’elle passa devant des corps sans vie, elle ne sait pas. Elle déambulait, déambula et trébucha.

Les pieds pris dans un livre elle s’écrasa sur le sol glacial des pierres de cette maison qu’elle n’avait jamais pu retrouver. Soudainement ramené à la réalité elle se releva d’un coup, guidé par ses reflexes de mercenaires plongé dans une situation dangereuse et inconnue.

« Qui est là ! Montrez vous ! »

Elle ne tombait pas d’habitude. Si elle était tombée ce n’était pas sa faute. Si elle… ou était-elle déjà ?

Apple Jack
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And falling's just another way to fly
Y a ta voix qui écoche le silence solennel des lieux. Elle s'élève comme un majeur dressé face aux grands de ce monde. A cette rigueur morte qui tapisse les murs refroidis du château noir comme un revêtement. Qui s'émiette, se fissure au fil des rires et de l'usure. Des hommes sans bannière, sujets las d'attendre l'ascension d'un nouveau souverain, d'une nouvelle cause à laquelle se rallier. Qui se sont perdus à avoir trop attendu, qui tentent de retrouver leur gloire perdue au fond des verres que tu leur sers. Un autre royaume, d'autres visages, la même histoire. Qu'à Poneyville, que dans l'Underland. Ce monde ne tourne plus rond, avec ou sans souverain, dans les contrées séculaires comme dans les nouvelles terres. Et tout c'que t'as trouvé à faire c'est d'éclairer ces ténèbres de tes sourires un peu naïfs, de bonheurs artificiels et liquoreux. T'aimerais faire plus, mais t'as pas encore trouvé. Ton esprit est toujours lent. Alors dans l'attente d'une quelconque illumination, tu tentes de rendre l'agonie un peu plus supportable. Mais tu le vois, que les verres en guise de bouée de sauvetage c'est pas l'idéal pour rester à la surface.

Y a la morsure du froid contre ton dos, l'odeur de la cellulose en décomposition qui caresse tes narines, et les poussières qui dansent dans les rais de lumière diaphane. C'est comme un instant figé dans le temps. Dans ce silence qui regagne les lieux maintenant que ta voix s'est tue, simple remous à la surface de cet océan de solitude. Tu observes les couvertures multicolores qui jonchent le sol de la bibliothèque, des arcs-en-ciel de pensées qui te resterons à jamais étrangères. Combien de dragons attendent là d'être terrassés, combien de discours d'être lus, de thèses d'être confrontées ? Il y a à tes pieds tout un océan de mots et de verbes qui se mélangent en une bouillie incompréhensible de sentiments contradictoires. Mortier de pensées et pierres de recueils pour un joli château de songes ? Tu en fais des tours de Babel qui ne seront jamais déchiffrées, uniquement observées. De simples pavés vidés de leur ipséité. Trésors augustes réduits à l'état de jouets pour enfants, simples briques colorées, sans valeur.

Tu t'empares de l'un deux, un volume rouge à la couverture frappée d'arabesques dorées entre tes doigts d'ouvrier. Tu viens l'ouvrir et laisses ton regard parcourir les lignes sombres nichées dans ses entrailles. Les caractères te semblent comme des formules ésotériques. Tu les observes d'un regard circonspect, tentant d'imaginer la fougue féroce qui emporte et abandonne les cœurs, la violence des échanges ou des batailles... Tu n'en sais rien. Ca ne te dis rien. Tout ce que tu sais des bouquins c'est les histoires du soir lues par la voix rocailleuse de Granny. Les longues éloges que tu as pu capter de ton oreille distraite lors d'échanges entre nobles de l'Uperland au vocabulaire trop complexe pour que tu puisses le déchiffrer. Tu n'as rien contre les livres, au contraire, ils t'intriguent. Mais apprendre à lire était trop compliqué pour ta petite tête. Et ta vie de labeur ne t'a jamais laissé le luxe d'y allouer le temps nécessaire. Tu prends une gorgée de boisson, quelques secondes qui s’écoulent entre tes lèvres. Un soupir, et t'envoie le livre s'écraser contre une tour qui éclate, déversant les bouquins sur le sol.

Puis le silence. Encore. Quelques instants qui te filent entre les doigts. Tu ne sais plus comment les meubler. Tu te demandes ce que tu pourrais bien faire à présent que les ventre sont ronds et les esprits égayés; embrumés. Tu devrais rentrer. Mais la route est longue et la fatigue du trajet pèse sur ton corps. Peut-être que tu devrais rester finalement, dormir sous les couvertures de connaissances, les laisser consteller tes rêves de questionnements vains. Tu restes immobile, perdu dans tes songes. Et puis y a le fracas qui vient déchirer le calme olympien des lieux. Ton décors s'illumine d'une présence nouvelle. D'une gestuelle vive, elle s'agite, sa voix s'élève, impérieuse. Ordonne. Un sourire étire tes lèvres alors que tu te redresses, laissant les livres qui te recouvrent cascader sur le sol, s'ajouter à la marrée noire d'idées anarchiques. Tu t'étires dans un bâillement peu discret, ta fidèle compagne liquoreuse toujours à la main. Tu frappes ton short pour en retirer la poussière, le torse toujours nu, ton chapeau orange trônant toujours fièrement sur ta tête. Ton sourire se fait plus large tandis que tu t'approches d'elle. Tu lui réponds, de ton accent campagnard, mâchant tes mots comme à ton habitude.

- Mh... Désolé ma p'tite dame, vous étiez trop loin pour que j'vous rattrape ! Rien d'cassé ? 

Tu as ce ton avenant et rassurant, cet air débonnaire et benêt qui traîne sur ton visage alors que tu lui tends ta main, cette main rendue calleuse par le travail manuel.

- Enchanté, moi c'est Apple Jack ! Et vous ? Vous n'étiez pas avec les autres j'crois ? Que faites vous là ? Si c'est pour un bouquin, désolé, j'ai un peu revu l'organisation des lieux...     

Et tu laisses échapper ton rire con et franc, te grattant l'arrière du crâne. Tu l'observes, intrigué. Elle n'était pas avec les autres, tu en es certain. Tu retiens toujours les visages, même quand ta mémoire te joue des tours, comme avec Frost. Les visiteurs se faisaient rares au château noir... Etait-ce l'annonce de la mort du roi qui avait attiré les curieux ?
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